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Le rat des champs
avatar 30/05/2010 @ 17:34:35
Enfin, excuse-moi si je t'ai blessé, ce n'était pas mon but. Pauvre Ratounet !

Tu ne m'as pas blessé. J'essaie seulement de te faire comprendre que pour être traité avec des égards, il faut en avoir pour les autres.

Le rat des champs
avatar 30/05/2010 @ 17:43:48
De plus, je ne comprends pas toute cette polémique que tu as lancée. La critique éclair d'Eidole était excellente et n'insultait personne. Je suppose que c'est le passage suivant qui t'a froissée :
Trouver ce livre ennuyeux, répétitif, dénué de style, sans rythme et manichéen ... c'est juste être passé à côté... Mais vraiment très loin... un peu comme la distance entre la Terre et le Soleil.


Rien de vexant. Il m'est arrivé certainement très souvent d'être passé très loin d'un chef d'œuvre, parce que, qu'on le veuille ou non, on est dans le subjectif, et je ne ferais pas un fromage qu'on me le fasse remarquer.

Dirlandaise

avatar 30/05/2010 @ 17:43:51
[quoteTu ne m'as pas blessé. J'essaie seulement de te faire comprendre que pour être traité avec des égards, il faut en avoir pour les autres.

Je suis tout à fait d'accord avec cette affirmation Ratounet. ;-)

Dirlandaise

avatar 30/05/2010 @ 17:44:47
J'ai encore raté mes lignes vertes ! ;-)))))

Dirlandaise

avatar 30/05/2010 @ 17:51:49
De plus, je ne comprends pas toute cette polémique que tu as lancée. La critique éclair d'Eidole était excellente et n'insultait personne. Je suppose que c'est le passage suivant qui t'a froissée :
Trouver ce livre ennuyeux, répétitif, dénué de style, sans rythme et manichéen ... c'est juste être passé à côté... Mais vraiment très loin... un peu comme la distance entre la Terre et le Soleil.


Rien de vexant. Il m'est arrivé certainement très souvent d'être passé très loin d'un chef d'œuvre, parce que, qu'on le veuille ou non, on est dans le subjectif, et je ne ferais pas un fromage qu'on me le fasse remarquer.


Ah non justement ! La demoiselle trouve que c'est un chef-d'oeuvre mais pas moi alors qui a raison je te le demande ? Là où le bât blesse, c'est qu'elle est certaine d'avoir raison et que ceux qui ne sont pas de son avis sont des nuls. Enfin, relis sa critique tu constateras son haut niveau d'arrogance et je dirais même de suffisance surtout le passage où elle parle d'intelligence littéraire !

Le rat des champs
avatar 30/05/2010 @ 18:09:27
Ah non justement ! La demoiselle trouve que c'est un chef-d'oeuvre mais pas moi alors qui a raison je te le demande ?

Personne. Ou les deux. L'art, c'est subjectif, me semble-t-il. Pour sortir de ce débat et te donner un exemple, j'adore Mozart et je déteste Wagner. Je connais des gens qui aiment Wagner et détestent Mozart, au nom de quoi irais-je dire qu'ils ont un goût de chiotte?
Là où le bât blesse, c'est qu'elle est certaine d'avoir raison et que ceux qui ne sont pas de son avis sont des nuls.

J'ai relu tout son texte et je ne vois rien de tel. Elle défend ce livre avec passion, et c'est son droit. Pour moi je n'ai aucun avis, ne l'ayant pas lu. Et pour être tout à fait sincère, ça ne me tente pas malgré ses commentaires dithyrambiques. Mais ceci est une autre histoire.

Tu as détesté "Oscar et la dame rose" au point d'intituler ta critique éclair "Poubelle". Je pourrais m'offusquer, puisque j'ai aimé ce livre. Je trouve souvent beaucoup d'intelligence, de sensibilité et d'esprit, oserais-je te le dire, à Eric-Emmanuel Schmidt, ça ne fait pas trop ringard? Si oui, je me console en pensant qu'il a tout de même enseigné la philosophie à la Sorbonne, ce qui n'est a priori pas réservé aux imbéciles.

Le rat des champs
avatar 30/05/2010 @ 18:15:12
Et en ce qui concerne "l'intelligence littéraire", je dois en manquer aussi par moments, parce que je ne m'esbaudis pas toujours sur ce qui est considéré comme un chef d'œuvre par les beaux esprits. Mais ça ne me chagrine pas, j'assume avec le sourire.

Micharlemagne

avatar 02/06/2010 @ 08:44:31
Tiens, aurions-nous eu une petite visite d'Anastasie ?

Maria-rosa 05/06/2010 @ 17:46:40
Personne ne vous demande de cautionner ses écrits, vous lisez qui vous voulez mais cessez de m'asticoter sur le fait que j'aime cet auteur. Vous revenez sans cesse sur ce fait et cela commence à m'irriter sérieusement. Je vous rappelle que chacun est libre d'aimer les auteurs de son choix et que je n'ai de comptes à rendre à personne en ce sens.


Mais c'est justement ça le problème, Dirlandaise. Aimer cet auteur...

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