Le clip de Septu :
J'ai horreur de ce type de mec. La fille est bof.
Sinon, ça n'a pas de mélodie, sauf quand il gu... ti amo.
Ca ne me plait pas du tout.Contente que ce soit fini ! ;o))
Ca a le mérite d'être clair! :-)))) (le style franc et direct d'Aria, quoi...)
Le clip de Septu :
J'ai horreur de ce type de mec. La fille est bof.
Sinon, ça n'a pas de mélodie, sauf quand il gu... ti amo.
Ca ne me plait pas du tout.Contente que ce soit fini ! ;o))
Ca a le mérite d'être clair! :-)))) (le style franc et direct d'Aria, quoi...)
Décidément, je ne m'améliore pas !
A dire vrai, j'étais très diplomate quand j'étais jeune, au travail aussi.
Mais un jour, je me suis exprimée sur un sujet d'importance. Et tout le monde m'en a été reconnaissant, car personne n'osait dire au patron que son idée était nulle. Mais j'y ai mis les formes...Et ensuite, on attendait mon opinion, surtout les jeunes Hec, Essec etc., toujours prêts à faire de la lèche. ;o))
Là, je suis sûre que Septu, qui est charmant, ne m'en voudra pas de ma franchise.
Je n'aurai pas le temps, ... de tout faire (ni de tout lire).
http://www.youtube.com/watch?v=uzm0MOzvhKg
http://www.youtube.com/watch?v=uzm0MOzvhKg
Je vous propose un peu de gaité et de remords mêlés, car la vie est parfois ainsi faite :
http://www.youtube.com/watch?v=5Yj-ToWChEM
http://www.youtube.com/watch?v=5Yj-ToWChEM
Chanson d'un faits divers, de Miossec
dans "Chansons ordinaires"
http://www.youtube.com/watch?v=FvxkwDBWT-E
Il y avait un beau soleil de printemps
Il y avait dans le centre-ville un bel appartement
Il y avait des hirondelles et leurs ventres blancs
Il y avait ce joli couple formé depuis dix ans
J’espère que tout ceci
Est assez parlant
Qu’on imagine bien le cadre
Et surtout ce qu’il y a dedans
Il y avait une belle école et deux très beaux enfants
Il y avait juste un crédit rien de bien méchant
Il y avait des vacances dans le golfe du Morbihan
Il y avait pour la rentrée des projets d’agrandissement
Il y a
Il y avait
Il y eut
Il y aura
Il y avait tous ces jours qui se passaient normalement
Il y avait bien sûr les courses tous les samedis au Géant
Il y avait des lunettes au fond de la boîte à gants
Puis il y eut un mercredi cet étrange évènement
Il y avait juste une vie ordinaire
Elle n’avait rien à faire
Dans les faits-divers
"Chansons ordinaires" c'est le dernier CD de Miossec, une réussite évidemment qui ignore la mièvrerie ... Voilà comment il présente la genèse de la chose :
"Nouvel album. Sortie le 12 septembre. Christophe Miossec : un type capable de confier la rédaction du communiqué de presse de son nouvel album à l’impudent scribouillard qui avait osé écorcher l’avant-dernier. Voilà ce qui différencie sans doute le Brestois de ses collègues chanteurs : le monsieur, ancien journaliste, ne s’offusque guère de ce genre d’affronts, voire s’en amuse. “Finistériens” (2009), son précédent, était réalisé avec Yann Tiersen, un voisin de la mer d’Iroise. Avant de concevoir un disque, Miossec pratique un genre de politique de la terre brûlée. Tout remettre à plat. Jouer avec d’autres gens. Enregistrer ailleurs. “J’étais avec mon groupe de tournée depuis longtemps, explique le bonhomme, on faisait du Miossec typique. Il fallait trouver d’autres musiciens.” Pour lui, pas question de s’auto-parodier, de tomber dans le plan de carrière balisé ou, horreur, de donner dans la chanson française. Une chose semblait claire, “il fallait se réveiller”. Le déclic s’est produit grâce à Dominique Brusson ingénieur du son qui pense à trois musiciens jouant, avec ou dans, Montgomery, Dominique A, X Mas X, Frank… Sébastien Buffet, David Euverte et Thomas Poli. “J’ai eu l’impression de passer une audition pour un groupe qui existait déjà. L’idée du power trio me plaisait.” La petite bande s’enferme à Rennes dans une ferme-studio. Miossec, qui a eu un groupe et vécu les années Marquis de Sade, retrouve de vieilles sensations. “Tu te couches à pas d’heure, tu te fends la gueule, tu retrouves une virginité. Les idées sont venues d’elles-mêmes. Le principe, c’était de faire des morceaux sur le moment. Deux notes de guitares et on fonçait. J’avais l’impression de faire de la musique comme quand j’étais ado. 1, 2, 3, 4…” De ces séances, ont jailli 11 chansons mixées par Mark Plati à New York. Il faut rendre ici hommage aux musiciens. Le bonhomme a réuni un vrai groupe, inspiré, soudé, énergique, qui brode des rythmiques soutenues et triture les guitares à la sauce My Bloody Valentine. C’est aussi pour cela qu’on l’aime bien : Miossec préfèrera toujours les rockers obscurs aux tenanciers de la chanson d’ici. Imagine-t-on ces brillants artistes disserter sur la discographie tardive de Captain Beefheart ? Certes non. Restait à mettre ça en pratique. Musicalement Miossec a parfois tourné autour du pot, ni vraiment rock, ni vraiment chanson (pour employer des gros mots). On dira donc qu’il dispose ici enfin de l’écrin musical qui lui convient. Il jubile : “c’est un disque impulsif, avec du ventre.” Et les textes ? Pas de métaphore filée ni de poésie de mirliton. Miossec, fervent lecteur d’Henri Calet et des Hussards, a conservé son style sec, direct. Ainsi que le sens de la formule. D’aucuns narrent les petites choses du quotidien, Miossec sort encore le lance-flammes : “ce n’est pas parce que tu te sens seul qu’on a besoin de voir ta gueule ”. On appréciera aussi les intitulés des morceaux : “Chanson dramatique”, “Chanson protestataire”, “Chanson d’un homme couvert de femmes”, etc. “J’ai pas mal potassé le répertoire d’avant-guerre avoue-t-il. Il y avait les chansons à boire, les chansons à ceci, à cela. Chaque chanson avait une fonction. J’aime bien le côté hyper couillon.” Puisqu’on en parle, l’auteur de “Boire” ces temps-ci se désaltère à l’eau claire et au mojito sans rhum. Il en rigole :“En fait, c’est marrant, t’es vachement plus lucide sur ce que tu fais. Tu te fends plus la gueule, tu dramatises moins. J’ai arrêté de prendre le pouvoir en gueulant, je sais où je vais.” Sans vouloir faire le fayot, on est tenté de dire que cela s’entend."
dans "Chansons ordinaires"
http://www.youtube.com/watch?v=FvxkwDBWT-E
Il y avait un beau soleil de printemps
Il y avait dans le centre-ville un bel appartement
Il y avait des hirondelles et leurs ventres blancs
Il y avait ce joli couple formé depuis dix ans
J’espère que tout ceci
Est assez parlant
Qu’on imagine bien le cadre
Et surtout ce qu’il y a dedans
Il y avait une belle école et deux très beaux enfants
Il y avait juste un crédit rien de bien méchant
Il y avait des vacances dans le golfe du Morbihan
Il y avait pour la rentrée des projets d’agrandissement
Il y a
Il y avait
Il y eut
Il y aura
Il y avait tous ces jours qui se passaient normalement
Il y avait bien sûr les courses tous les samedis au Géant
Il y avait des lunettes au fond de la boîte à gants
Puis il y eut un mercredi cet étrange évènement
Il y avait juste une vie ordinaire
Elle n’avait rien à faire
Dans les faits-divers
"Chansons ordinaires" c'est le dernier CD de Miossec, une réussite évidemment qui ignore la mièvrerie ... Voilà comment il présente la genèse de la chose :
"Nouvel album. Sortie le 12 septembre. Christophe Miossec : un type capable de confier la rédaction du communiqué de presse de son nouvel album à l’impudent scribouillard qui avait osé écorcher l’avant-dernier. Voilà ce qui différencie sans doute le Brestois de ses collègues chanteurs : le monsieur, ancien journaliste, ne s’offusque guère de ce genre d’affronts, voire s’en amuse. “Finistériens” (2009), son précédent, était réalisé avec Yann Tiersen, un voisin de la mer d’Iroise. Avant de concevoir un disque, Miossec pratique un genre de politique de la terre brûlée. Tout remettre à plat. Jouer avec d’autres gens. Enregistrer ailleurs. “J’étais avec mon groupe de tournée depuis longtemps, explique le bonhomme, on faisait du Miossec typique. Il fallait trouver d’autres musiciens.” Pour lui, pas question de s’auto-parodier, de tomber dans le plan de carrière balisé ou, horreur, de donner dans la chanson française. Une chose semblait claire, “il fallait se réveiller”. Le déclic s’est produit grâce à Dominique Brusson ingénieur du son qui pense à trois musiciens jouant, avec ou dans, Montgomery, Dominique A, X Mas X, Frank… Sébastien Buffet, David Euverte et Thomas Poli. “J’ai eu l’impression de passer une audition pour un groupe qui existait déjà. L’idée du power trio me plaisait.” La petite bande s’enferme à Rennes dans une ferme-studio. Miossec, qui a eu un groupe et vécu les années Marquis de Sade, retrouve de vieilles sensations. “Tu te couches à pas d’heure, tu te fends la gueule, tu retrouves une virginité. Les idées sont venues d’elles-mêmes. Le principe, c’était de faire des morceaux sur le moment. Deux notes de guitares et on fonçait. J’avais l’impression de faire de la musique comme quand j’étais ado. 1, 2, 3, 4…” De ces séances, ont jailli 11 chansons mixées par Mark Plati à New York. Il faut rendre ici hommage aux musiciens. Le bonhomme a réuni un vrai groupe, inspiré, soudé, énergique, qui brode des rythmiques soutenues et triture les guitares à la sauce My Bloody Valentine. C’est aussi pour cela qu’on l’aime bien : Miossec préfèrera toujours les rockers obscurs aux tenanciers de la chanson d’ici. Imagine-t-on ces brillants artistes disserter sur la discographie tardive de Captain Beefheart ? Certes non. Restait à mettre ça en pratique. Musicalement Miossec a parfois tourné autour du pot, ni vraiment rock, ni vraiment chanson (pour employer des gros mots). On dira donc qu’il dispose ici enfin de l’écrin musical qui lui convient. Il jubile : “c’est un disque impulsif, avec du ventre.” Et les textes ? Pas de métaphore filée ni de poésie de mirliton. Miossec, fervent lecteur d’Henri Calet et des Hussards, a conservé son style sec, direct. Ainsi que le sens de la formule. D’aucuns narrent les petites choses du quotidien, Miossec sort encore le lance-flammes : “ce n’est pas parce que tu te sens seul qu’on a besoin de voir ta gueule ”. On appréciera aussi les intitulés des morceaux : “Chanson dramatique”, “Chanson protestataire”, “Chanson d’un homme couvert de femmes”, etc. “J’ai pas mal potassé le répertoire d’avant-guerre avoue-t-il. Il y avait les chansons à boire, les chansons à ceci, à cela. Chaque chanson avait une fonction. J’aime bien le côté hyper couillon.” Puisqu’on en parle, l’auteur de “Boire” ces temps-ci se désaltère à l’eau claire et au mojito sans rhum. Il en rigole :“En fait, c’est marrant, t’es vachement plus lucide sur ce que tu fais. Tu te fends plus la gueule, tu dramatises moins. J’ai arrêté de prendre le pouvoir en gueulant, je sais où je vais.” Sans vouloir faire le fayot, on est tenté de dire que cela s’entend."
Le clip de Septu :
J'ai horreur de ce type de mec. La fille est bof.
Sinon, ça n'a pas de mélodie, sauf quand il gu... ti amo.
Ca ne me plait pas du tout.Contente que ce soit fini ! ;o))
Ca a le mérite d'être clair! :-)))) (le style franc et direct d'Aria, quoi...)
Décidément, je ne m'améliore pas !
A dire vrai, j'étais très diplomate quand j'étais jeune, au travail aussi.
Mais un jour, je me suis exprimée sur un sujet d'importance. Et tout le monde m'en a été reconnaissant, car personne n'osait dire au patron que son idée était nulle. Mais j'y ai mis les formes...Et ensuite, on attendait mon opinion, surtout les jeunes Hec, Essec etc., toujours prêts à faire de la lèche. ;o))
Là, je suis sûre que Septu, qui est charmant, ne m'en voudra pas de ma franchise.
Non bien sûr!...
Mais de quel vidéo parle-tu?
Je te propose autre chose, toujours de Tiziano FERRO :
http://youtube.com/watch/…
.
Franchement Septu, tu aimes vraiment ce clip et la manière qu'a ce mec de chanter?
Pour moi, c'est pas possible...le côté je te huuuuuuurle mon amooooooour avec le coup de poing avec, et la fille (très belle j'en conviens) qui minaude et allume, pfffff....
Tu sais ce que ça m'inspire? "C'est mon mon grand calme toi...."
"Se non grido, muoio", ben à la limite.....:-)) ( je plaisante)
Et là je n'aime ni la chanson ni le texte!
Bon, la prochaine je l'écoute en passant directement par la case yeux fermés (ou en coupant l'image de l'écran, tout simplement)
C'est surtout comme parolier que j'aime Tiziano FERRO...
Ok. Laisse tomber toutes les autres que je t'ai conseillé... écoute juste celle-ci :
http://www.youtube.com/watch?v=M3STj8zlQw4
Fait abstraction de tout... écoute juste les paroles...
J'ai perdu mon oncle que j'aimais beaucoup au début de cette
année... quand j'écoute cette chanson, j'ai l'impression que Tiziano FERRO l'a écrite pour moi!...
Je me permets, pour changer un peu, une chanson anglophone, d'un Canadien :
http://dailymotion.com/video/…
http://dailymotion.com/video/…
L'enrichissement, et le bonheur, viennent de l'échange. C'est un peu le morale de cette chanson :
http://www.youtube.com/watch?v=29YwVLb4Nfw
http://www.youtube.com/watch?v=29YwVLb4Nfw
C'est surtout comme parolier que j'aime Tiziano FERRO...
Ok. Laisse tomber toutes les autres que je t'ai conseillé... écoute juste celle-ci :
http://www.youtube.com/watch?v=M3STj8zlQw4
Fait abstraction de tout... écoute juste les paroles...
Tu es tenace, toi! :-)
Mais tu as bien fait de persévérer, celle là (écoutée sans les images) je l'ai bien aimée...
Je vous propose un peu de sensualité exotique, dans le cadre d'un classique de la chanson française :
http://dailymotion.com/video/…
http://dailymotion.com/video/…
Voici la chanson éponyme d'un film récent :
http://dailymotion.com/video/…
http://dailymotion.com/video/…
Voici une chanson peu connue, au moins aujourd'hui :
http://dailymotion.com/video/…
http://dailymotion.com/video/…
C'est surtout comme parolier que j'aime Tiziano FERRO...
Ok. Laisse tomber toutes les autres que je t'ai conseillé... écoute juste celle-ci :
http://www.youtube.com/watch?v=M3STj8zlQw4
Fait abstraction de tout... écoute juste les paroles...
Tu es tenace, toi! :-)
Mais tu as bien fait de persévérer, celle là (écoutée sans les images) je l'ai bien aimée...
Comme quoi... parfois...
J'apprécie beaucoup la chanson ; le clip, moins : des allusions hors sujet n'apportent rien au thème. Ecoutez, et laissez-vous guider :
http://dailymotion.com/video/…
http://dailymotion.com/video/…
Minouche, de Eiffel
dans "A tout moment"
http://www.youtube.com/watch?v=ojqL4ECZEKY
Minouche
L’âme et le dos courbés
Pavane Lachrymae
Face aux temps qui reculent
Pour mieux sauter
Minouche
Goûte à la naphtaline
Damnés, cinq années d’enfer
Et dix foutues en l’air
D’une ruine
Le nombril du monde s’étend
À nous fichier en nombres
Surnombre qu’il déchiffre
À la rafle à la gifle
Minouche, comme un chien enragé
Qui rôde autour de l’os
Deux dents dehors
Et nu comme l’espoir
Si peu dans nos louches
C’est qui les barbares ?
Minouche
Minouche
Tous tes rêves éveillés
S’entendent dire " Z’avez vos papiers ? "
Quand rien de toi ne m’est
Étranger
Minouche
C’est pas l’rire des baleines
Ni l’amour de l’étrange
Qui chialent des têtes d’anges
Madrilènes
C’est du brouillard en errance
À la cîme des clochers
Où radotent en avance
Les conneries du passé
Minouche, plante un clou solitaire
L’homme un homme pour ton loup
Les crocs dehors
Et nu comme l’espoir
Si peu dans nos louches
Que l’on en deviendrait barbare
Minouche, essore tes yeux mouillés
Minouche, l’âme et le dos courbés
Minouche, rien de toi ne m’est
Rien de toi ne m’est
Etranger
"A tout moment" le dernier CD en date. Le prochain pour le 3 Septembre ...
"L’homme un homme pour ton loup
Les crocs dehors
Et nu comme l’espoir
..."
dans "A tout moment"
http://www.youtube.com/watch?v=ojqL4ECZEKY
Minouche
L’âme et le dos courbés
Pavane Lachrymae
Face aux temps qui reculent
Pour mieux sauter
Minouche
Goûte à la naphtaline
Damnés, cinq années d’enfer
Et dix foutues en l’air
D’une ruine
Le nombril du monde s’étend
À nous fichier en nombres
Surnombre qu’il déchiffre
À la rafle à la gifle
Minouche, comme un chien enragé
Qui rôde autour de l’os
Deux dents dehors
Et nu comme l’espoir
Si peu dans nos louches
C’est qui les barbares ?
Minouche
Minouche
Tous tes rêves éveillés
S’entendent dire " Z’avez vos papiers ? "
Quand rien de toi ne m’est
Étranger
Minouche
C’est pas l’rire des baleines
Ni l’amour de l’étrange
Qui chialent des têtes d’anges
Madrilènes
C’est du brouillard en errance
À la cîme des clochers
Où radotent en avance
Les conneries du passé
Minouche, plante un clou solitaire
L’homme un homme pour ton loup
Les crocs dehors
Et nu comme l’espoir
Si peu dans nos louches
Que l’on en deviendrait barbare
Minouche, essore tes yeux mouillés
Minouche, l’âme et le dos courbés
Minouche, rien de toi ne m’est
Rien de toi ne m’est
Etranger
"A tout moment" le dernier CD en date. Le prochain pour le 3 Septembre ...
"L’homme un homme pour ton loup
Les crocs dehors
Et nu comme l’espoir
..."
Coucou,
Tiziano FERRO... heu.... joker... on va dire que je ne parle pas italien ;) :)
Je vous propose un petit intermède "années 80" :) On sort des jolis textes poétiques et on part dans la "chanson qui se voulait engagée en 1983". Elle parle bien évidemment de la Guerre froide, du surarmement militaire, mais ça m'empêche pas de danser comme une débile avec un sourire extasié dès que je l'entends, soyons honnête ;)
(Traduction toute personnelle)
Si tu as un peu de temps à me consacrer
Alors je te chanterai une chanson parlant de 99 ballons
Qui traçaient leur chemin à horizon...
Peut-être penses-tu à moi, à cet instant ?
Alors, je te chanterai une chanson parlant de 99 ballons
Et comment tout cela fut possible.
99 ballons...
Traçant leur chemin à horizon
On les prit dès lors pour des ovnis venus de l'espace
C'est ainsi qu'un haut général
Dépêcha un escadron d'avions, à leur poursuite
Afin de sonner l'alarme si besoin était.
Mais il n'y avait là, à l'horizon
Que 99 ballons...
99 pilotes de chasse..
Chacun était un grand et fier guerrier
Se prenant lui-même pour "capitaine Kirk"
En résulta un gigantesque feu d’artifice
Les voisins n'ont strictement rien compris,
Se sentirent aussitôt faits comme des rats
Alors qu'on ne tirait, à l'horizon
Que sur 99 ballons.
99 ministres de guerre...
Entre allumettes et bidons d’essence
Ils s'estimaient importants et rusés,
Flairaient surtout le gros butin
Ils scandaient : "la guerre!" et voulaient le pouvoir
Bon sang! Qui aurait pu penser qu'on puisse en arriver là
A cause de 99 ballons?
99 années de guerre..
N'ont laissé aucune place pour un quelconque vainqueur
Il n'y a plus aucun ministre de guerre
Ni de pilote de chasse
Aujourd'hui je tourne en rond, baisse les bras
Je vois le monde gésir en ruines.
J'ai retrouvé un ballon
Je pense à toi tandis que je le laisse s'envoler.
Et c'est parti en musique!
Clip à replacer dans le contexte des années 80 (mon dieu, moui..)
http://www.youtube.com/watch?v=jQYQTFudrqc
Tiziano FERRO... heu.... joker... on va dire que je ne parle pas italien ;) :)
Je vous propose un petit intermède "années 80" :) On sort des jolis textes poétiques et on part dans la "chanson qui se voulait engagée en 1983". Elle parle bien évidemment de la Guerre froide, du surarmement militaire, mais ça m'empêche pas de danser comme une débile avec un sourire extasié dès que je l'entends, soyons honnête ;)
(Traduction toute personnelle)
Si tu as un peu de temps à me consacrer
Alors je te chanterai une chanson parlant de 99 ballons
Qui traçaient leur chemin à horizon...
Peut-être penses-tu à moi, à cet instant ?
Alors, je te chanterai une chanson parlant de 99 ballons
Et comment tout cela fut possible.
99 ballons...
Traçant leur chemin à horizon
On les prit dès lors pour des ovnis venus de l'espace
C'est ainsi qu'un haut général
Dépêcha un escadron d'avions, à leur poursuite
Afin de sonner l'alarme si besoin était.
Mais il n'y avait là, à l'horizon
Que 99 ballons...
99 pilotes de chasse..
Chacun était un grand et fier guerrier
Se prenant lui-même pour "capitaine Kirk"
En résulta un gigantesque feu d’artifice
Les voisins n'ont strictement rien compris,
Se sentirent aussitôt faits comme des rats
Alors qu'on ne tirait, à l'horizon
Que sur 99 ballons.
99 ministres de guerre...
Entre allumettes et bidons d’essence
Ils s'estimaient importants et rusés,
Flairaient surtout le gros butin
Ils scandaient : "la guerre!" et voulaient le pouvoir
Bon sang! Qui aurait pu penser qu'on puisse en arriver là
A cause de 99 ballons?
99 années de guerre..
N'ont laissé aucune place pour un quelconque vainqueur
Il n'y a plus aucun ministre de guerre
Ni de pilote de chasse
Aujourd'hui je tourne en rond, baisse les bras
Je vois le monde gésir en ruines.
J'ai retrouvé un ballon
Je pense à toi tandis que je le laisse s'envoler.
Et c'est parti en musique!
Clip à replacer dans le contexte des années 80 (mon dieu, moui..)
http://www.youtube.com/watch?v=jQYQTFudrqc
Voici une chanson de 1991, redécouverte en 1999 dans la bande originale du film Todo sobre mi madré (Tout sur ma mère), de Pedro Almodovar :
http://dailymotion.com/video/…
http://dailymotion.com/video/…
Je me permets d'en poster une seconde, en guise d'hommage pour l'auteur-compositeur-interprrète, pour les vingt ans de sa mort :
http://www.youtube.com/watch?v=Q-0mLKNhFX0
http://www.youtube.com/watch?v=Q-0mLKNhFX0
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