Sobre la muerte, de Melissmell
dans "Ecoute s'il pleut"
On se dit merde et longue vie
mon âme est a vendre aujourd hui
un petit pactole une avance
je peux en tirer un bon prix
je peux en tirer un bon prix
On se dit merde et longue vie
j ai claqué la porte aujourd hui
au nez de la belle innocence pourtant je sais
j avais promis
pourtant je sais j avais promis
je sens encore en moi ce coeur qui bat
mais
mais les temps sont durs c est chacun pour soi
refrain X2
sobre la muerte je vous la vends mon âme
sobre la muerte
je sens deja les flammes lecher le peu qu'il reste de ... moi
On se dit merde et longue vie
moi c est la cinquième qui vacille
je suis morte plein de fois deja
comme Jesus Chris et les chats
comme Jesus Christ et les chats
On se dit merde et longue vie
je le porte loin ce pays
l'etendard qui brûlait mon ame
j en ai fait quelque converti
j'en ai fait quelque converti
je sens encore en moi ce coeur qui bat
mais les temps sont durs c'est chacun pour soi
refrain X4
Bien représentatif de l'esprit indompté de la dame Melissmell. Pas du genre à s'en laisser conter !
http://youtube.com/watch/…
dans "Ecoute s'il pleut"
On se dit merde et longue vie
mon âme est a vendre aujourd hui
un petit pactole une avance
je peux en tirer un bon prix
je peux en tirer un bon prix
On se dit merde et longue vie
j ai claqué la porte aujourd hui
au nez de la belle innocence pourtant je sais
j avais promis
pourtant je sais j avais promis
je sens encore en moi ce coeur qui bat
mais
mais les temps sont durs c est chacun pour soi
refrain X2
sobre la muerte je vous la vends mon âme
sobre la muerte
je sens deja les flammes lecher le peu qu'il reste de ... moi
On se dit merde et longue vie
moi c est la cinquième qui vacille
je suis morte plein de fois deja
comme Jesus Chris et les chats
comme Jesus Christ et les chats
On se dit merde et longue vie
je le porte loin ce pays
l'etendard qui brûlait mon ame
j en ai fait quelque converti
j'en ai fait quelque converti
je sens encore en moi ce coeur qui bat
mais les temps sont durs c'est chacun pour soi
refrain X4
Bien représentatif de l'esprit indompté de la dame Melissmell. Pas du genre à s'en laisser conter !
http://youtube.com/watch/…
Voici Le Responsable, de Jacques Dutronc :
https://www.youtube.com/watch?v=kQ9GMnZM_f4
https://www.youtube.com/watch?v=kQ9GMnZM_f4
Voici Les Princes des villes, de Michel Berger :
http://www.youtube.com/watch?v=CKG_UjqjlZ8
http://www.youtube.com/watch?v=CKG_UjqjlZ8
Comme j'ai vu récemment un film sur la chanteuse Violeta Parra je vous propose d'elle "Arriba quemando el sol" ici à la guitare (http://www.youtube.com/watch?v=s2E9AXJozGw) ou encore plus vibrant, dans cette vidéo tirée du film (http://www.youtube.com/watch?v=wfs-HEq873o, vers 2'05), accompagnée d'un seul tambour.
Voici Nuit, de Carole Fredericks, Jean-Jacques Goldman et Michael Jones :
http://www.youtube.com/watch?v=fqoMv1s1yh4
http://www.youtube.com/watch?v=fqoMv1s1yh4
Il ne dansera qu'avec elle, Dominique A
dans "La matière"
Il ne dansera qu'avec elle
C'est la seule qu'il invitera
A l'heure de faire tourner les belles
La seule qu'il prendra dans ses bras
Et ils tourneront jusqu'au bout
Et leurs yeux ne se lâcheront pas
Quand la musique s'arrêtera
Eux seuls seront encore debout
30 ans qu'ils viennent danser ici
30 ans qu'il s'assoit et l'attend
30 ans qu'elle arrive après lui
S'assoit en face de lui et attend
Et tout le monde les regarde
Et tout le monde les envie
On le voit traverser la salle
Elle dans sa main et lui sourit
Bien sûr parfois ils ont manqué
Le rendez-vous on a senti
Leurs regards ne pas se trouver
Par d'autres regards envahis
Mais à coup sûr la fois suivante
Au moment où il se levait
Pour l'inviter, elle-même allait
Vers lui et très vite ils partaient ensemble
Il ne dansera qu'avec elle
Même les soirs où elle n'est pas là
Il s'avancera vers les belles
Et à la place où elle n'est pas
Il tendra la main et bientôt
On le verra tout seul tourner
Et se pencher pour dire des mots
A celle qui ne veut plus danser
Il ne dansera qu'avec elle
Et il tournera jusqu'au bout
Même quand elle ne sera plus là
Quand la musique s'arrêtera
Lui seul sera encore debout
Il ne dansera qu'avec elle
Il ne dansera qu'avec elle
http://www.youtube.com/watch?v=KxARGltLCGs
Haut les coeurs ! Dominique A ne fait pas que dans l'exaltation !
dans "La matière"
Il ne dansera qu'avec elle
C'est la seule qu'il invitera
A l'heure de faire tourner les belles
La seule qu'il prendra dans ses bras
Et ils tourneront jusqu'au bout
Et leurs yeux ne se lâcheront pas
Quand la musique s'arrêtera
Eux seuls seront encore debout
30 ans qu'ils viennent danser ici
30 ans qu'il s'assoit et l'attend
30 ans qu'elle arrive après lui
S'assoit en face de lui et attend
Et tout le monde les regarde
Et tout le monde les envie
On le voit traverser la salle
Elle dans sa main et lui sourit
Bien sûr parfois ils ont manqué
Le rendez-vous on a senti
Leurs regards ne pas se trouver
Par d'autres regards envahis
Mais à coup sûr la fois suivante
Au moment où il se levait
Pour l'inviter, elle-même allait
Vers lui et très vite ils partaient ensemble
Il ne dansera qu'avec elle
Même les soirs où elle n'est pas là
Il s'avancera vers les belles
Et à la place où elle n'est pas
Il tendra la main et bientôt
On le verra tout seul tourner
Et se pencher pour dire des mots
A celle qui ne veut plus danser
Il ne dansera qu'avec elle
Et il tournera jusqu'au bout
Même quand elle ne sera plus là
Quand la musique s'arrêtera
Lui seul sera encore debout
Il ne dansera qu'avec elle
Il ne dansera qu'avec elle
http://www.youtube.com/watch?v=KxARGltLCGs
Haut les coeurs ! Dominique A ne fait pas que dans l'exaltation !
J'ai fréquenté la beauté, de Jean-Louis Murat
sans "Babel"
J’ai fréquenté la beauté
tout le mois de juillet
pauvre cœur je manquais d’amour
J’ai fréquenté la beauté
chaque jour abreuvé
à |’illusion des toujours
L’amour qui sait dévorer
qui nous jette au panier
pleurnichant route
de Latour
L’amour qui sait nous tromper
jamais sûr d’être aimé
par l’ hirondelle
des faubourgs
J’ai fréquenté la beauté
je n’en ai rien gardé
j’ai fréquenté la santé
chaque matin le lait
cœur humide j’honorais l’amour
j’ai fréquenté la santé
par les champs les forêts
partout où me menait le jour
Derrière la Banne
au Fohet, nu parmi
les genêts
je suivais la cavale
amour
J’ai fréquenté la santé
baiser boire et manger
pour l’hirondelle
des faubourgs
J’ai fréquenté la santé
je n’en ai rien gardé
j’ai fréquenté la gaieté
tout un mois de janvier
nuit et jour il neigeait autour
j’ai fréquenté la beauté
sur la A sur la B
à l’enchaînement des toujours
Au luxe qui garde le corps
sans regrets sans remords
sous la cascade
qu’elle adore
J’ai fréquenté la gaieté
mais je n’ai rien gardé
de |’hirondelle du faubourg
J’ai fréquenté la gaieté
je n’en ai rien gardé
http://youtube.com/watch/…
Du dernier "Babel", double conçu avec Delano Orchestra
sans "Babel"
J’ai fréquenté la beauté
tout le mois de juillet
pauvre cœur je manquais d’amour
J’ai fréquenté la beauté
chaque jour abreuvé
à |’illusion des toujours
L’amour qui sait dévorer
qui nous jette au panier
pleurnichant route
de Latour
L’amour qui sait nous tromper
jamais sûr d’être aimé
par l’ hirondelle
des faubourgs
J’ai fréquenté la beauté
je n’en ai rien gardé
j’ai fréquenté la santé
chaque matin le lait
cœur humide j’honorais l’amour
j’ai fréquenté la santé
par les champs les forêts
partout où me menait le jour
Derrière la Banne
au Fohet, nu parmi
les genêts
je suivais la cavale
amour
J’ai fréquenté la santé
baiser boire et manger
pour l’hirondelle
des faubourgs
J’ai fréquenté la santé
je n’en ai rien gardé
j’ai fréquenté la gaieté
tout un mois de janvier
nuit et jour il neigeait autour
j’ai fréquenté la beauté
sur la A sur la B
à l’enchaînement des toujours
Au luxe qui garde le corps
sans regrets sans remords
sous la cascade
qu’elle adore
J’ai fréquenté la gaieté
mais je n’ai rien gardé
de |’hirondelle du faubourg
J’ai fréquenté la gaieté
je n’en ai rien gardé
http://youtube.com/watch/…
Du dernier "Babel", double conçu avec Delano Orchestra
Voici Bébé comme la vie, de France Gall :
https://www.youtube.com/watch?v=-cEvRBJoLHA
https://www.youtube.com/watch?v=-cEvRBJoLHA
Voici Besoin de personne, de Véronique Samson :
https://www.youtube.com/watch?v=2E-e4rPcWx4
https://www.youtube.com/watch?v=2E-e4rPcWx4
Ce qui nous atteint, de Miossec
dans "Ici bas, ici même"
On ne se refait pas
On veut toujours ce qu'on a pas
On veut le velours
On veut la soie
Être moins lourd
Et perdre un peu de poids
On ne se refait pas
On veut des loisirs
On veut de la joie
Un bel avenir
Ne pas prendre froid
Ne pas trop souffrir
Ne pas en rester là
Ce qui nous arrive
Ne dépend plus vraiment de moi
Ce qui nous atteint
Était dans l'air depuis des mois
Ce qui se passe
C'est que l'histoire bégaye déjà
Ce qui se passe
C'est qu'on est toujours bel et bien là
On ne se plaît pas tant que ça
On connaît ses défauts
On sait bien ce qui ne va pas
Ce qui est trop haut
Ce qui ne sera jamais droit
Ce qui n'est pas beau
Ce qui le deviendra
Ce qui prendra l'eau
Ce qui surnagera
On verra bientôt si on sait marcher au pas
Ce qui nous arrive
Ne dépend plus vraiment de moi
Ce qui nous atteint
Était dans l'air depuis des mois
Ce qui se passe
C'est que l'histoire bégaye déjà
Ce qui se passe
C'est qu'on est toujours bel et bien là
On ne se refait pas
On est effrayé
De ce qui arrivera
On regarde la mer monter
Jusqu'à où on ne sait pas
On est quand même mouillé
Car on vit bel et bien là
Miossec hier soir à Aix Les Bains, avec une formation moins "électrique", dans l'esprit de son dernier CD. Public de fervents - Miossec peut insupporter mais Miossec ne laisse pas indifférent.
Cette chanson, déjà écoutée sur CD, ne m'avait pas spécialement frappé. Hier dans le cadre du concert, chanté "ligne claire", dépouillée d'atifices, écoutée environné d'autres amoureux de Miossec, cette chanson m'a glacé. Grand froid dans le dos dans ce que j'ai compris ? cru comprendre ? Hélas, il me semble l'avoir bien interprétée ...
https://youtube.com/watch/…
dans "Ici bas, ici même"
On ne se refait pas
On veut toujours ce qu'on a pas
On veut le velours
On veut la soie
Être moins lourd
Et perdre un peu de poids
On ne se refait pas
On veut des loisirs
On veut de la joie
Un bel avenir
Ne pas prendre froid
Ne pas trop souffrir
Ne pas en rester là
Ce qui nous arrive
Ne dépend plus vraiment de moi
Ce qui nous atteint
Était dans l'air depuis des mois
Ce qui se passe
C'est que l'histoire bégaye déjà
Ce qui se passe
C'est qu'on est toujours bel et bien là
On ne se plaît pas tant que ça
On connaît ses défauts
On sait bien ce qui ne va pas
Ce qui est trop haut
Ce qui ne sera jamais droit
Ce qui n'est pas beau
Ce qui le deviendra
Ce qui prendra l'eau
Ce qui surnagera
On verra bientôt si on sait marcher au pas
Ce qui nous arrive
Ne dépend plus vraiment de moi
Ce qui nous atteint
Était dans l'air depuis des mois
Ce qui se passe
C'est que l'histoire bégaye déjà
Ce qui se passe
C'est qu'on est toujours bel et bien là
On ne se refait pas
On est effrayé
De ce qui arrivera
On regarde la mer monter
Jusqu'à où on ne sait pas
On est quand même mouillé
Car on vit bel et bien là
Miossec hier soir à Aix Les Bains, avec une formation moins "électrique", dans l'esprit de son dernier CD. Public de fervents - Miossec peut insupporter mais Miossec ne laisse pas indifférent.
Cette chanson, déjà écoutée sur CD, ne m'avait pas spécialement frappé. Hier dans le cadre du concert, chanté "ligne claire", dépouillée d'atifices, écoutée environné d'autres amoureux de Miossec, cette chanson m'a glacé. Grand froid dans le dos dans ce que j'ai compris ? cru comprendre ? Hélas, il me semble l'avoir bien interprétée ...
https://youtube.com/watch/…
Tiens, voici deux extraits du nouvel album d'AC-DC.
Play ball: https://www.youtube.com/watch?v=TT8e7i0ccLQ
Rock or bust: https://www.youtube.com/watch?v=_NdHySPJr8I
Play ball: https://www.youtube.com/watch?v=TT8e7i0ccLQ
Rock or bust: https://www.youtube.com/watch?v=_NdHySPJr8I
Voici Le Bal masqué, de la Compagnie créole :
https://www.youtube.com/watch?v=j-48Xg2cKyg
https://www.youtube.com/watch?v=j-48Xg2cKyg
Un violon, un jambon, de Serge Gainsbourg
Écoute-moi toi qui t'crois seul au monde
Tout seul abandonné
Faut trois fois rien pour entrer dans la ronde
De tous les mal-aimés
Suspends un violon un jambon à ta porte
Et tu verras rappliquer les copains
Tous tes soucis que le diable les emporte
Jusqu'à demain
Ta petite amie t'a largué en route
Les filles c'est pas sérieux
L'amour est aveugle à ça aucun doute
Et oui ça crève les yeux
Suspend un violon un jambon à ta porte
Et tu verras rappliquer les copains
Tous tes soucis que le diable les emporte
Jusqu'à demain
Qu'importe si c'est chaque fois la même
Chose, t'en fais donc pas
Mon vieux quand on a pas ce que l'on aime
Faut aimer c'que l'on a
Suspends un violon un jambon à ta porte
Et tu verras rappliquer les copains
Tous tes soucis que le diable les emporte
Jusqu'à demain
https://www.youtube.com/watch?v=KyX8wnRGZwk
Clairement, Serge Gainsbourg a ... fait déjà beaucoup mieux. Comme quoi même les meilleurs ... !
Prix spécial Ringardise !!
Écoute-moi toi qui t'crois seul au monde
Tout seul abandonné
Faut trois fois rien pour entrer dans la ronde
De tous les mal-aimés
Suspends un violon un jambon à ta porte
Et tu verras rappliquer les copains
Tous tes soucis que le diable les emporte
Jusqu'à demain
Ta petite amie t'a largué en route
Les filles c'est pas sérieux
L'amour est aveugle à ça aucun doute
Et oui ça crève les yeux
Suspend un violon un jambon à ta porte
Et tu verras rappliquer les copains
Tous tes soucis que le diable les emporte
Jusqu'à demain
Qu'importe si c'est chaque fois la même
Chose, t'en fais donc pas
Mon vieux quand on a pas ce que l'on aime
Faut aimer c'que l'on a
Suspends un violon un jambon à ta porte
Et tu verras rappliquer les copains
Tous tes soucis que le diable les emporte
Jusqu'à demain
https://www.youtube.com/watch?v=KyX8wnRGZwk
Clairement, Serge Gainsbourg a ... fait déjà beaucoup mieux. Comme quoi même les meilleurs ... !
Prix spécial Ringardise !!
Le vieil amant, d'Emilie Simon
dans "Végétal"
Mon amour j'ai pensé
Avec naïveté
Qu'un brin seul de muguet
Pouvait te ramener
Alors j'ai retrouvé
Un ou deux vieux sonnets
Pour te rappeler
Pour te rappeler
A moi mon amour
A travers ce beau jour
De printemps j'ai laissé
Près de tes pieds tomber
Un brin seul de muguet
Mais il s'est desséché
Attendant ce baiser
Qui ne viendra jamais
Le mois de mai
S'est joué de moi
Cette année
J'ai laissé couler trop d'émois
Cette fois le mois mai
S'est moqué de moi
Cette année
J'ai laissé couler trop d'émois
Cette fois
Cette fois
Il est parti le temps
Il n'a pas pris son temps
Me voilà qui t'attends
Comme un vieux prétendant
Me voilà qui regrette
Devant ces quelques miettes
Une vielle amourette
Qui n'a ni queue ni tête
Mon amour j'ai pensé
Avec naïveté
Qu'un brin seul de muguet
Pouvait te ramener
Alors j'ai retrouvé
Un ou deux vieux sonnets
Que tu n'as jamais aimé
Le mois de mai
S'est joué de moi
Cette année
J'ai laissé couler trop d'émois
Cette fois le mois mai
S'est moqué de moi
Cette année
J'ai laisser couler trop d'émois
Cette fois
Cette fois
Je voulais je l'avoue
Danser joue contre joue
Je l'avoue je rêvais
De te faire tournoyer
Respirer cet air frais
Regarder rayonner
Le visage d'un amour
Qui n'a pas vu le jour
Mon amour j'ai pensé
Avec naïveté
Qu'un brin seul de muguet
Pouvait te ramener
Alors j'ai retrouvé
Un ou deux vieux sonnets
Je sais tu n'aimes pas les sonnets
Je sais
Le mois de mai
S'est joué de moi
Cette année
J'ai laisser couler trop d'émois
Cette fois le mois mai
S'est moqué de moi
Cette année
J'ai laisser couler trop d'émois
Cette fois
Cette fois
https://youtube.com/watch/…
Belle atmosphère, que sait mettre en place Emilie Simon. Musicalement, elle est au point. Au niveau propos, c'est son monde à elle. Un monde qui me fait penser à des pétales de fleurs fanées qu'on conserverait dans un tiroir secret et qu'on ne jetterait pour rien au monde ...
Elle est à voir sur scène cette Emilie Simon.
dans "Végétal"
Mon amour j'ai pensé
Avec naïveté
Qu'un brin seul de muguet
Pouvait te ramener
Alors j'ai retrouvé
Un ou deux vieux sonnets
Pour te rappeler
Pour te rappeler
A moi mon amour
A travers ce beau jour
De printemps j'ai laissé
Près de tes pieds tomber
Un brin seul de muguet
Mais il s'est desséché
Attendant ce baiser
Qui ne viendra jamais
Le mois de mai
S'est joué de moi
Cette année
J'ai laissé couler trop d'émois
Cette fois le mois mai
S'est moqué de moi
Cette année
J'ai laissé couler trop d'émois
Cette fois
Cette fois
Il est parti le temps
Il n'a pas pris son temps
Me voilà qui t'attends
Comme un vieux prétendant
Me voilà qui regrette
Devant ces quelques miettes
Une vielle amourette
Qui n'a ni queue ni tête
Mon amour j'ai pensé
Avec naïveté
Qu'un brin seul de muguet
Pouvait te ramener
Alors j'ai retrouvé
Un ou deux vieux sonnets
Que tu n'as jamais aimé
Le mois de mai
S'est joué de moi
Cette année
J'ai laissé couler trop d'émois
Cette fois le mois mai
S'est moqué de moi
Cette année
J'ai laisser couler trop d'émois
Cette fois
Cette fois
Je voulais je l'avoue
Danser joue contre joue
Je l'avoue je rêvais
De te faire tournoyer
Respirer cet air frais
Regarder rayonner
Le visage d'un amour
Qui n'a pas vu le jour
Mon amour j'ai pensé
Avec naïveté
Qu'un brin seul de muguet
Pouvait te ramener
Alors j'ai retrouvé
Un ou deux vieux sonnets
Je sais tu n'aimes pas les sonnets
Je sais
Le mois de mai
S'est joué de moi
Cette année
J'ai laisser couler trop d'émois
Cette fois le mois mai
S'est moqué de moi
Cette année
J'ai laisser couler trop d'émois
Cette fois
Cette fois
https://youtube.com/watch/…
Belle atmosphère, que sait mettre en place Emilie Simon. Musicalement, elle est au point. Au niveau propos, c'est son monde à elle. Un monde qui me fait penser à des pétales de fleurs fanées qu'on conserverait dans un tiroir secret et qu'on ne jetterait pour rien au monde ...
Elle est à voir sur scène cette Emilie Simon.
Voici Tout le bonheur du monde, de Sinsémilia :
https://www.youtube.com/watch?v=BM8YKX1h3As
https://www.youtube.com/watch?v=BM8YKX1h3As
Voici Madame rêve, d'Alain Bashung :
https://www.youtube.com/watch?v=TeaToYHqOfE
https://www.youtube.com/watch?v=TeaToYHqOfE
Frelons d'Asie, de Jean-Louis Murat
dans "Babel"
Il avait la maladie
Le mal amer
Et puis la fatigue aussi
Depuis des semaines
Qu’as-tu dit?
Qu’aurais-tu dit?
«Je crois le temps va
se lever»
Qu’as-tu dit
Qu’aurais-tu dit?
Que vas-tu faire
A minuit
Seul dans la forêt
Il voulait finir sa vie
Au nid de frelons
Allonger la langue ainsi
Du miel aux frelons
Rayer le temps des soucis
Waouh! le coup est parti
Baiser le cul de Fanny
Que vas-tu faire
A minuit
Seul dans la forêt
Voilà le coma sans abri
Au grand cimetière
Le veuf avait l’air joli
Il a les yeux de sa mère
Digne fils, dernier cri
En lettres noires dégouline
Sur ces êtres mal cuits
Que vas-tu faire
A minuit
Seul dans la forêt
Voilà la chose
Qui asphyxie
Oui, je te jure ça sent le lait
Tu es ma salive ami
Que tout ruisselle le long
Fanatiques accroupis
Les anges les bergers pourris
Tous ont dit tous auront dit
«Que viens-tu faire à minuit
Seul dans la forêt»
Au tableau
Pour te punir
J’ai pris les frelons d’Asie
Chut! pas de bruit
C’est les frelons d’Asie
Si le chien est le gabarit
Je ne veux plus te tourner
Adieu
Volcans chéris
Qu’irions-nous faire
A minuit
Seuls dans la forêt
https://youtube.com/watch/…
Evidemment énigmatique ... Une chanson taillée pour être jouée en concert, mais sans la trompette du Delano Oechestra, comment va-t-il faire ?
dans "Babel"
Il avait la maladie
Le mal amer
Et puis la fatigue aussi
Depuis des semaines
Qu’as-tu dit?
Qu’aurais-tu dit?
«Je crois le temps va
se lever»
Qu’as-tu dit
Qu’aurais-tu dit?
Que vas-tu faire
A minuit
Seul dans la forêt
Il voulait finir sa vie
Au nid de frelons
Allonger la langue ainsi
Du miel aux frelons
Rayer le temps des soucis
Waouh! le coup est parti
Baiser le cul de Fanny
Que vas-tu faire
A minuit
Seul dans la forêt
Voilà le coma sans abri
Au grand cimetière
Le veuf avait l’air joli
Il a les yeux de sa mère
Digne fils, dernier cri
En lettres noires dégouline
Sur ces êtres mal cuits
Que vas-tu faire
A minuit
Seul dans la forêt
Voilà la chose
Qui asphyxie
Oui, je te jure ça sent le lait
Tu es ma salive ami
Que tout ruisselle le long
Fanatiques accroupis
Les anges les bergers pourris
Tous ont dit tous auront dit
«Que viens-tu faire à minuit
Seul dans la forêt»
Au tableau
Pour te punir
J’ai pris les frelons d’Asie
Chut! pas de bruit
C’est les frelons d’Asie
Si le chien est le gabarit
Je ne veux plus te tourner
Adieu
Volcans chéris
Qu’irions-nous faire
A minuit
Seuls dans la forêt
https://youtube.com/watch/…
Evidemment énigmatique ... Une chanson taillée pour être jouée en concert, mais sans la trompette du Delano Oechestra, comment va-t-il faire ?
Voici Tu manques, de Jean-Jacques Goldman, en collaboration avec Carol Fredericks et Michael Jones :
https://www.youtube.com/watch?v=3-AoeWZpRGY
https://www.youtube.com/watch?v=3-AoeWZpRGY
La ballade des gens qui sont nés quelque part, de Georges Brassens
C'est vrai qu'ils sont plaisants, tous ces petits villages,
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages,
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est d'être habités.
Et c'est d'être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts,
La race des chauvins, des porteurs de cocardes,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour tout's sur leur clocher,
Qui vous montrent leurs tours, leurs musé’s, leur mairie,
Vous font voir du pays natal jusqu'à loucher.
Qu'ils sortent de Paris, ou de Rome, ou de Sète,
Ou du diable vauvert ou de Zanzibar,
Ou même de Montcuq, ils s'en flattent mazette,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
Le sable dans lequel, douillettes, leurs autruches
Enfouissent la tête, on trouve pas plus fin,
Quant à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches,
Leurs bulles de savon, c'est du souffle divin.
Et, petit à petit, les voilà qui se montent
Le cou jusqu'à penser que le crottin fait par
Les chevaux, même en bois, rend jaloux tout le monde,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
C'est pas un lieu commun celui de leur naissance,
Ils plaignent de tout coeur les pauvres malchanceux,
Les petits maladroits qui n'eur’nt pas la présence,
La présence d'esprit de voir le jour chez eux.
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire,
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares,
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
Mon dieu, qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si on n'y rencontrait cette race incongru’,
Cette race importune et qui partout foisonne :
La race des gens du terroir, des gens du cru.
Que la vi’ serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards,
Preuve, peut-être bien, de votre inexistence :
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
https://youtube.com/watch/…
Qui a dit que Georges Brassens n'était plus actuel ?!
C'est vrai qu'ils sont plaisants, tous ces petits villages,
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages,
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est d'être habités.
Et c'est d'être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts,
La race des chauvins, des porteurs de cocardes,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour tout's sur leur clocher,
Qui vous montrent leurs tours, leurs musé’s, leur mairie,
Vous font voir du pays natal jusqu'à loucher.
Qu'ils sortent de Paris, ou de Rome, ou de Sète,
Ou du diable vauvert ou de Zanzibar,
Ou même de Montcuq, ils s'en flattent mazette,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
Le sable dans lequel, douillettes, leurs autruches
Enfouissent la tête, on trouve pas plus fin,
Quant à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches,
Leurs bulles de savon, c'est du souffle divin.
Et, petit à petit, les voilà qui se montent
Le cou jusqu'à penser que le crottin fait par
Les chevaux, même en bois, rend jaloux tout le monde,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
C'est pas un lieu commun celui de leur naissance,
Ils plaignent de tout coeur les pauvres malchanceux,
Les petits maladroits qui n'eur’nt pas la présence,
La présence d'esprit de voir le jour chez eux.
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire,
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares,
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
Mon dieu, qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si on n'y rencontrait cette race incongru’,
Cette race importune et qui partout foisonne :
La race des gens du terroir, des gens du cru.
Que la vi’ serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards,
Preuve, peut-être bien, de votre inexistence :
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part,
Les imbécil’s heureux qui sont nés quelque part.
https://youtube.com/watch/…
Qui a dit que Georges Brassens n'était plus actuel ?!
Voici Juste quelque bien, de la chanteuse Enzo Enzo :
https://www.youtube.com/watch?v=Bo16qG-a9WM
https://www.youtube.com/watch?v=Bo16qG-a9WM
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