Dans la rue où vit celle que j'aime de Mary Higgins Clark

Dans la rue où vit celle que j'aime de Mary Higgins Clark
( On the street where you live)

Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers

Critiqué par Sorcius, le 3 juillet 2001 (Bruxelles, Inscrite le 16 novembre 2000, 54 ans)
La note : 7 étoiles
Moyenne des notes : 8 étoiles (basée sur 8 avis)
Cote pondérée : 6 étoiles (12 030ème position).
Visites : 7 659  (depuis Novembre 2007)

Meilleur

Voici Mary Higgins Clark de retour, avec son livre de l'été. Ces dernières années, elle a déçu de nombreux fans, par des histoires répétitives et peu originales.
Que dire de celle-ci ? Certes, on y retrouve les ingrédients habituels, une manière d’écrire qui ne varie pas et une héroïne toujours bien proprette, toujours jolie même avec un sac à patates sur le dos, jamais paresseuse, jamais négligée. Cependant, j'ai bien aimé " Dans la rue où vit celle que j'aime ". D'abord pour l’endroit : une petite ville – Spring Lake – entre Boston et New York (un coin qui me fascine), avec des maisons victoriennes, des galeries où l'on se repose un bouquin à la main. Ensuite pour les références constantes au XIXe siècle, dans cette même ville, qui est mon époque de prédilection en ce qui concerne les états-Unis.
L'intrigue consiste en une série de meurtres perpétrés au XIXe siècle et qui semblent se répéter aujourd’hui. Emily Graham a racheté la maison de ses ancêtres, une somptueuse demeure que ces derniers avaient vendue à la suite de la disparition de leur fille Madeline, il y a plus de cent ans. Emily est fascinée par cette histoire, et aussi par la disparition de Martha Lauwrence, survenue à la même date que celle de Madeline mais cent ans plus tard. Qui, des habitants de Spring Lake, qui tous se connaissent et dont les parents des parents étaient déjà amis, aurait pu commettre ce meurtre ? Et pourquoi ? S’agirait-il de la réincarnation d'un serial killer du siècle passé ? Au fur et à mesure, l’histoire se corse, le mystère s’épaissit, Emily se sent menacée.
Voilà, vous le lirez ou ne le lirez pas, mais si vous cherchez à vous distraire sur une plage ou sur votre terrasse cet été, vous avez votre livre !
Et puis, nous serions bien mauvais de bouder un livre qui se lit vite et qu’on ne peut s'empêcher de reprendre une fois déposé. Si on ne lisait que de la grande littérature, nos bibliothèques seraient superbes, mais oserait-on y mettre du sable ou de l'huile solaire ? Laissons à chaque livre sa place et sa fonction, et arrêtons de critiquer ce qui reste malgré tout, un best seller !

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Les éditions

  • Dans la rue où vit celle que j'aime [Texte imprimé], roman Mary Higgins Clark trad. de l'anglais par Anne Damour
    de Clark, Mary Higgins Damour, Anne (Traducteur)
    Albin Michel / Spécial suspense (Paris).
    ISBN : 9782226125538 ; 22,30 € ; 16/05/2001 ; 430 p. ; Broché
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Intrigue simple

7 étoiles

Critique de Chris (Bruxelles, Inscrite le 30 décembre 2003, 51 ans) - 20 décembre 2013

Je ne suis pas une grande fan de MHC donc je ne lis que sporadiquement. Je dois avouer que bizarrement j'ai mis des jours à lire ce livre pourtant pas si épais que cela. J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire pourtant bien écrite. Vers la fin, quand les meurtres s'enchainent, j'ai un peu accéléré ma lecture car je n'avais pas deviné qui était le meurtrier qui produisait le schéma des meurtres du passé. Les toutes dernières lignes concernant l'agrandissement de la photo m'ont laissée perplexe sur leur signification.
En bref, une histoire policière plaisante mais sans plus pour moi.

Très Bien !

10 étoiles

Critique de Corasirene (, Inscrite le 29 avril 2010, - ans) - 10 mai 2010

J'ai beaucoup aimé : prenant et bien écrit !! J'ai trouvé sympa cette histoire sur la "réincarnation" d'un tueur en série du 19ème siècle !!

Pas terrible du tout

3 étoiles

Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 1 avril 2008

J'ai personnellement découvert qui était l'assassin avant d'arriver au milieu du livre - et la fin m'a conforté dans l'idée que j'avais vu juste. Un roman très mineur, et vraiment décevant. Ce fut mon premier MHC, je n'en ai lu, depuis, qu'un seul autre. Et ça m'a suffi...

plein d'émotions et de suspens

10 étoiles

Critique de Pandouch (, Inscrit le 25 septembre 2006, 45 ans) - 25 septembre 2006

En un seul mot : un livre exceptionnel ; plein d'intrigues , de multiples personnages qui vous laissent perplexe pour dénicher laquelle d'entre elles a commis les crimes , j'ai adoré ce livre qui est d'ailleurs le premier que j'ai lu de Mary Higgins Clark et qui m' a ouvert l'appétit pour en lire d'autres.
A lire , s'il y a un livre que vous n'avez pas encore lu: c'est celui là!

Un bon MHC

10 étoiles

Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 1 novembre 2005

Etant une inconditionnelle de MHC je dois dire que j'ai adoré ce livre et que je le classe parmi mes préférés!! mais bon le style ne change toujours pas . Quant au meurtrier c'est vrai que ce n'est jamais celui qu'on croit mais après plusieurs livres on commence à comprendre , et donc on a quelques soupçons ..

Moyen

6 étoiles

Critique de Usdyc (Bruxelles, Inscrit le 27 août 2004, 68 ans) - 29 novembre 2004

Inconditionnel de MHC je n'ai cependant pas retrouvé ce quelque chose qui fait que le livre accroche vraiment au point qu'il devient difficile de s'arrêter même pour dormir.
Un peu comme avec Patricia Cornwell, j'ai l'impression qu'on ne peut pas être et avoir été. Il faut vraiment du génie pour arriver à tenir la route pendant de longues années. A conseiller s'il n'y a vraiment rien d'autre de disponible de MHC dans le magasin où vous êtes.

"Vous le lirez ou vous ne lirez pas" : moi j'ai lu et adoré

9 étoiles

Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 2 septembre 2004

Je le classe parmi mes préférés de Mary Higgins Clark. D'abord pour le contexte comme le dit Sorcius avec les maisons victoriennes, le coin près de la mer, et cette héroïne qu'on ne peut qu'aimer : attachée aux siens. L'intrigue est très bien menée comme toujours et évidemment le meurtrier est loin d'être celui qu'on pense...

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