Cycle d'Ender (Le), tome 1 : La stratégie Ender de Orson Scott Card
( Ender's game)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Playstation 3???
"La Stratégie Ender" est le premier volet d'une tétralogie remarquable dont les deux premiers tomes reçurent le prix Hugo (l'oscar de la SF) deux années de suite.
L'histoire? Difficile à raconter sans en dévoiler toutes les subtilités et les surprises. Mais disons que la guerre spatiale est aux mains d'une poignée de gamins qui jouent à "Space Invader" en grandeur réelle.
Grand roman politique et psychologique, "Ender" s'intéresse plus à ses personnages et aux implications de leurs actes qu'aux scènes de batailles spatiales, et c'est très bien ainsi. Un excellent compromis entre divertissement et réflexion, à méditer avant de regarder les infos où l'on nous parle de guerre propre et de conflit inévitable. Make love, not war !
Les éditions
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La stratégie Ender [Texte imprimé] Orson Scott Card trad. de l'américain par Daniel Lemoine
de Card, Orson Scott Lemoine, Daniel (Traducteur)
J'ai lu / SF
ISBN : 9782277237815 ; 7,90 € ; 04/01/1999 ; 446 p. ; Poche -
La stratégie Ender de Orson Scott Card
de Card, Orson Scott
J'ai lu
ISBN : 9782290308288 ; 2,92 € ; 25/06/2001 ; 382 p. ; Poche
Les livres liés
- Cycle d'Ender (Le), tome 1 : La stratégie Ender
- Cycle d'Ender (Le), tome 2 : La Voix des morts
- Cycle d'Ender (Le), tome 3 : Xénocide
- Cycle d'Ender (Le), tome 4: Les enfants de l'esprit
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Les critiques éclairs (11)
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Excellent et à conseiller à ceux qui n'aiment pas lire
Critique de Chiron (, Inscrit le 1 août 2019, 35 ans) - 1 août 2019
Il est très orienté action et je le recommande souvent aux garçons qui n'aiment pas lire... et qui finissent par le dévorer... et même par continuer le cycle.
Attention toutefois que le reste du cycle est très différent.
Bonne lectures!
Loin d'être emballé
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 4 mai 2015
Ceci est d'autant plus flagrant lors des échanges entre Peter et Valentine, le frère et la sœur d'Ender, quand ils intègrent les réseaux de communication afin d'influencer les décisions politiques mondiales.
Les profils psychologiques sont assez poussés et les relations entre les différents protagonistes occupent le premier plan de l'œuvre, certains chapitres y étant exclusivement consacrés.
Malgré tout, cela ne m'a pas transporté, et même si l'histoire reste intéressante, cette traduction médiocre gâche une bonne partie du plaisir.
L'adaptation cinématographique guère transcendante et occultant la quasi totalité des relations entre les personnages est avant tout destinée à un jeune public.
On se prend dans l'histoire et on ne le lâche pas
Critique de Bouxia (, Inscrite le 3 décembre 2009, 38 ans) - 24 octobre 2014
Je dois avouer que j’ai été très surprise de tomber sur une histoire si bien montée alors que le livre est assez court. Pour résumer : j’ai adoré et je le recommande à tout amateur de science-fiction.
La SF sans effets spéciaux
Critique de Pazuzu (, Inscrit le 10 mai 2012, 52 ans) - 4 janvier 2013
Mais c'est tellement bien raconté, bien dosé, et la fin est excellente (même si on la sent un peu venir...).
Un classique de la SF, assurément !
Le monde sera-t-il sauvé par un enfant ?
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 11 mars 2009
Fable étrange et assez militariste, ce premier tome de la « Saga d’Ender » décrit les années de jeunesse du héros dans cette étrange Académie militaire. L’auteur s’attarde un peu trop sur les descriptions de « jeux de guerre », ces batailles sur ordinateur ou en apesanteur avec des pistolets qui « gèlent » provisoirement les adversaires. Les rapports d’Ender avec les autres enfants sont très intéressants bien qu’ils soient basés sur une psychologie un peu basique. Card en tient en effet pour la théorie selon laquelle un meneur d’hommes serait toujours un être faible et complexé au départ qui s’endurcirait en étant placé dans des circonstances de plus en plus difficiles, ne lui apportant que frustrations et quasiment aucune récompense. Une lecture agréable et un style enlevé donnent envie de continuer cette étrange saga. Dans ce tome, nous n’en sommes qu’au tout début et notre curiosité est titillée…
La guerre n’est pas un jeu
Critique de Belial (Anvers, Inscrit le 25 août 2005, 45 ans) - 14 septembre 2006
La Terre, dans longtemps. Les humains sont sous la menace d’une race d’extra-terrestres insectoïde qui menace de détruire la Planète bleue et ses habitants. L’armée entreprend un projet de défense et de contre-attaque qui consiste en la formation du meilleur stratège que l’humanité ait connu. Le choix se porte sur le jeune Andrew Wiggin – alias Ender, dont le rôle va être de sauver le monde, et accessoirement d’éradiquer une race dont on ne sait finalement que bien peu de choses.
L’essentiel du roman se focalise sur la formation stratégique et militaire d’Ender, qui rappelle les meilleurs moments du Full Metal Jacket de Stanley Kubrick. Suite à la parution du livre, l’armée américaine se serait d’ailleurs inspirée de certains passages pour parfaire le programme de formation des Marines. Cependant, le cœur philosophique de La Stratégie Ender est le questionnement et la responsabilité d’Ender qui va devoir assumer un rôle, et un génocide, qu’il n’a pas choisis. Un roman à mettre dans toutes les mains des Américains stationnés en Irak. Le thème du soldat qui se doit d’exécuter les ordres, quels qu’ils soient, est ici très bien illustré. La Stratégie Ender est un monument de la SF, infiniment plus riche que les quelques lignes écrites ici ne le laissent percevoir. A lire, sans aucun doute.
Classique et pas loin du chef-d'oeuvre
Critique de Olivier-charly (Lyon, Inscrit le 2 mai 2006, 56 ans) - 3 juin 2006
Prix Hugo
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 25 septembre 2004
Ici, je m'attendais à plus qu'un manuel sur l'art de la guerre cosmique. Card nous offre un huis-clos intéressant sur les apprentissages d'un enfant pour devenir le futur commandant de l'Hégémonie, mais après un certain temps j'ai eu une impression de redondance.
Au moins, le récit n'a pas été abordé comme un livre pour enfant. Les conflits, la manipulation, la politique sont traités à la dure.
J'ai hâte de voir comment ce titre sera adapté à l'écran en 2006.
quelle enfance
Critique de Nyala (marseille, Inscrite le 30 août 2004, 47 ans) - 31 août 2004
Mon préféré de la série (une trilogie en 4 tomes, oui, m'sieurs dames), parce que celui où le personnage reste malgré tout le plus humain.
Excellent
Critique de X-OR (Mons, Inscrit le 20 août 2004, 46 ans) - 20 août 2004
Le 2eme et le 3ème tome sont complètement différents, plus psychologiques. Ici, point de vaisseaux spatiaux ou d'armes laser, tout est en analyse et étude d'une race de cochons intelligents, les Piggies, qui ont assassiné sans raison apparente, le scientifique qui les étudiait. Ender va chercher à découvrir la raison de ce meurtre et tenter de trouver une parade au virus mortel pour les humains dont les Piggies ont besoin pour vivre. Tout cela pour empêcher la destruction complète de la planète et de ses habitants.
Autour de cela, se greffent plusieurs histoires secondaires et bien que plus difficile d'accès que le 1er tome, la quête d'Ender jouant plus sur l'émotion que sur l'action, on finit par se laisser prendre d'affection pour les Piggies et suivre les efforts d'Ender pour les sauver.
un monument
Critique de Karl glogauer (, Inscrit le 17 mai 2004, 50 ans) - 3 juin 2004
le tout toujours servi par un don d'écriture et d'analyse psychologique très rares.
à noter;
l'armée américaine a modifié sa politique de formation après avoir lu Ender
l'écrivain a débuté une série parallèle, utilisant un personnage mineur de la première, tout aussi recommandable
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