Voici l'Anamour, par Françoise Hardy et par Serge Gainsbourg :
http://www.youtube.com/watch?v=v_gedcTEzNI
http://www.youtube.com/watch?v=7pS95p7rSdU
http://www.youtube.com/watch?v=v_gedcTEzNI
http://www.youtube.com/watch?v=7pS95p7rSdU
La maladie d'amour, de Jean-Louis Murat
dans "Lilith"
c'est la maladie d'amour
qui nous apprend à ne jurer de rien...
C'est la nature de mon sang
par le sang oui l'amour me tient...
et je passe toutes mes nuits,
en idées de bonheur
au soleil de votre vie ...
je ne sais dire votre monde
mon desir ça je le savais
et ou est votre maison
mon plaisir ça je m'en doutais
c'est la maladie d'amour
qui nous tient le corps
cette odeur de toujours
c'est licorne qu'on effleure
son silence nous fait trembler
par tous les yeux la lueur
de celles qu'on reconnait
voilà parade d'amour
sexes qu'il faut ajuster
sur la piste des beaux jours ...
c'est la maladie d'amour
qui nous tient le corps trempé
c'est la manie des toujours
qui sait si bien nous faire chanter
sur le mol lit de fleur
on s'échange mille baisers
et le reve dont on meurt.....
http://youtube.com/watch/…
9 ans déjà que Lilith est sorti. Ca me parait hier ! Mais la maladie d'amour reste d'actualité. C'est même la maladie la mieux portée !
Il la joue encore en concert, il me semble, ainsi que "Le cri du papillon" du même Lilith, instant de chant partagé avec son public.
dans "Lilith"
c'est la maladie d'amour
qui nous apprend à ne jurer de rien...
C'est la nature de mon sang
par le sang oui l'amour me tient...
et je passe toutes mes nuits,
en idées de bonheur
au soleil de votre vie ...
je ne sais dire votre monde
mon desir ça je le savais
et ou est votre maison
mon plaisir ça je m'en doutais
c'est la maladie d'amour
qui nous tient le corps
cette odeur de toujours
c'est licorne qu'on effleure
son silence nous fait trembler
par tous les yeux la lueur
de celles qu'on reconnait
voilà parade d'amour
sexes qu'il faut ajuster
sur la piste des beaux jours ...
c'est la maladie d'amour
qui nous tient le corps trempé
c'est la manie des toujours
qui sait si bien nous faire chanter
sur le mol lit de fleur
on s'échange mille baisers
et le reve dont on meurt.....
http://youtube.com/watch/…
9 ans déjà que Lilith est sorti. Ca me parait hier ! Mais la maladie d'amour reste d'actualité. C'est même la maladie la mieux portée !
Il la joue encore en concert, il me semble, ainsi que "Le cri du papillon" du même Lilith, instant de chant partagé avec son public.
Ordinaire, de Robert Charlebois
dans "Un gars ben ordinaire"
Je suis un gars ben ordinaire
Des fois j´ai pu l´goût de rien faire
J´fumerais du pot, j´boirais de la bière
J´ferais de la musique avec le gros Pierre
Mais faut que j´pense à ma carrière
Je suis un chanteur populaire
Vous voulez que je sois un Dieu
Si vous saviez comme j´me sens vieux
J´peux pu dormir, j´suis trop nerveux
Quand je chante, ça va un peu mieux
Mais ce métier-là, c´est dangereux
Plus on en donne plus l´monde en veut
Quand j´serai fini pis dans la rue
Mon gros public je l´aurai pu
C´est là que je m´r´trouverai tout nu
Le jour où moi, j´en pourrai pu
Y en aura d´autres, plus jeunes, plus fous
Pour faire danser les boogaloos
J´aime mon prochain, j´aime mon public
Tout ce que je veux c´est que ça clique
J´me fous pas mal des critiques
Ce sont des ratés sympathiques
J´suis pas un clown psychédélique
Ma vie à moi c´est la musique
Si je chante c´est pour qu´on m´entende
Quand je crie c´est pour me défendre
J´aimerais bien me faire comprendre
J´voudrais faire le tour de la terre
Avant de mourir et qu´on m´enterre
Voir de quoi l´reste du monde a l´air
Autour de moi il y a la guerre
Le peur, la faim et la misère
J´voudrais qu´on soit tous des frères
C´est pour ça qu´on est sur la terre
J´suis pas un chanteur populaire
Je suis rien qu´un gars ben ordinaire
http://www.youtube.com/watch?v=3UNX4oIgWYY
Bon sang, j'avais 13 ans quand il a sorti ça le gars Charlebois ! On entendait de belles choses à 13 ans !
Ca file encore des frissons, je trouve ...
dans "Un gars ben ordinaire"
Je suis un gars ben ordinaire
Des fois j´ai pu l´goût de rien faire
J´fumerais du pot, j´boirais de la bière
J´ferais de la musique avec le gros Pierre
Mais faut que j´pense à ma carrière
Je suis un chanteur populaire
Vous voulez que je sois un Dieu
Si vous saviez comme j´me sens vieux
J´peux pu dormir, j´suis trop nerveux
Quand je chante, ça va un peu mieux
Mais ce métier-là, c´est dangereux
Plus on en donne plus l´monde en veut
Quand j´serai fini pis dans la rue
Mon gros public je l´aurai pu
C´est là que je m´r´trouverai tout nu
Le jour où moi, j´en pourrai pu
Y en aura d´autres, plus jeunes, plus fous
Pour faire danser les boogaloos
J´aime mon prochain, j´aime mon public
Tout ce que je veux c´est que ça clique
J´me fous pas mal des critiques
Ce sont des ratés sympathiques
J´suis pas un clown psychédélique
Ma vie à moi c´est la musique
Si je chante c´est pour qu´on m´entende
Quand je crie c´est pour me défendre
J´aimerais bien me faire comprendre
J´voudrais faire le tour de la terre
Avant de mourir et qu´on m´enterre
Voir de quoi l´reste du monde a l´air
Autour de moi il y a la guerre
Le peur, la faim et la misère
J´voudrais qu´on soit tous des frères
C´est pour ça qu´on est sur la terre
J´suis pas un chanteur populaire
Je suis rien qu´un gars ben ordinaire
http://www.youtube.com/watch?v=3UNX4oIgWYY
Bon sang, j'avais 13 ans quand il a sorti ça le gars Charlebois ! On entendait de belles choses à 13 ans !
Ca file encore des frissons, je trouve ...
Le roi, de Georges Brassens
dans "Fernande", en 1972
Non certes elle n'est pas bâtie
Non certes elle n'est pas bâtie
Sur du sable sa dynastie
Sur du sable sa dynastie
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Il peut dormir ce souverain
Il peut dormir ce souverain
Sur ses deux oreilles serein
Sur ses deux oreilles serein
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Je tu il elle nous vous ils
Je tu il elle nous vous ils
Tout le monde le suit docil'
Tout le monde le suit docil'
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Il est possible au demeurant
Il est possible au demeurant
Qu'on déloge le Shah d'Iran
Qu'on déloge le Shah d'Iran
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Qu'un jour on dise c'est fini
Qu'un jour on dise c'est fini
Au petit Roi de Jordanie
Au petit Roi de Jordanie
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Qu'en Abyssinie on recuse
Qu'en Abyssinie on recuse
Le Roi des Rois le bon Négus
Le Roi des Rois le bon Négus
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Que sur un air de fandango
Que sur un air de fandango
On congédie le vieux Franco
On congédie le vieux Franco
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Que la couronne d'Angleterre
Que la couronne d'Angleterre
Ce soir roule par terre
Ce soir roule par terre
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Que ça c'est vu dans le passé
Que ça c'est vu dans le passé
Marianne soit renversée
Marianne soit renversée
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
http://tinyurl.com/97vme8u
La version ci-dessus est interprétée par Brassens lui-même accompagné d'acolytes. Le must absolu, Georges Brassens ...
dans "Fernande", en 1972
Non certes elle n'est pas bâtie
Non certes elle n'est pas bâtie
Sur du sable sa dynastie
Sur du sable sa dynastie
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Il peut dormir ce souverain
Il peut dormir ce souverain
Sur ses deux oreilles serein
Sur ses deux oreilles serein
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Je tu il elle nous vous ils
Je tu il elle nous vous ils
Tout le monde le suit docil'
Tout le monde le suit docil'
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Il est possible au demeurant
Il est possible au demeurant
Qu'on déloge le Shah d'Iran
Qu'on déloge le Shah d'Iran
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Qu'un jour on dise c'est fini
Qu'un jour on dise c'est fini
Au petit Roi de Jordanie
Au petit Roi de Jordanie
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Qu'en Abyssinie on recuse
Qu'en Abyssinie on recuse
Le Roi des Rois le bon Négus
Le Roi des Rois le bon Négus
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Que sur un air de fandango
Que sur un air de fandango
On congédie le vieux Franco
On congédie le vieux Franco
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Que la couronne d'Angleterre
Que la couronne d'Angleterre
Ce soir roule par terre
Ce soir roule par terre
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
Que ça c'est vu dans le passé
Que ça c'est vu dans le passé
Marianne soit renversée
Marianne soit renversée
Il y a peu de chances qu'on
Détrône le Roi des cons.
http://tinyurl.com/97vme8u
La version ci-dessus est interprétée par Brassens lui-même accompagné d'acolytes. Le must absolu, Georges Brassens ...
http://www.youtube.com/watch?v=8esmQvzIyqA
Voici Panne de coeur, de et par Véronique Samson, qui m'avait tenu pas mal de temps en tête, en 1992-1993.
Voici Panne de coeur, de et par Véronique Samson, qui m'avait tenu pas mal de temps en tête, en 1992-1993.
Plutôt rêver, de Melissmell
dans "Ecoute s'il pleut"
Dans ce bilan triste à pleurer
J'irai cracher au nouveau monde
Tu vois, je n'ai rien oublié
Pas un instant, pas une seconde
De tous ces airs qu'on fredonnait
Quand nos silences hurlent à la ronde
Puisqu'il n'y a qu'au vent mauvais
Qu'on voit mourir les feuilles blondes
{Refrain:}
Marchons, marchons encore !
Rêvons, rêvons encore !
Que j'ai prié, que j'ai prié
Moi qui ne crois plus en ce monde
Qu'un dieu, qu'un maître pouvaient m'aider
Sortir mon cœur d'entre les tombes
Plutôt crever, plutôt crever
Que de courir après une ombre
Plutôt rêver que dériver
De toi, de nous, de nos colombes
{au Refrain}
Je peux leur dire que j'ai trouvé
Dans les faubourgs la plus belle larme
Qui peut couvrir, qui peut fermer
Les déchirures à la mâchoire
"Ce qu'ils m'ont fait ! Ce qu'ils m'ont fait !!?"
Livré mon âme, vendu mon corps
Laissant mon cœur aux gens mauvais
Au plus offrant mes rêves morts
Rêvons, rêvons encore !
Marchons, marchons encore !
Rêvons, rêvons encore !
http://www.youtube.com/watch?v=6VJZ2sN5Q54
Melissmell, une voix à suivre. Et merci à Clamence qui me l'a fait découvrir. J'espère la voir bientôt. Melissmell. Clamence aussi !
dans "Ecoute s'il pleut"
Dans ce bilan triste à pleurer
J'irai cracher au nouveau monde
Tu vois, je n'ai rien oublié
Pas un instant, pas une seconde
De tous ces airs qu'on fredonnait
Quand nos silences hurlent à la ronde
Puisqu'il n'y a qu'au vent mauvais
Qu'on voit mourir les feuilles blondes
{Refrain:}
Marchons, marchons encore !
Rêvons, rêvons encore !
Que j'ai prié, que j'ai prié
Moi qui ne crois plus en ce monde
Qu'un dieu, qu'un maître pouvaient m'aider
Sortir mon cœur d'entre les tombes
Plutôt crever, plutôt crever
Que de courir après une ombre
Plutôt rêver que dériver
De toi, de nous, de nos colombes
{au Refrain}
Je peux leur dire que j'ai trouvé
Dans les faubourgs la plus belle larme
Qui peut couvrir, qui peut fermer
Les déchirures à la mâchoire
"Ce qu'ils m'ont fait ! Ce qu'ils m'ont fait !!?"
Livré mon âme, vendu mon corps
Laissant mon cœur aux gens mauvais
Au plus offrant mes rêves morts
Rêvons, rêvons encore !
Marchons, marchons encore !
Rêvons, rêvons encore !
http://www.youtube.com/watch?v=6VJZ2sN5Q54
Melissmell, une voix à suivre. Et merci à Clamence qui me l'a fait découvrir. J'espère la voir bientôt. Melissmell. Clamence aussi !
Merci pour eux Zebda !!
Je suis venu, mais je suis pas venu
tu penses M'entendre dire "sois le bienvenu"
Mais l'estomac qui a besoin d'essence
Dit "qu'est-ce qu'il y a aujourd'hui au menu?"
Et les pieds nus et la tête dans les nuages
Le cœur au chaud et je faisais semblant
Mais Y avait pas de quoi en faire un fromage
Au pays du Mont-Blanc
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
Je suis venu, mais je suis pas venu tu penses
Pour le soleil ou le bord de mer
Parce que bronzé je l'étais de naissance
je ne connaissais pas l'hiver
J'avais les pieds nus, la tête dans les nuages
Le cœur au chaud, et je faisais semblant
D'être celui qui était de passage
Au pays du Mont-Blanc.
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
Je suis venu et j'ai caressé des vignes
Et comment dire ? J'attendais le raisin
Mais de ces fruits, je n'ai vu que les lignes
Paraît qu'ici on ne boit que du vin.
Je suis venu et je ne savais pas encore
Qu' on avait peur de ses voisins
Et de maisons, moi je n'ai vu que des stores
Qui ne m'ont jamais dit "allez viens"
Je suis venu c'était pas au clair de la lune
M'entendre dire: "Va chercher ton or"
Non je suis pas venu pour faire fortune
Habillé en peau de castor
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
Je suis venu, mais je suis pas venu tu penses
M'entendre dire "sois le bienvenu"
Mais l'estomac qui a besoin d'essence
Dit "qu'est-ce qu'il y a aujourd'hui au menu"
J'suis venu mais je le dis avec quel air
Qu'on me reçu à reculons
On peut pas dire, mon cher Léon
Que ce soit sur un air d'accordéon.
Mon visage est une page qu'on n'arrache pas
Je sais que je serai surtout pas
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
http://www.youtube.com/watch?v=yKE2mzT2dcc
Je suis venu, mais je suis pas venu
tu penses M'entendre dire "sois le bienvenu"
Mais l'estomac qui a besoin d'essence
Dit "qu'est-ce qu'il y a aujourd'hui au menu?"
Et les pieds nus et la tête dans les nuages
Le cœur au chaud et je faisais semblant
Mais Y avait pas de quoi en faire un fromage
Au pays du Mont-Blanc
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
Je suis venu, mais je suis pas venu tu penses
Pour le soleil ou le bord de mer
Parce que bronzé je l'étais de naissance
je ne connaissais pas l'hiver
J'avais les pieds nus, la tête dans les nuages
Le cœur au chaud, et je faisais semblant
D'être celui qui était de passage
Au pays du Mont-Blanc.
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
Je suis venu et j'ai caressé des vignes
Et comment dire ? J'attendais le raisin
Mais de ces fruits, je n'ai vu que les lignes
Paraît qu'ici on ne boit que du vin.
Je suis venu et je ne savais pas encore
Qu' on avait peur de ses voisins
Et de maisons, moi je n'ai vu que des stores
Qui ne m'ont jamais dit "allez viens"
Je suis venu c'était pas au clair de la lune
M'entendre dire: "Va chercher ton or"
Non je suis pas venu pour faire fortune
Habillé en peau de castor
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
Je suis venu, mais je suis pas venu tu penses
M'entendre dire "sois le bienvenu"
Mais l'estomac qui a besoin d'essence
Dit "qu'est-ce qu'il y a aujourd'hui au menu"
J'suis venu mais je le dis avec quel air
Qu'on me reçu à reculons
On peut pas dire, mon cher Léon
Que ce soit sur un air d'accordéon.
Mon visage est une page qu'on n'arrache pas
Je sais que je serai surtout pas
Sans bruit, sandwichs sans rire et sans dîner
Sans faute, sans doute et même sans l'idée
Qu'on est jamais invité quand on est
Sans thune, sandales ou même sans papiers.
http://www.youtube.com/watch?v=yKE2mzT2dcc
Comme un homme, de Luke
dans "La tête en arrière"
Je brise mes rêves mais je ne brise personne
à tout ce que l'on enterre
à ce qui flotte et puis s'envole
à ce qui flotte et puis s'envole
je cours comme un homme
ni plus vite ni plus gai
tout juste monocorde
après celles lasses d'aimer
les "belles quand même" que l'on pardonne
je cours comme un homme
contre mes ports d'attache
contre mes bris de rêves
contre l'amour trop lâche quand d'autres traînent
à la foi si crasse
quand c'est la mort qui opère
au sourire qu'on arrache
au silence que l'on paye
je cours comme un homme
peut-être qu'un jour sans efforts
il sera si bon d'avoir su
qu'être plus beau c'est d'être moins mort
la chair est faible et je le suis
la chair est faible et je le suis
je mens comme un homme
pour étouffer toutes mes poussières
pour nettoyer toutes mes peaux mortes
on est tout juste ce qu'on se pardonne
on est tout juste ce qu'on se pardonne
je mens comme un homme
http://wat.tv/audio/…
"la chair est faible et je le suis
je mens comme un homme"
Si ça ce n'est pas chrétien en diable ?!
dans "La tête en arrière"
Je brise mes rêves mais je ne brise personne
à tout ce que l'on enterre
à ce qui flotte et puis s'envole
à ce qui flotte et puis s'envole
je cours comme un homme
ni plus vite ni plus gai
tout juste monocorde
après celles lasses d'aimer
les "belles quand même" que l'on pardonne
je cours comme un homme
contre mes ports d'attache
contre mes bris de rêves
contre l'amour trop lâche quand d'autres traînent
à la foi si crasse
quand c'est la mort qui opère
au sourire qu'on arrache
au silence que l'on paye
je cours comme un homme
peut-être qu'un jour sans efforts
il sera si bon d'avoir su
qu'être plus beau c'est d'être moins mort
la chair est faible et je le suis
la chair est faible et je le suis
je mens comme un homme
pour étouffer toutes mes poussières
pour nettoyer toutes mes peaux mortes
on est tout juste ce qu'on se pardonne
on est tout juste ce qu'on se pardonne
je mens comme un homme
http://wat.tv/audio/…
"la chair est faible et je le suis
je mens comme un homme"
Si ça ce n'est pas chrétien en diable ?!
Quand je pense à la vieille Anglaise
Qu'on appelait le "Queen Mary"
Echouée si loin de ses falaises
Sur un quai de Californie
Quand je pense à la vieille anglaise
J'envie les épaves englouties
Longs courriers qui cherchaient un rêve
Et n'ont pas revu leur pays
Ne m'appelez plus jamais France
La France elle m'a laissé tomber
Ne m'appelez plus jamais France
C´est ma dernière volonté
J´étais un bateau gigantesque
Capable de croiser mille ans
J´étais un géant, j´étais presque,
Presque aussi fort que l´océan
J´étais un bateau gigantesque
J´emportais des milliers d´amants
J´étais la France, qu´est-ce qu´il en reste?
Un corps-mort pour des cormorans
Ne m´appelez plus jamais France
La France elle m´a laissé tomber
Ne m´appelez plus jamais France
C´est ma dernière volonté
Quand je pense à la vieille Anglaise
Qu´on appelait le "Queen Mary"
Je ne voudrais pas finir comme elle
Sur un quai de Californie
Que le plus grand navire de guerre
Ait le courage de me couler!
Le cul tourné à Saint-Nazaire
Pays breton où je suis né
Ne m´appelez plus jamais France
La France elle m´a laissé tomber
Ne m´appelez plus jamais France
C´est ma dernière volonté
http://ina.fr/divertissement/chansons/…
Qu'on appelait le "Queen Mary"
Echouée si loin de ses falaises
Sur un quai de Californie
Quand je pense à la vieille anglaise
J'envie les épaves englouties
Longs courriers qui cherchaient un rêve
Et n'ont pas revu leur pays
Ne m'appelez plus jamais France
La France elle m'a laissé tomber
Ne m'appelez plus jamais France
C´est ma dernière volonté
J´étais un bateau gigantesque
Capable de croiser mille ans
J´étais un géant, j´étais presque,
Presque aussi fort que l´océan
J´étais un bateau gigantesque
J´emportais des milliers d´amants
J´étais la France, qu´est-ce qu´il en reste?
Un corps-mort pour des cormorans
Ne m´appelez plus jamais France
La France elle m´a laissé tomber
Ne m´appelez plus jamais France
C´est ma dernière volonté
Quand je pense à la vieille Anglaise
Qu´on appelait le "Queen Mary"
Je ne voudrais pas finir comme elle
Sur un quai de Californie
Que le plus grand navire de guerre
Ait le courage de me couler!
Le cul tourné à Saint-Nazaire
Pays breton où je suis né
Ne m´appelez plus jamais France
La France elle m´a laissé tomber
Ne m´appelez plus jamais France
C´est ma dernière volonté
http://ina.fr/divertissement/chansons/…
Rendez nous la lumière, de Dominique A
dans "Vers les lueurs"
On voit des autoroutes
Des hangars, des marchés
De grandes enseignes rouges
Et des parkings bondés,
On voit des paysages
Qui ne ressemblent à rien
Qui se ressemblent tous
Et qui n'ont pas de fin
Refrain :
Rendez-nous la lumière
Rendez-nous la beauté
Le monde était si beau
Et nous l'avons gâché
Rendez-nous la lumière
Rendez-nous la beauté
Si le monde était beau
Nous l'avons gâché
On voit de pleins rayons
De bêtes congelées
Leur peur prête à mâcher
Par nos dents vermillon
On voit l'écriture blanche
Des années empilées
Tous les jours c'est Dimanche
Tous les jours c'est plié
Refrain
On goûte au pieux mensonge
Des cieux embrigadés
Tant de vies sacrifiées
Pour du cristal qui ronge ;
On voit des fumées hautes
Des nuages possédés
Des pluies orange et mauve
Donnant d'affreux baisers
Refrain
http://www.youtube.com/watch?v=uGaXk0kVYzs
"Si le monde était beau nous l'avons gâché"
Pas encore partout Dominique. Pas encore partout ...
dans "Vers les lueurs"
On voit des autoroutes
Des hangars, des marchés
De grandes enseignes rouges
Et des parkings bondés,
On voit des paysages
Qui ne ressemblent à rien
Qui se ressemblent tous
Et qui n'ont pas de fin
Refrain :
Rendez-nous la lumière
Rendez-nous la beauté
Le monde était si beau
Et nous l'avons gâché
Rendez-nous la lumière
Rendez-nous la beauté
Si le monde était beau
Nous l'avons gâché
On voit de pleins rayons
De bêtes congelées
Leur peur prête à mâcher
Par nos dents vermillon
On voit l'écriture blanche
Des années empilées
Tous les jours c'est Dimanche
Tous les jours c'est plié
Refrain
On goûte au pieux mensonge
Des cieux embrigadés
Tant de vies sacrifiées
Pour du cristal qui ronge ;
On voit des fumées hautes
Des nuages possédés
Des pluies orange et mauve
Donnant d'affreux baisers
Refrain
http://www.youtube.com/watch?v=uGaXk0kVYzs
"Si le monde était beau nous l'avons gâché"
Pas encore partout Dominique. Pas encore partout ...
Je préfère cette version-là à celle, originelle, d'Etienne Daho :
http://www.youtube.com/watch?v=VVW6QgTyVBE
http://www.youtube.com/watch?v=VVW6QgTyVBE
Nos fiançailles :
http://www.youtube.com/watch?v=eK1u8CHBMJ4
http://www.youtube.com/watch?v=eK1u8CHBMJ4
Remember, de Jacques Higelin
dans "Higelin et Areski"
Je mourrai dans une voiture carbonisée, la portière ne voudra pas s'ouvrir, et je hurlerai. Tu apprendras ma mort, atroce, par un ami, par les journaux ou par la poste, alors ...
Alors tu t'souviendras, que nous avons fait l'amour, remember, que je pleurais de plaisir, et que ma peau, était douce et vivante à la paume de tes mains, alors ....
Alors tu voudras, recommencer, tu auras une envie folle, immédiate, de recommencer, et tu sauras de quoi je parle, en ce moment précis, alors ...
http://www.youtube.com/watch?v=t5h2s1qj9lc
Le Higelin du début, un Higelin pas gai gai mais déjà tellement novateur ...
dans "Higelin et Areski"
Je mourrai dans une voiture carbonisée, la portière ne voudra pas s'ouvrir, et je hurlerai. Tu apprendras ma mort, atroce, par un ami, par les journaux ou par la poste, alors ...
Alors tu t'souviendras, que nous avons fait l'amour, remember, que je pleurais de plaisir, et que ma peau, était douce et vivante à la paume de tes mains, alors ....
Alors tu voudras, recommencer, tu auras une envie folle, immédiate, de recommencer, et tu sauras de quoi je parle, en ce moment précis, alors ...
http://www.youtube.com/watch?v=t5h2s1qj9lc
Le Higelin du début, un Higelin pas gai gai mais déjà tellement novateur ...
Jeanne La Rousse, texte de Pierre-Jean de Béranger mis en musique et chanté par Jean-Louis Murat
dans "Mockba"
Un enfant dort à sa mamelle ;
Elle en porte un autre à son dos.
L’aîné qu’elle traîne après elle,
Gèle pieds nus dans ses sabots.
Hélas ! des gardes qu’il courrouce
Au loin, le père est prisonnier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Je l’ai vue heureuse et parée ;
Elle cousait, chantait, lisait.
Du magister fille adorée,
Par son bon cœur elle plaisait.
J’ai pressé sa main blanche et douce.
En dansant sous le marronnier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Un fermier riche et de son âge,
Qu’elle espérait voir son époux,
La quitta, parce qu’au village
On riait de ses cheveux roux.
Puis deux, puis trois ; chacun repousse
Jeanne qui n’a pas un denier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Mais un vaurien dit : « Rousse ou blonde,
« Moi, pour femme, je te choisis.
« En vain les gardes font la ronde ;
« J’ai bon repaire et trois fusils.
« Faut-il bénir mon lit de mousse ;
« Du château payons l’aumônier. »
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Doux besoin d’être épouse et mère
Fit céder Jeanne qui, trois fois,
Depuis, dans une joie amère,
Accoucha seule au fond des bois.
Pauvres enfants ! chacun d’eux pousse
Frais comme un bouton printanier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Quel miracle un bon cœur opère !
Jeanne, fidèle à ses devoirs,
Sourit encor ; car, de leur père,
Ses fils auront les cheveux noirs.
Elle sourit ; car sa voix douce
Rend l’espoir à son prisonnier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
http://www.youtube.com/watch?v=_IfFIFfmz5I
Jean-Louis Murat est coutumier du fait, mettre en musique et chanter des textes de poètes anciens. Dans "Mockba", qui préfigure "1829", un disque uniquement composé de poèmes de Pierre Jean de Béranger mis en musique et chanté par Murat, il y a "Jeanne la Rousse" et "La fille du fossoyeur" ...
Il l'a fait également dans "Charles et Leo" où il chante des poèmes de Charles Baudelaire mis en musique par ... Léo Ferré mais jamais enregistrés par celui-ci ...
Jeanne la Rousse est particulièrement réussi.
dans "Mockba"
Un enfant dort à sa mamelle ;
Elle en porte un autre à son dos.
L’aîné qu’elle traîne après elle,
Gèle pieds nus dans ses sabots.
Hélas ! des gardes qu’il courrouce
Au loin, le père est prisonnier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Je l’ai vue heureuse et parée ;
Elle cousait, chantait, lisait.
Du magister fille adorée,
Par son bon cœur elle plaisait.
J’ai pressé sa main blanche et douce.
En dansant sous le marronnier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Un fermier riche et de son âge,
Qu’elle espérait voir son époux,
La quitta, parce qu’au village
On riait de ses cheveux roux.
Puis deux, puis trois ; chacun repousse
Jeanne qui n’a pas un denier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Mais un vaurien dit : « Rousse ou blonde,
« Moi, pour femme, je te choisis.
« En vain les gardes font la ronde ;
« J’ai bon repaire et trois fusils.
« Faut-il bénir mon lit de mousse ;
« Du château payons l’aumônier. »
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Doux besoin d’être épouse et mère
Fit céder Jeanne qui, trois fois,
Depuis, dans une joie amère,
Accoucha seule au fond des bois.
Pauvres enfants ! chacun d’eux pousse
Frais comme un bouton printanier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
Quel miracle un bon cœur opère !
Jeanne, fidèle à ses devoirs,
Sourit encor ; car, de leur père,
Ses fils auront les cheveux noirs.
Elle sourit ; car sa voix douce
Rend l’espoir à son prisonnier.
Dieu, veillez sur Jeanne-la-Rousse ;
On a surpris le braconnier.
http://www.youtube.com/watch?v=_IfFIFfmz5I
Jean-Louis Murat est coutumier du fait, mettre en musique et chanter des textes de poètes anciens. Dans "Mockba", qui préfigure "1829", un disque uniquement composé de poèmes de Pierre Jean de Béranger mis en musique et chanté par Murat, il y a "Jeanne la Rousse" et "La fille du fossoyeur" ...
Il l'a fait également dans "Charles et Leo" où il chante des poèmes de Charles Baudelaire mis en musique par ... Léo Ferré mais jamais enregistrés par celui-ci ...
Jeanne la Rousse est particulièrement réussi.
On the road again, de Bernard Lavilliers
dans "If ..."
Nous étions jeunes et larges d'épaules
Bandits joyeux, insolents et drôles
On attendait que la mort nous frôle
On the road again, again
On the road again, again
Au petit jour on quittait l'Irlande
Et derrière nous s'éclairait la lande
Il fallait bien un jour qu'on nous pende
On the road again, again
On the road again, again
La mer revient toujours au rivage
Dans les blés mûrs y a des fleurs sauvages
N'y pense plus, tu es de passage
On the road again, again
On the road again, again
Nous étions jeunes et larges d'épaules
On attendait que la mort nous frôle
Elle nous a pris les beaux et les drôles
On the road again, again
On the road again, again
Ami sais-tu que les mots d'amour
Voyagent mal de nos jours
Tu partiras encore plus lourd
On the road again, again
On the road again, again
On the road again, again
On the road again, again
On the road again
http://youtube.com/watch/…
Il la chante encore si je ne m'abuse ...
dans "If ..."
Nous étions jeunes et larges d'épaules
Bandits joyeux, insolents et drôles
On attendait que la mort nous frôle
On the road again, again
On the road again, again
Au petit jour on quittait l'Irlande
Et derrière nous s'éclairait la lande
Il fallait bien un jour qu'on nous pende
On the road again, again
On the road again, again
La mer revient toujours au rivage
Dans les blés mûrs y a des fleurs sauvages
N'y pense plus, tu es de passage
On the road again, again
On the road again, again
Nous étions jeunes et larges d'épaules
On attendait que la mort nous frôle
Elle nous a pris les beaux et les drôles
On the road again, again
On the road again, again
Ami sais-tu que les mots d'amour
Voyagent mal de nos jours
Tu partiras encore plus lourd
On the road again, again
On the road again, again
On the road again, again
On the road again, again
On the road again
http://youtube.com/watch/…
Il la chante encore si je ne m'abuse ...
http://www.youtube.com/watch?v=6lLs2dC9NaE
I was dreaming of the past
And my heart was beating fast
I began to lose control
I began to lose control
I didn't mean to hurt you
I'm sorry that I made you cry
Oh well I didn't want to hurt you
I'm just a jealous guy
I was feeling insecure
You might not love me anymore
I was shivering inside
I was shivering inside
I didn't mean to hurt you
I'm sorry that I made you cry
Oh well I didn't want to hurt you
I'm just a jealous guy
I was tryin' to catch your eyes
Thought that you tryin' to hide
I was swallowing my pain
I was swallowing my pain
I didn't mean to hurt you
I'm sorry that I made you cry
Oh well I didn't want to hurt you
I'm just a jealous guy (watch out)
I'm just a jealous guy (look out baby)
I'm just a jealous guy
I was dreaming of the past
And my heart was beating fast
I began to lose control
I began to lose control
I didn't mean to hurt you
I'm sorry that I made you cry
Oh well I didn't want to hurt you
I'm just a jealous guy
I was feeling insecure
You might not love me anymore
I was shivering inside
I was shivering inside
I didn't mean to hurt you
I'm sorry that I made you cry
Oh well I didn't want to hurt you
I'm just a jealous guy
I was tryin' to catch your eyes
Thought that you tryin' to hide
I was swallowing my pain
I was swallowing my pain
I didn't mean to hurt you
I'm sorry that I made you cry
Oh well I didn't want to hurt you
I'm just a jealous guy (watch out)
I'm just a jealous guy (look out baby)
I'm just a jealous guy
Merci Sissi ! Magnifique chanson !
De rien! -) c'est ma pref de John Lennon.
Elle est triste mais elle m'apaise.
Elle est triste mais elle m'apaise.
Evidemment, elle est en anglais, mais je la trouve irrésistible, et quasi-"inoubliable".
http://www.youtube.com/watch?v=53ith7bNN8w
http://www.youtube.com/watch?v=53ith7bNN8w
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