Maigret a décidé d’aller saluer son vieil ami Chabot qui est juge en province, à Fontenay-le-Comte. Il est encore dans le train qu’il apprend qu’un meurtre a été commis, là-bas. Et ce n’est pas un crime qui y sera perpétré mais deux, puis un troisième … et plus tard un suicide et deux suicides loupés. Maigret s’en mêle, un peu à l’écart (comme il aime tant ! ). Les trois personnes assassinées n’ont aucun lien entre elles et l’on retrouve l’arme du crime : un morceau de tuyau de plomberie usagé. Le roman aurait pu d’ailleurs très bien pu s’intituler : « un morceau de tuyau « .
Un « Maigret » tout simple, ce qui ne veut pas dire de moindre qualité : tout y est merveilleusement bien emballé et vous pourrez voir apparaître, devant vous, les différents personnages comme s’ils étaient réels. La marque de fabrique de notre bon vieux Georges adoré.
Catinus - Liège - 73 ans - 20 juin 2013 |