Il fallait lire " toilettes utilisées" dans mon message du 20 août à 21 h 41 !!!!!!!!!
SJB, c'est un véritable régal de te lire... ;-)
SJB, c'est un véritable régal de te lire... ;-)
Et comment!
Je me réjouis dès que je vois qu'il a posté un message! :-)
Allez SJB, je vais te faire plaisir: le coup des pâtissières, c'était too much et un peu lourdingue.
Je vais attaquer le chapitre 4 de la troisième partie.
J'ai adoré le 3ème chapitre,d'abord parce que c'est la suite du deux, ensuite parce que c'est de nouveau très drôle (mais, je l'avoue, j'ai un humour très facile!)
J'aime beaucoup, de mieux en mieux. Je concède qu'avec les filles de sa logeuse c'était lourdingue, il a parfois tendance à gâcher ses effets en rajoutant trop de couches.
J’ai terminé la deuxième partie.
Je comprends les commentaires de SJB, au niveau de l’histoire. C’est un récit initiatique plutôt classique comme j’en ai lu des dizaines. Mais, celui-là démontre une belle exubérance et un humour qui fait sourire.
La passe des pâtissières, bah, c’est du vaudeville!
Je suis curieux quand même de savoir ce qui est autobiographique et ce qui est inventé? Mais bon, on ne le saura jamais.
Je comprends les commentaires de SJB, au niveau de l’histoire. C’est un récit initiatique plutôt classique comme j’en ai lu des dizaines. Mais, celui-là démontre une belle exubérance et un humour qui fait sourire.
La passe des pâtissières, bah, c’est du vaudeville!
Je suis curieux quand même de savoir ce qui est autobiographique et ce qui est inventé? Mais bon, on ne le saura jamais.
J'aime beaucoup, de mieux en mieux. Je concède qu'avec les filles de sa logeuse c'était lourdingue,
Les filles dis-tu? Mais tu en es où exactement?
Bon je n'en dis pas plus!
PS Ca a pas du être facile de passer de Jane Eye à ça quand même.
J’ai terminé la deuxième partie.
Déjà??
Tu es très rapide.
Ben, les trois patissières, ce ne sont pas les filles de la proprio ou il loue une chambre ?
Comme dit Aaro, c'est du vaudeville. C'est marrant mais le mélange des genres n'est pas heureux.
Comme dit Aaro, c'est du vaudeville. C'est marrant mais le mélange des genres n'est pas heureux.
Je termine la deuxième partie.
Vaudeville assuré avec des passages lourdingues!
Ai-je loupé quelque chose au sujet des filles de la logeuse?
@ Sissi: tu en as trop dit ou pas assez!!!!
Allez zou la troisième partie...
Vaudeville assuré avec des passages lourdingues!
Ai-je loupé quelque chose au sujet des filles de la logeuse?
@ Sissi: tu en as trop dit ou pas assez!!!!
Allez zou la troisième partie...
Ben, les trois patissières, ce ne sont pas les filles de la proprio ou il loue une chambre ?
Y'a deux filles, Vanina et Berta, qui sont les filles d'Elide, la proprio.
C'est pas pareil dans la version française?
@ Sissi: tu en as trop dit ou pas assez!!!!
Allez zou la troisième partie...
Tu vas vite comprendre dans le début de cette troisième partie.
La scène de l'éboulement ne fait que renforcer cette tonalité plus sérieuse. Une scène à laquelle je ne m'attendais pas.
Oui...et après ça c'est beaucoup plus sombre, plus triste, tout s'écroule un peu en général, je trouve.
Me restent trois chapitres...snif!
La scène de l'éboulement ne fait que renforcer cette tonalité plus sérieuse. Une scène à laquelle je ne m'attendais pas.
Oui...et après ça c'est beaucoup plus sombre, plus triste, tout s'écroule un peu en général, je trouve.
Me restent trois chapitres...snif!
Oui tu as raison. Il me semble que dans "Margherita dolcevita" aussi ... Il y a le fameux cube qui s'écroule, enfin je crois ...
La scène de l'éboulement ne fait que renforcer cette tonalité plus sérieuse. Une scène à laquelle je ne m'attendais pas.
Oui...et après ça c'est beaucoup plus sombre, plus triste, tout s'écroule un peu en général, je trouve.
Me restent trois chapitres...snif!
Oui tu as raison. Il me semble que dans "Margherita dolcevita" aussi ... Il y a le fameux cube qui s'écroule, enfin je crois ...
Ah oui maintenant que tu le dis, il me semble bien.
Je viens de finir le roman.
Malgré des éléments imaginaires, j'ai le sentiment que l'on a les deux pieds dans le réel. Il y a quelque chose d'amer et de nostalgique à la fin de ce roman.
- SPOILER -
p.372-373 : Beaucoup aimé le court paragraphe où il est question du feu d'artifice. On a l'impression que le ciel devient un jardin fleuri ou bien des fonds marins.
Comme dans les fables traditionnelles, petite leçon de vie à l'extrême fin. La boucle est bouclée.
L'héritage en bois du père de Saltatempo offre quelques belles scènes.
Fin du SPOILER.
Malgré des éléments imaginaires, j'ai le sentiment que l'on a les deux pieds dans le réel. Il y a quelque chose d'amer et de nostalgique à la fin de ce roman.
- SPOILER -
p.372-373 : Beaucoup aimé le court paragraphe où il est question du feu d'artifice. On a l'impression que le ciel devient un jardin fleuri ou bien des fonds marins.
Comme dans les fables traditionnelles, petite leçon de vie à l'extrême fin. La boucle est bouclée.
L'héritage en bois du père de Saltatempo offre quelques belles scènes.
Fin du SPOILER.
Je suis curieux quand même de savoir ce qui est autobiographique et ce qui est inventé? Mais bon, on ne le saura jamais.
Je le crois aussi. Pour ce qui est du caractère autobiographique ( "vaguement autobiographique" ), il y le surnom "Lupetto", le métier de journaliste, le goût pour l'imaginaire, un intérêt prononcé pour l'homme du peuple, des campagnes. Après, mystère ...
J'ai terminé.
Alors moi j'ai beaucoup aimé ce livre, peut-être moins que "Le bar sous la mer", mais plus que "Margharita Dolcevita".
La troisième partie est vraiment bonne, elle m'a beaucoup touchée.
Beaucoup de nostalgie...
J'ai apprécié le style alerte, l'humour, la tendresse, et puis la tristesse, aussi.
Alors concernant la quatrième de couverture, c'est la même chose dans l'édition Feltrinelli, on laisse entendre que le livre va être axé sur ce pouvoir de Saltapempo à voyager dans le temps, alors que ce n'est pas du tout ça. C'est mal fichu.
En vérité, c'est un livre sur le temps qui passe et nous dépasse souvent, sur les choses (les évènements, la société, l'entourage, les gens, les sentiments) qui changent sans cesse, parfois très (trop) vite. Sur le destin, sur la fatalité et sur les choix.
Finalement, le pouvoir de Saltatempo, nous l'avons tous: c'est celui d'entrevoir et d'envisager tous les possibles possibles (hé hé..), les différents chemins possibles à prendre...et de choisir, dans la mesure du possible, le bon. A coeur vaillant rien d'impossible...
Fin de la lecture commune.
Un grand merci à Pucksimberg pour cette belle initiative, et merci à SJB qui a sans doute eu l'impression de perdre son temps mais qui nous en a fait prendre du bon! :-) (en même temp son reste dans le thème, comme ça...)
Alors moi j'ai beaucoup aimé ce livre, peut-être moins que "Le bar sous la mer", mais plus que "Margharita Dolcevita".
La troisième partie est vraiment bonne, elle m'a beaucoup touchée.
Beaucoup de nostalgie...
J'ai apprécié le style alerte, l'humour, la tendresse, et puis la tristesse, aussi.
Alors concernant la quatrième de couverture, c'est la même chose dans l'édition Feltrinelli, on laisse entendre que le livre va être axé sur ce pouvoir de Saltapempo à voyager dans le temps, alors que ce n'est pas du tout ça. C'est mal fichu.
En vérité, c'est un livre sur le temps qui passe et nous dépasse souvent, sur les choses (les évènements, la société, l'entourage, les gens, les sentiments) qui changent sans cesse, parfois très (trop) vite. Sur le destin, sur la fatalité et sur les choix.
Finalement, le pouvoir de Saltatempo, nous l'avons tous: c'est celui d'entrevoir et d'envisager tous les possibles possibles (hé hé..), les différents chemins possibles à prendre...et de choisir, dans la mesure du possible, le bon. A coeur vaillant rien d'impossible...
Fin de la lecture commune.
Un grand merci à Pucksimberg pour cette belle initiative, et merci à SJB qui a sans doute eu l'impression de perdre son temps mais qui nous en a fait prendre du bon! :-) (en même temp son reste dans le thème, comme ça...)
J'ai terminé.Hééééé ! mais moi j'ai pas fini...
Fin de la lecture commune.
;-))
SPOILER
Ai-je loupé quelque chose au sujet des filles de la logeuse?
Les deux filles y sont passées, alors la mère, selon une logique toute féminine, a dit : si mes filles ont droit, moi j'ai droit aussi !
;-))
La troisième partie commence par une page sensationnelle qui prouve que Benni sait écrire. C'est un bel hymne à la liberté, à la recherche de liberté, plutôt ; avec une belle évocation de l'égocentrisme de tout un chacun.
Et puis ça repart pour les petites popotes habituelles.
C'est pas les carottes qui sont cuites pour moi, Sissi, et c'est pas mon cas qui est désespéré, c'est ce fichu récit qui s'élève parfois vers les sommets pour immédiatement retomber, désespérément, au ras des pâquerettes...
On a un beau morceau de bravoure pour nous dire comment Salta sort de son journal la tête haute (2 pages) et puis le train-train repart...
Et même le vrai train pour Paris !
Attention SPOILER.
Alors nous allons vivre une grande aventure avec Saltatempo. Il a lu Rimbaud, Baudelaire, Aragon... il aime le beau, il va découvrir Notre-Dame, la Sainte Chapelle, il va être saisi par la grandeur des lieux, nous allons vibrer avec lui dans les espaces infinis des merveilles inaccessibles... son âme va s'éveiller, s'élever, jusqu'au mysticisme peut-être...
Il va visiter Le Louvre, le Quai d'Orsay, il va nous raconter, tel Stendhal à Florence, ses émois jusqu'à la pâmoison devant tant de splendeurs, il va se trouver une place dans le cosmos du beau, son esprit va s'ouvrir sur un monde nouveau, le monde du sublime, nous allons vibrer avec lui dans les espaces inouïs des découvertes mystérieuses et métaphysiques...
Et bien, pas du tout ! Rien de tout ça ! Rien de rien ! Ha ha ha ! vous ne connaissez pas notre Salta !
Il va se faire draguer par Françoise, la plus belle des Parisiennes avec une grande bouche (parce que les Parisiennes ont des grandes bouches), et il va la b... pendant six jours et six nuits...
Paris est en colère, les Parisiens déferlent sur les boulevards, c'est le retour des barricades, c'est l'Histoire qui s'écrit dans les rues... un monde nouveau s'annonce dans l'allégresse, et la tourmente, c'est le tournant du siècle, ! C'est Mai 68 !
...Et, pendant ce temps là, Saltatempo, couché sur un lit, attend Françoise qui est sous la douche ! (18 pages!)
Allez, je continue avec persévérance, en me disant que j'aurai gagné mon paradis... si j'arrive au bout...
;-))
Et puis ça repart pour les petites popotes habituelles.
C'est pas les carottes qui sont cuites pour moi, Sissi, et c'est pas mon cas qui est désespéré, c'est ce fichu récit qui s'élève parfois vers les sommets pour immédiatement retomber, désespérément, au ras des pâquerettes...
On a un beau morceau de bravoure pour nous dire comment Salta sort de son journal la tête haute (2 pages) et puis le train-train repart...
Et même le vrai train pour Paris !
Attention SPOILER.
Alors nous allons vivre une grande aventure avec Saltatempo. Il a lu Rimbaud, Baudelaire, Aragon... il aime le beau, il va découvrir Notre-Dame, la Sainte Chapelle, il va être saisi par la grandeur des lieux, nous allons vibrer avec lui dans les espaces infinis des merveilles inaccessibles... son âme va s'éveiller, s'élever, jusqu'au mysticisme peut-être...
Il va visiter Le Louvre, le Quai d'Orsay, il va nous raconter, tel Stendhal à Florence, ses émois jusqu'à la pâmoison devant tant de splendeurs, il va se trouver une place dans le cosmos du beau, son esprit va s'ouvrir sur un monde nouveau, le monde du sublime, nous allons vibrer avec lui dans les espaces inouïs des découvertes mystérieuses et métaphysiques...
Et bien, pas du tout ! Rien de tout ça ! Rien de rien ! Ha ha ha ! vous ne connaissez pas notre Salta !
Il va se faire draguer par Françoise, la plus belle des Parisiennes avec une grande bouche (parce que les Parisiennes ont des grandes bouches), et il va la b... pendant six jours et six nuits...
Paris est en colère, les Parisiens déferlent sur les boulevards, c'est le retour des barricades, c'est l'Histoire qui s'écrit dans les rues... un monde nouveau s'annonce dans l'allégresse, et la tourmente, c'est le tournant du siècle, ! C'est Mai 68 !
...Et, pendant ce temps là, Saltatempo, couché sur un lit, attend Françoise qui est sous la douche ! (18 pages!)
Allez, je continue avec persévérance, en me disant que j'aurai gagné mon paradis... si j'arrive au bout...
;-))
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