Voici Victime de la mode, de MC Solaar :
http://www.youtube.com/watch?v=uDtqGdtLkTc
http://www.youtube.com/watch?v=uDtqGdtLkTc
Voici le prototype de la chanson d'été vaguement sympathique, mais assez peu sentie, ça se laisse juste écouter en fond sonore ; pardon, Yannick :
http://www.youtube.com/watch?v=NIcvc_qLWgA
http://www.youtube.com/watch?v=NIcvc_qLWgA
"Vies monotones" de Gérard Manset
dans "Lumières"
Nous avons des vies monotones,
Rien dans le cœur, rien dans la main.
Comme on ne dit plus rien à personne,
Personne ne nous dit plus rien.
Nous avons des vies monotones,
Des maisons vides et fermées,
Des portes lourdes et blindées
Que n´ouvriront plus jamais personne.
Mais comme il faut bien qu´on vive,
S´asseoir avec le même convive,
C´est pas le festin qu´on croyait,
Pas de fusée, pas de vin, pas de sorbet,
Y a plus qu´à tirer la nappe à soi,
Continuer chacun pour soi.
Nous avons des vies monotones,
Rien dans le cœur, rien dans la main,
Comme on n´attend rien de personne,
On n´a plus réponse à rien.
Nous avons des vies monotones,
Entourés d´hommes et de chiens,
Ceux qui mangent dans notre main,
Ce sont ceux-là qu´on abandonne
Mais comme il faut bien qu´on vive
Ce soir avec le même convive,
C´est pas la fête qu´on croyait
Où sont les lumières qui brillaient.
Y a plus qu´à tirer la nappe à soi,
Continuer chacun pour soi.
Nous avons des vies sans mélange
Qui s´en iront de tous côtés,
Raides et droites comme une planche
Sur l´océan de pauvreté.
http://youtube.com/watch/…
Ce CD, "Lumières" est radicalement magnifique. Quant au fait que nos vies puissent être monotones, c'est acté. Tout l'espoir réside dans le "puissent" !
dans "Lumières"
Nous avons des vies monotones,
Rien dans le cœur, rien dans la main.
Comme on ne dit plus rien à personne,
Personne ne nous dit plus rien.
Nous avons des vies monotones,
Des maisons vides et fermées,
Des portes lourdes et blindées
Que n´ouvriront plus jamais personne.
Mais comme il faut bien qu´on vive,
S´asseoir avec le même convive,
C´est pas le festin qu´on croyait,
Pas de fusée, pas de vin, pas de sorbet,
Y a plus qu´à tirer la nappe à soi,
Continuer chacun pour soi.
Nous avons des vies monotones,
Rien dans le cœur, rien dans la main,
Comme on n´attend rien de personne,
On n´a plus réponse à rien.
Nous avons des vies monotones,
Entourés d´hommes et de chiens,
Ceux qui mangent dans notre main,
Ce sont ceux-là qu´on abandonne
Mais comme il faut bien qu´on vive
Ce soir avec le même convive,
C´est pas la fête qu´on croyait
Où sont les lumières qui brillaient.
Y a plus qu´à tirer la nappe à soi,
Continuer chacun pour soi.
Nous avons des vies sans mélange
Qui s´en iront de tous côtés,
Raides et droites comme une planche
Sur l´océan de pauvreté.
http://youtube.com/watch/…
Ce CD, "Lumières" est radicalement magnifique. Quant au fait que nos vies puissent être monotones, c'est acté. Tout l'espoir réside dans le "puissent" !
Voici un moment un peu rétro, mais assez joli, avec Est-ce par hasard ?, de Dave :
http://www.youtube.com/watch?v=amiEHyQKEEE
http://www.youtube.com/watch?v=amiEHyQKEEE
http://dailymotion.com/video/…
Vous ne devinerez jamais qui est l'auteur-compositeur !
La Loire est un titre absolument magnifique je trouve, et les paroles :
La Loire a drôle de couleur
Qui vers la mer s'en va glissant
Si trouble qu'on dirait des pleurs
Si rouge qu'on dirait du sang
Sut-elle, la Loire, jamais
Ce que son ventre renfermait ?
Pourquoi ses eaux furent salies ?
Ce qu'elle draina dans son lit ?
Si trouble qu'on dirait des pleurs
Si rouge qu'on dirait du sang
La Loire vers la mer descend
Avec son étrange couleur
Bonne conscience des Nantais
Bonne conscience du puissant
La Loire fuit entre les quais
Et sous les ponts, sous les passants
Sous le temps lourd de deux cents ans
Mais qu'un parfum fort de souvenirs
Qu'un vent léger fait revenir
Au nez de Nantes encore absent
Sous les ponts et le long des quais
L'eau est si rouge qu'on dirait
Voir s'écouler des pleurs de sang
Et, piaillant, tous ces grands oiseaux
Lâchent le cri des innocents
Lâchent le rire des bourreaux
Et ces barques au fil de l'eau
Sont les galiotes de la mort
Les vagues, qu'on dirait des corps,
Dansent sous les pas des passants
Qui marchent depuis deux cents ans
Dessous les ponts, le long des quais
La Loire fuit qu'on la croirait
Emporter en elle un secret
A l'insu même du passant
Qui ne sait pas que sous ses pieds
La Loire a drôle de couleur
Et ne sent pas de Carrier
Le fort parfum, la triste odeur
L'eau de la Loire dans son lit
Cachant le mensonge endormi
Si trouble qu'on dirait des pleurs
Si rouge qu'on dirait du sang
La Loire vers la mer descent
Charrie ses kilos de malheur
Charrie la honte du passant
Charrie la haine du puissant
Charrie le cri des innocents
Charrie sa drôle de couleur
Et vers la mer s'en va glissant
Avec son étrange douleur...
Vous ne devinerez jamais qui est l'auteur-compositeur !
La Loire est un titre absolument magnifique je trouve, et les paroles :
La Loire a drôle de couleur
Qui vers la mer s'en va glissant
Si trouble qu'on dirait des pleurs
Si rouge qu'on dirait du sang
Sut-elle, la Loire, jamais
Ce que son ventre renfermait ?
Pourquoi ses eaux furent salies ?
Ce qu'elle draina dans son lit ?
Si trouble qu'on dirait des pleurs
Si rouge qu'on dirait du sang
La Loire vers la mer descend
Avec son étrange couleur
Bonne conscience des Nantais
Bonne conscience du puissant
La Loire fuit entre les quais
Et sous les ponts, sous les passants
Sous le temps lourd de deux cents ans
Mais qu'un parfum fort de souvenirs
Qu'un vent léger fait revenir
Au nez de Nantes encore absent
Sous les ponts et le long des quais
L'eau est si rouge qu'on dirait
Voir s'écouler des pleurs de sang
Et, piaillant, tous ces grands oiseaux
Lâchent le cri des innocents
Lâchent le rire des bourreaux
Et ces barques au fil de l'eau
Sont les galiotes de la mort
Les vagues, qu'on dirait des corps,
Dansent sous les pas des passants
Qui marchent depuis deux cents ans
Dessous les ponts, le long des quais
La Loire fuit qu'on la croirait
Emporter en elle un secret
A l'insu même du passant
Qui ne sait pas que sous ses pieds
La Loire a drôle de couleur
Et ne sent pas de Carrier
Le fort parfum, la triste odeur
L'eau de la Loire dans son lit
Cachant le mensonge endormi
Si trouble qu'on dirait des pleurs
Si rouge qu'on dirait du sang
La Loire vers la mer descent
Charrie ses kilos de malheur
Charrie la honte du passant
Charrie la haine du puissant
Charrie le cri des innocents
Charrie sa drôle de couleur
Et vers la mer s'en va glissant
Avec son étrange douleur...
Voici Seras-tu là, de Michel Berger :
http://www.youtube.com/watch?v=oFQw6kuAEJY
Très bien ça.
Voici Cézanne peint, de France Gall, chanson composée également par Michel Berger :
http://www.youtube.com/watch?v=cB8kQm-CmHY
http://www.youtube.com/watch?v=cB8kQm-CmHY
Voici Seras-tu là, de Michel Berger :
http://www.youtube.com/watch?v=oFQw6kuAEJY
Très bien ça.
Je suis content qu'elle te plaise.
Voici Je n'aurai pas le temps, de Michel Fugain :
http://www.youtube.com/watch?v=au-YXRdQGMM
http://www.youtube.com/watch?v=au-YXRdQGMM
Voici la chanson J'suis snob, de l'écrivain et musicien (compositeur-interprète, aussi trompettiste), Boris Vian, l'auteur de L'Ecume des jours et de J'irai cracher sur vos tombes :
http://www.youtube.com/watch?v=ojY1Sj1-E0Q
http://www.youtube.com/watch?v=ojY1Sj1-E0Q
Voici Kolé Séré, de Jocelyne Béroard et Philippe Lavil :
http://www.youtube.com/watch?v=-valtePLiHk
http://www.youtube.com/watch?v=-valtePLiHk
J'aime bien ça, beaucoup de souvenirs, je devais avoir 20 ans...
De Joe Dassin: "Marie-Jeanne". J'ai toujours été impressionné par cette chanson et les non-dits qu'elle charrie.
https://www.youtube.com/watch?v=uAdM4362y6Y
Et par rapport à l'original que je n'ai découvert que bien plus tard, je trouve que l'adaptateur n'a pas trop mal réussi son coup.
La version originale : https://www.youtube.com/watch?v=tR97ITFD76M
Sur l'histoire de la chanson : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ode_to_Billie_Joe
C´était le quatre juin, le soleil tapait depuis le matin
Je m´occupais de la vigne et mon frère chargeait le foin
Et l´heure du déjeuner venue, on est retourné à la maison
Et notre mère a crié de la cuisine "Essuyez vos pieds sur l´ paillasson"
Puis elle nous dit qu´elle avait des nouvelles de Bourg-les-Essonnes
Ce matin, Marie-Jeanne Guillaume s´est jetée du pont de la Garonne
Et mon père dit à ma mère en nous passant le plat de gratin
"La Marie-Jeanne, elle n´était pas très maligne, passe-moi donc le pain.
Y a bien encore deux hectares à labourer dans le champ de la canne"
Et maman dit "Tu vois, quand j´y pense, c´est quand même bête pour cette pauvre Marie-Jeanne
On dirait qu´il n´arrive jamais rien de bon à Bourg-les-Essonnes
Et voilà qu´ Marie-Jeanne Guillaume va s´ jeter du pont de la Garonne"
Et mon frère dit qu´il se souvenait quand lui et moi et le grand Nicolas
On avait mis une grenouille dans le dos de Marie-Jeanne, un soir au cinéma
Et il me dit "Tu te rappelles, tu lui parlais ce dimanche près de l´église
Donne-moi encore un peu de vin, c´est bien injuste la vie
Dire que j´ l´ai vue à la scierie hier à Bourg-les-Essonnes
Et qu´aujourd´hui Marie-Jeanne s´est jetée du pont de la Garonne"
Maman m´a dit enfin "Mon grand, tu n´as pas beaucoup d´appétit
J´ai cuisiné tout ce matin et tu n´as rien touché, tu n´as rien pris
Dis-moi, la sœur de ce jeune curé est passée en auto
Elle m´a dit qu´elle viendrait dimanche à dîner... Oh! et à propos
Elle dit qu´elle a vu un garçon qui t´ ressemblait à Bourg-les-Essonnes
Et lui et Marie-Jeanne jetaient quelque chose du pont de la Garonne"
Toute une année est passée, on ne parle plus du tout de Marie-Jeanne
Mon frère qui s´est marié a pris un magasin avec sa femme
La grippe est venue par chez nous et mon père en est mort en janvier
Depuis, maman n´a plus envie de faire grand-chose, elle est toujours fatiguée
Et moi, de temps en temps j´ vais ramasser quelques fleurs du côté des Essonnes
Et je les jette dans les eaux boueuses du haut du pont de la Garonne
https://www.youtube.com/watch?v=uAdM4362y6Y
Et par rapport à l'original que je n'ai découvert que bien plus tard, je trouve que l'adaptateur n'a pas trop mal réussi son coup.
La version originale : https://www.youtube.com/watch?v=tR97ITFD76M
Sur l'histoire de la chanson : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ode_to_Billie_Joe
C´était le quatre juin, le soleil tapait depuis le matin
Je m´occupais de la vigne et mon frère chargeait le foin
Et l´heure du déjeuner venue, on est retourné à la maison
Et notre mère a crié de la cuisine "Essuyez vos pieds sur l´ paillasson"
Puis elle nous dit qu´elle avait des nouvelles de Bourg-les-Essonnes
Ce matin, Marie-Jeanne Guillaume s´est jetée du pont de la Garonne
Et mon père dit à ma mère en nous passant le plat de gratin
"La Marie-Jeanne, elle n´était pas très maligne, passe-moi donc le pain.
Y a bien encore deux hectares à labourer dans le champ de la canne"
Et maman dit "Tu vois, quand j´y pense, c´est quand même bête pour cette pauvre Marie-Jeanne
On dirait qu´il n´arrive jamais rien de bon à Bourg-les-Essonnes
Et voilà qu´ Marie-Jeanne Guillaume va s´ jeter du pont de la Garonne"
Et mon frère dit qu´il se souvenait quand lui et moi et le grand Nicolas
On avait mis une grenouille dans le dos de Marie-Jeanne, un soir au cinéma
Et il me dit "Tu te rappelles, tu lui parlais ce dimanche près de l´église
Donne-moi encore un peu de vin, c´est bien injuste la vie
Dire que j´ l´ai vue à la scierie hier à Bourg-les-Essonnes
Et qu´aujourd´hui Marie-Jeanne s´est jetée du pont de la Garonne"
Maman m´a dit enfin "Mon grand, tu n´as pas beaucoup d´appétit
J´ai cuisiné tout ce matin et tu n´as rien touché, tu n´as rien pris
Dis-moi, la sœur de ce jeune curé est passée en auto
Elle m´a dit qu´elle viendrait dimanche à dîner... Oh! et à propos
Elle dit qu´elle a vu un garçon qui t´ ressemblait à Bourg-les-Essonnes
Et lui et Marie-Jeanne jetaient quelque chose du pont de la Garonne"
Toute une année est passée, on ne parle plus du tout de Marie-Jeanne
Mon frère qui s´est marié a pris un magasin avec sa femme
La grippe est venue par chez nous et mon père en est mort en janvier
Depuis, maman n´a plus envie de faire grand-chose, elle est toujours fatiguée
Et moi, de temps en temps j´ vais ramasser quelques fleurs du côté des Essonnes
Et je les jette dans les eaux boueuses du haut du pont de la Garonne
Voici "Alors raconte", de Gilbert Bécaud, assez drôle et sensible, bien que désuète :
http://www.youtube.com/watch?v=5hAm2EW-Iv8
http://www.youtube.com/watch?v=5hAm2EW-Iv8
Voici Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fête, de Ray Ventura et ses Collégiens. J'ai des goûts rétro, en ce moment, mais cette chanson s'applique bien à ce jour :
http://www.youtube.com/watch?v=DEFQ4PCvFBc
http://www.youtube.com/watch?v=DEFQ4PCvFBc
Voici Paris s'éveille, de Jacques Dutronc :
http://www.youtube.com/watch?v=7whXkifG_ms
http://www.youtube.com/watch?v=7whXkifG_ms
"Vendre les prés", de Jean-Louis Murat
dans "Grand Lièvre"
Les yeux semblent traqués
Comment nourrir les bouches
Les filles à marier
Et le linge brodé
V'là les automobiles
Jusque sous nos fenêtres
Dieu veuillez m'excuser
La lumière est mourante
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Il faut passer le bois
Grand-mère tient la maison
Pour quelque cul-terreux
Sans plus d'éducation
Quel travail de nuit
Foutu dans un dancing
De l'eau jusqu'aux chevilles
Tout nous tient désolés
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Enfants d'histoire d'amour
Enfants de la liqueur
La bruyère inconnue
Va de ce petit feu
Nous avons tant d'ennuis
Ne blamez pas le père
Voilà le temps de vivre
Par les choses éphémères
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Du fond de mon sommeil
J'ai vu venir la flèche
Nos vaches sous la pluie
Prudemment descendaient
Ceux mis dans le pétrin
A faire ce qu'on leur dit
Les coeurs brûlants de fièvre
Misère nom de Dieu
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Voilà monde moderne
Et son cul plein de boue
Accusant la montagne
D'être obstacle à la joie
Qui nous toise à travers
Ce devenir sombre
En tombée de la nuit
Tiens nous v'là l'ivre mort
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Comme la lumière est grise
Nous traversons les prés
Quand réciter par coeur
Est souvenir des lieux
Reste de vie stagnant
Comme reste une eau morte
Misère nom de Dieu
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Seul Jean-Louis Murat peut faire une chanson de ce type de drame rural ...
http://www.youtube.com/watch?v=Ns7Nb2NC958
dans "Grand Lièvre"
Les yeux semblent traqués
Comment nourrir les bouches
Les filles à marier
Et le linge brodé
V'là les automobiles
Jusque sous nos fenêtres
Dieu veuillez m'excuser
La lumière est mourante
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Il faut passer le bois
Grand-mère tient la maison
Pour quelque cul-terreux
Sans plus d'éducation
Quel travail de nuit
Foutu dans un dancing
De l'eau jusqu'aux chevilles
Tout nous tient désolés
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Enfants d'histoire d'amour
Enfants de la liqueur
La bruyère inconnue
Va de ce petit feu
Nous avons tant d'ennuis
Ne blamez pas le père
Voilà le temps de vivre
Par les choses éphémères
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Du fond de mon sommeil
J'ai vu venir la flèche
Nos vaches sous la pluie
Prudemment descendaient
Ceux mis dans le pétrin
A faire ce qu'on leur dit
Les coeurs brûlants de fièvre
Misère nom de Dieu
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Voilà monde moderne
Et son cul plein de boue
Accusant la montagne
D'être obstacle à la joie
Qui nous toise à travers
Ce devenir sombre
En tombée de la nuit
Tiens nous v'là l'ivre mort
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Comme la lumière est grise
Nous traversons les prés
Quand réciter par coeur
Est souvenir des lieux
Reste de vie stagnant
Comme reste une eau morte
Misère nom de Dieu
Il faut vendre la terre
Il faut vendre les prés
Seul Jean-Louis Murat peut faire une chanson de ce type de drame rural ...
http://www.youtube.com/watch?v=Ns7Nb2NC958
"Le mal de vivre", Barbara
Ça ne prévient pas quand ça arrive
Ça vient de loin
Ça c´est promené de rive en rive
La gueule en coin
Et puis un matin, au réveil
C´est presque rien
Mais c´est là, ça vous ensommeille
Au creux des reins
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu´il faut bien vivre
Vaille que vivre
On peut le mettre en bandoulière
Ou comme un bijou à la main
Comme une fleur en boutonnière
Ou juste à la pointe du sein
C´est pas forcément la misère
C´est pas Valmy, c´est pas Verdun
Mais c´est des larmes aux paupières
Au jour qui meurt, au jour qui vient
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu´il faut bien vivre
Vaille que vivre
Qu´on soit de Rome ou d´Amérique
Qu´on soit de Londres ou de Pékin
Qu´on soit d´Egypte ou bien d´Afrique
Ou de la porte Saint-Martin
On fait tous la même prière
On fait tous le même chemin
Qu´il est long lorsqu´il faut le faire
Avec son mal au creux des reins
Ils ont beau vouloir nous comprendre
Ceux qui nous viennent les mains nues
Nous ne voulons plus les entendre
On ne peut pas, on n´en peut plus
Et tous seuls dans le silence
D´une nuit qui n´en finit plus
Voilà que soudain on y pense
A ceux qui n´en sont pas revenus
Du mal de vivre
Leur mal de vivre
Qu´ils devaient vivre
Vaille que vivre
Et sans prévenir, ça arrive
Ça vient de loin
Ça c´est promené de rive en rive
Le rire en coin
Et puis un matin, au réveil
C´est presque rien
Mais c´est là, ça vous émerveille
Au creux des reins
La joie de vivre
La joie de vivre
Oh, viens la vivre
Ta joie de vivre
http://www.youtube.com/watch?v=QOXj23x5EW8
Ça ne prévient pas quand ça arrive
Ça vient de loin
Ça c´est promené de rive en rive
La gueule en coin
Et puis un matin, au réveil
C´est presque rien
Mais c´est là, ça vous ensommeille
Au creux des reins
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu´il faut bien vivre
Vaille que vivre
On peut le mettre en bandoulière
Ou comme un bijou à la main
Comme une fleur en boutonnière
Ou juste à la pointe du sein
C´est pas forcément la misère
C´est pas Valmy, c´est pas Verdun
Mais c´est des larmes aux paupières
Au jour qui meurt, au jour qui vient
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu´il faut bien vivre
Vaille que vivre
Qu´on soit de Rome ou d´Amérique
Qu´on soit de Londres ou de Pékin
Qu´on soit d´Egypte ou bien d´Afrique
Ou de la porte Saint-Martin
On fait tous la même prière
On fait tous le même chemin
Qu´il est long lorsqu´il faut le faire
Avec son mal au creux des reins
Ils ont beau vouloir nous comprendre
Ceux qui nous viennent les mains nues
Nous ne voulons plus les entendre
On ne peut pas, on n´en peut plus
Et tous seuls dans le silence
D´une nuit qui n´en finit plus
Voilà que soudain on y pense
A ceux qui n´en sont pas revenus
Du mal de vivre
Leur mal de vivre
Qu´ils devaient vivre
Vaille que vivre
Et sans prévenir, ça arrive
Ça vient de loin
Ça c´est promené de rive en rive
Le rire en coin
Et puis un matin, au réveil
C´est presque rien
Mais c´est là, ça vous émerveille
Au creux des reins
La joie de vivre
La joie de vivre
Oh, viens la vivre
Ta joie de vivre
http://www.youtube.com/watch?v=QOXj23x5EW8
Voici J'aurai voulu, de Marc Lavoine, sur la mélodie de la Moldau, de Bedrich Smetana :
http://www.youtube.com/watch?v=X0eAUZBxeRY
http://www.youtube.com/watch?v=X0eAUZBxeRY
Voici Demain ! de Thomas Dutronc :
https://www.youtube.com/watch?v=Bu-Qa3Gi5eo
https://www.youtube.com/watch?v=Bu-Qa3Gi5eo
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