Les Corbeaux
de Henry Becque

critiqué par Periple, le 1 août 2006
( - 47 ans)


La note:  étoiles
Charognards, sangsues, parasites, les voila!
Aussitôt après la mort du père Vigneron, un homme dévoué et travailleur qui a pu assurer le bonheur de sa famille, les corbeaux ( les opportunistes véniels) s’acharnent à voler la fortune des héritiers du défunt: sa femme, ses jeunes filles et son fils. Ne s’y connaissant en affaires, ceux-ci se font plumer par M. Bourdon le notaire, M. Teissier l’associé du père et encore par d’autres Corbeaux. A cause de cette faillite, les fiançailles de Blanche, la cadette des filles sont rompues et Marie son aînée, se voit dans l’obligation d’accepter la demande en mariage de M. Teissier vieillard riche et sans scrupule, qui avec la collaboration du notaire causent la ruine des Vignerons.
Une pièce pleine d’agréments qui nous touche à vif et que je recommande à tout le monde.