Les vagabonds des brumes. La banquise déchiquetée. Soleil blême. L'huile des morts
de Georges-Jean Arnaud

critiqué par Gedeon, le 12 novembre 2005
( - 76 ans)


La note:  étoiles
Où en est la suite
DAns la série des romans fleuves (noirs évidement) cet opus pursuite la quète du réchauffement. Dommage que ce qui se passe dans le satellite soit un peu abscond et peu crédible.
Pour le reste L'oeuvre est fidèle à l''sprit .
Dommage également que les volumes suivants (XIV; XV; XVI) soient introuvable ? On ne saura jamais si le réchauffement aura bien lieu.