La forêt des ombres de Franck Thilliez
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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Huis clos glaçant
David travaille d'arrache pied dans une morgue. Un premier roman l'a fait entrer dans le monde de l'édition mais pas facile de concilier les deux, d'autant qu'avec une femme sans emploi, un enfant en bas âge... Et puis, il y a cette folle, qui depuis un mois le harcèle, le traque. L'occasion est trop belle quand débarque Arthur pour lui proposer Le contrat en or : un mois dans un chalet au fin fond de la Forêt Noire pour écrire le roman qui le propulsera. Il n'a que quatre jours pour se décider.
Thilliez nous embarque cette fois dans un huis clos de plus en plus pesant, dans un chalet coupé de tout, avec de la neige (beaucoup trop pour fuir), des ombres rôdant. Tout s'acharne pour limiter les déplacements. Un peu trop téléphoné ? Pas grave !
L'ambiance y est et les secrets se dévoilent un à un.
Le bourreau 125, suicidé, rôde encore !
Accrochez-vous sans oublier doudoune et snow-boots !
Les éditions
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La forêt des ombres [Texte imprimé], roman Franck Thilliez
de Thilliez, Franck
le Passage / Ligne noire
ISBN : 9782847420913 ; 24,90 € ; 24/08/2006 ; 394 p. ; , 16 octobre 2006 -
La forêt des ombres
de Thilliez, Franck
Pocket
ISBN : 9782266205023 ; 7,60 € ; 14/10/2010 ; 365 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (24)
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Opressant , Cauchemardesque..
Critique de Chapitre31 (TOULOUSE, Inscrite le 18 août 2013, 55 ans) - 12 février 2016
.Et ça va en crescendo au fil des jours ....Alors accrochez vous... pour une fin époustouflante..
Même pas peur …
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 29 avril 2013
Une fan hystérique mais qui manque de crédibilité contrairement à celle de Misery qui alternait parfaitement entre raison et folie, un écrivain un peu border line comme dans Shining, mais le problème c’est que les personnages de Franck Thilliez manquent d’envergure, de réalisme car l’auteur use et abuse de détails trop sordides pour que ça marche.
C’est même parfois tellement gros qu’on a plus envie de rire que de trembler, un comble pour un livre qui est censé vous tirer de bons gros frissons.
Autre chose qui fâche : les dialogues qui sont à de nombreuses reprises assez consternants … entre les cris hystériques et les phrases tellement mal tournées qu’on dirait presque des traductions automatiques … Franchement, ça manque de rigueur tout ça !!!
Pourtant le rythme est plutôt bon puisque j’ai enchaîné les chapitres mais très, trop rapidement j’ai entrevu ce qui allait se passer. Du coup l’effet de surprise n’était pas au rendez-vous.
J’avais pourtant surkiffé Vertiges du même auteur parce qu’il m’avait emmené très loin dans la folie de ses personnages mais là je l’avoue je suis restée sur ma faim.
Huis-clos en Forêt Noire...
Critique de Ndeprez (, Inscrit le 22 décembre 2011, 48 ans) - 6 octobre 2012
L'histoire est un peu moins efficace que d'habitude et surtout l'issue est prévisible ce qui vous est assez embêtant pour un thriller.
On oscille entre Misery et Shining sans toutefois atteindre le degré d'intensité de ces deux titres.
A mes yeux , l'oeuvre la plus faiblarde de cet auteur pourtant peu habitué aux baisses de régime.
Misery ambiance Shinning
Critique de Patsy80 (, Inscrite le 20 août 2009, 49 ans) - 7 août 2012
Pour le style, c'est pas mal mais un peu dans la surenchère de mots pour générer l'angoisse du lecteur. pour le coup, cela casse plutôt l'effet.
Par contre, la madame Miller, je l'aurais bien claqué dans un mur tant sa jalousie m'excédait.
Finalement, c'est sur Arthur et Emma que j'aurais bien passé mes nerfs.
Mai bon, l'auteur se charge bien de nous faire monter les nerfs pour mieux nous amener à la fin, ce qui est très bien construit.
Mais pour conclure, je pense et je suis même sûre que ce livre ne fera pas partie de mes préférés de Thilliez.
huis clos sans surprise
Critique de Gardigor (callian, Inscrit le 27 avril 2011, 47 ans) - 16 juillet 2012
Le huis clos proposé est léger, sans grand rebondissement.
Cela reste d'un point de vue général plaisant mais on tourne vite en rond.
On est tellement loin d'un "Gattaca" ou d'un "anneau de moebius" beaucoup plus construit avec un rythme très soutenu.
Un peu de Misery
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 50 ans) - 25 avril 2012
Histoire menée de main de maître, j'ai adoré et dévoré ce roman d'une traite.
Une tuerie, un des meilleurs de Thilliez.
moins bon que les autres mais bien quand même
Critique de Mayfair (Distroff, Inscrite le 30 mars 2007, 51 ans) - 19 février 2012
On ne peut par contre que féliciter l'auteur pour son imagination en ce qui concerne le sadisme et la manipulation. Mais je n'ai pas attendu ce roman pour le découvrir....
Un thriller admirablement réussi
Critique de JoshWB (, Inscrit le 13 décembre 2010, 35 ans) - 13 décembre 2010
Agréable mais sans surprise
Critique de Marsup (, Inscrit le 22 octobre 2009, 48 ans) - 29 avril 2010
Comme à son habitude, l'auteur sait instaurer à son histoire une véritable atmosphère, une ambiance hivernale glauquissime à souhait. C'est ce que j'apprécie beaucoup chez lui. Mais là, elle n'est pas couplée à une intrigue à la hauteur car manquant véritablement d'inspiration et d'originalité. C'est du déjà-lu.
Aussi, il est très facile de deviner qui est le tueur ainsi que ses motivations.
Néanmoins, la lecture reste très agréable.
Vivement le prochain...
On s'y perd
Critique de Pat (PARIS, Inscrit le 21 mars 2010, 60 ans) - 22 mars 2010
Sans surprise
Critique de Leliseur (, Inscrit le 10 septembre 2009, 68 ans) - 16 octobre 2009
Bonne lecture à vous tous !
Huis-clos avec mon bouquin
Critique de Mallollo (, Inscrite le 16 janvier 2006, 42 ans) - 29 mai 2009
Une atmosphère pesante, à la fois dérangeante et intrigante, un secret dont on voudrait bien connaitre le fin mot, des personnages intéressants et inédits... ça doit être la recette pour accrocher le lecteur. Est-ce que c'est suffisant pour le convaincre de la qualité de l'écriture? Probablement pas, en tous cas pas pour moi. L'ensemble est assez inégal: les personnages sont peints de façon très intéressante, avec nuance, alors que certains autres passages frisent la caricature.
Et puis, oui, j'avais deviné la clé de l'intrigue, c'est en même temps grisant et frustrant de ne pas s'être trompé, de ne pas avoir de dernière surprise finale. Mais il l'a bien cherché Franck; à force de laisser trainer des indices, et pire: de les montrer du doigts et de nous mettre le nez dedans si on n'a pas encore bien compris, et bien oui, on finit inévitablement par comprendre tout seul.
Allez, je mets 3,5 étoiles, parce que c'était une lecture-plaisir, un bon moment entre Franck et moi, bien que je ne sois pas décidée à m'acheter tous ses romans parus jusqu'ici...
Inégal
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 24 mai 2009
David Miller, marié et père d'une petite Clara âgée de deux ans, exerce la profession de thanatopracteur. Il est également l'auteur d'un premier roman, un thriller, ce qui lui vaut d'être remarqué par Arthur Doffre, un homme richissime et un peu excentrique. En effet ce dernier engage David contre une très forte rémunération afin qu'il lui écrive un nouveau thriller traitant d'un tueur en série ayant sévi 27 ans plus tôt, le Bourreau 125. D'abord intrigué et quelque peu réticent à l'idée d'être isolé au cœur de l’hiver un mois entier dans un chalet en pleine Forêt Noire, celui-ci finit par accepter car il a besoin de cet argent pour payer ses traites et vivre convenablement. Au fil des jours qui passent, les évènements échappent aux habitants du chalet, tandis que les personnalités qui se dévoilent laissent entrevoir le pire.
Il faut persévérer...
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 13 mai 2009
Cette longue mise en place m’a donc semblé plutôt pénible à lire, mais je n’ai pas abandonné et j’ai bien fait de persévérer puisque le dernier tiers du livre rattrape bien les longueurs du début. J’ai mis des jours et des jours pour m’avancer dans cette lecture, mais j’ai dévoré le dernier tiers comme je le fais avec les «bons» polars. Comme quoi il y a toujours moyen de se rattraper, même si c’est déjà la fin…
Glauquitude et surenchère.
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 11 mars 2009
« La forêt des ombres » a plus de rapport avec la Forêt-Noire (Schwartzwald) outre-Rhin qu’avec Madras ou Dehli - d’ailleurs il n’y est pas question de cuisine - mais la comparaison s’impose à mon esprit. J’aime les polars et tout ce qui tourne autour ; de la recherche de l’énigme aux considérations sociétales, le plus souvent, qui s’y rapportent, mais un excès de barbarie, de cruauté, de « glauque » nuit à l’appréciation. Exactement comme l’excès de piment dans les curries !
David Miller, un jeune écrivain de polar. Sa famille (femme-fille), un peu perturbée. Un admirateur (ou qui se présente comme tel) fortuné qui lui propose un pont d’or pour exercer ses talents d’écrivain à son usage unique. Et voilà comment on s’embarque avec David Miller et sa famille dans un mois de huis clos dans un chalet isolé au coeur de la Forêt-Noire en plein hiver, avec très vite une évolution perverse de la situation. Et quand je dis « perverse » …
Franck Thilliez a de l’imagination, il écrit agréablement, pourquoi se croit-il obligé de rameuter les plus vils et plus malsains comportements humains pour étayer son roman (et pas que celui-ci subodorai-je ?) ? Il y a comme une surenchère dans l’horreur et l’abject qui brise mon plaisir à le lire.
« Doffre se tenait un peu en retrait, le fusil posé derrière lui, à proximité de la cheminée. Son oeil noir balayait la silhouette masculine avec délectation, sa langue venait parfois mouiller ses lèvres, tandis que ses doigts caressaient le bras tiède de « Dolor ».
Vous n’êtes que mensonge ! répondit Emma en lui crachant à la figure. J’ai cru en vous ! J’ai vraiment cru en vous ! Mais vous n’êtes pas différent des autres ! Vous êtes un salaud !
Elle le gifla dans un beuglement rauque.
Avec ceci … dit Arthur en désignant les instruments de torture. Il faut arracher le péché de ses entrailles, lentement, très lentement … Tu dois laisser ton empreinte sur son corps, lui infliger la douleur qu’il t’a fait subir depuis des semaines. Pour qu’il n’oublie jamais. Fais-le ! Et pose chaque morceau de chair sur la balance, jusqu’à l’équilibrer. Ote-lui cent vingt-cinq grammes de méchanceté et de mensonge. Il te suppliera … Emma ! Il te suppliera comme il ne t’a jamais suppliée. Et il te respectera. Fais-le ! »
Alors oui, Oui-Oui c’est un peu fade. Mais entre Oui-Oui et « La forêt des ombres » il y a autant de distance qu’entre mon « indien » préféré de Strasbourg et le sous-continent indien. Il doit y avoir possibilité de trouver un moyen-terme ?
Même pas peur !
Critique de Débézed (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 77 ans) - 10 mars 2009
Car David, thanatopracteur, victime d’une amoureuse inconnue qui le harcèle violemment par courrier, mail et autres colis, a rencontré un riche mécène qui veut faire de lui un auteur de polars reconnu, qu’il rêve de devenir, à condition qu’il veuille bien écrire un livre qui mettrait en scène cet inconnu fortuné. David accepte cette proposition malgré la réticence de son épouse qui suit une procédure d’avortement pour garder secrète la relation qu’elle a eue avec le meilleur ami de son mari car, pour corser le tout, celui-ci est stérile. Voilà après une trentaine de pages, vous vous retrouvez avec ça sur les bras et ça ne fait que commencer car le couple doit partir dans la Forêt Noire avec son enfant et le mécène pour écrire le fameux roman dans un lieu très, très , isolé qui permettra à l’auteur d’être dans une ambiance appropriée. Et bien sûr quand on se retrouve en petit comité dans un coin perdu dans les neiges, entourés de bêtes sauvages et de monstres, que les événements deviennent de plus en plus étranges et que le maître de céans impose des contraintes de plus en plus bizarres, la tension monte et le manège infernal se met en branle avec son cortège d’horreurs et d’immondices pour faire vibrer la fibre sadomasochiste qui dort au fond de chacun de nous.
Mais, le but n’est pas franchement atteint car la tension et l’angoisse ne viennent pas aussi facilement, il ne suffit d’un amoncellement d’horreurs même dans un trop plein de pourritures et autres matières répugnantes. L’auteur a beau avoir recours à tous les trucs éculés du roman noir, il n’arrive pas à nous faire peur même avec tous les accessoires utilisés habituellement par la corporation (monstre, tronçonneuse, bête sauvage, phénomènes paranormaux, psychopathe, bistouri, scalpel, fusil pour la chasse aux éléphants, …, j’en passe et des meilleurs. Il y a confusion entre accumulation et tension, Thilliez est trop verbeux, il digresse trop, explique trop, ne laisse pas assez de mystère pour que l’angoisse puisse s’installer. Il campe plus dans la répugnance que dans l’inquiétude, l’attente, la tension, l’incertitude, tout est trop prévisible, convenu et pourtant, il écrit bien que « La peur ne se fait pas, elle se vit… ». Ce roman parvient tout juste à nous écœurer et à nous répugner mais pas à nous angoisser et encore moins à nous faire frissonner et pourtant l’intrigue est intéressante, un bel exercice de style sur la manipulation que l’auteur n’a pas su mener à son terme avec toute la maestria voulue.
Inégalement plaisant
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 17 janvier 2009
Et pourtant à côté de cela, il y a une fantastique ambiance, un lieu mystérieux superbement décrit, des personnages dont la tessiture est excellente (en particulier Cathy, très réaliste) et une intrigue qui tient en haleine du début à la fin, avec de multiples rebondissements. Le huis-clos est admirablement bien mené et ces aspects positifs rachètent largement les éléments plus négatifs. A condition d'aimer ce genre un peu glauque bien sûr, nous ne sommes pas dans un polar classique ici.
Au final, je me suis laissée emporter par l'histoire, tout en constatant des faiblesses dans l'écriture, mais pas assez fortes pour ne pas profiter pleinement de ce récit captivant.
Famille captive lecteur captivé
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 13 janvier 2009
Un excellent thriller
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 30 mars 2008
Forêt frémissant de personnages maléfiques et de victimes de l'ombre
Critique de Ddh (Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 83 ans) - 28 février 2008
Quelques personnages clés forment l’ossature du roman. Le Bourreau 125 est le tueur en série qui se pendit il y a vingt-sept ans. Arthur Doffre, riche psychologue paraplégique, vit dans la hantise de ce Bourreau qu’il eut comme client. David Miller, embaumeur et auteur d’un polar, est engagé par Arthur pour écrire le roman de la vie du Bourreau et ce, dans des décors fantasmagoriques : l’hiver enneigé dans une maison isolée au milieu de la Forêt Noire à une heure de route de toute habitation. Dans ce lieu maudit, vivent pour un mois, sous tension, David, sa femme Cathy et leur fille Clara, Arthur avec Adeline, une prostituée au service d’Arthur, Emma qui surgit de nulle part. Tout baigne dans une ambiance de folie, d’angoisse, de conflit et de perversion.
Franck Thilliez conduit le lecteur dans un environnement clos, glauque mais sans jamais atteindre la trivialité. Il parvient à maintenir la tension dramatique en amenant, au fil du roman, de nouveaux éléments qui éclairent peu à peu le lecteur dans ce labyrinthe rempli de pièges. Quelques phrases résumant les situations précédentes permettent de suivre l’intrigue sans trop de difficultés.
Un huis clos oppressant
Critique de Nomade (, Inscrite le 14 février 2005, 13 ans) - 28 décembre 2007
Le rythme est haletant. Le suspense est omniprésent. On est pris dans ce thriller. On fait partie des personnages. On est avec eux. On angoisse avec eux.
Seul bémol à noter : la fin est assez similaire à celle de La chambre des morts.
Huis clos très réussi !!
Critique de Moonlight666 (Villiers sur Marne, Inscrit le 22 juillet 2004, 43 ans) - 14 novembre 2007
La tension est omniprésente, mais surtout crescendo !! Différents éléments font monter la pression, on se demande ce qu'il va se passer .. intrigués, inquiets ..
Bref, c'est un bon huis clos, genre que j'adore tout particulièrement car très difficile, et c'est vraiment un livre qu'il faut dévorer d'une traite, sous sa couette, avec une musique d'ambiance adéquate.
Je pense que l'auteur aurait pu aller encore plus loin dans la folie et la paranoïa. J'ai un peu eu l'impression d'avoir une fin menée comme dans un film ...
En tous cas, j'espère que ce livre ne sera pas adapté en film ... le rendu risque d'être très décevant !
www.moonlight666.com
Pour l'ambiance
Critique de Pipierre (, Inscrit le 28 juillet 2006, 65 ans) - 1 octobre 2007
Mais en général cela vaut bien le détour dans la forêt des ombres.
cauchemardesque...
Critique de Ungrimette (, Inscrite le 4 septembre 2005, 47 ans) - 23 novembre 2006
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