Starship Titanic
de Douglas Adams, Terry Jones, Marie-Catherine Caillava (Traduction)

critiqué par Klein, le 2 décembre 2006
( - 60 ans)


La note:  étoiles
Humour et Science-Fiction
Pourquoi ne pas se servir une fois de plus de la SF pour faire valoir ce qu'on connait le mieux. Ici, Terry Jones, un des fondateurs de la troupe des Monty Python, s'est associé avec Douglas Adams, bien connu pour ces Guide Galactique, pour mettre en pratique son humour particulier.
Une parodie hilarante des Space-Opéra.
Sur la planète Blérontin, on inaugure en grande pompe le Starship Titanic, merveilleux vaisseau spatial, le plus beau, le plus grand, le plus ... tout. Mais sa construction a été faite au rabais, faute aux économies. Alors ... Alors ...

Excellent. Un livre pour se détendre. Tranquillement. Même s'il m'a fallu 2 chapitres pour bien rentrer dans ce monde un peu farfelu, après quel régal !
sur une idée de Douglas Adams 2 étoiles

Écrit par Terry Jones, basé sur le scénario du jeu vidéo fait par Adams. Si on connait Terry Jones pour sa participation au Monthy Pythons son talent d'écriture est loin de retranscrire l'humour de cette troupe ni bien sûr d'arriver au niveau des livres d'Adams.

Pour fans qui auront épuisé tous les (vrais) livres de Douglas Adams uniquement (et encore). Je met 1 et non 0.5 car peut être qu'on y perd un peu à la traduction.

Magicite - Sud-Est - 46 ans - 13 septembre 2011


Moins riche que le Guide 5 étoiles

Starship Titanic est le vaisseau spatial à demi-construit le plus génial de toute la galaxie. Sauf que le vaisseau est saboté et, à cause d’un trucmuche d’oblitération massive d’existence (moui). Un savant fou, un Journaliste, trois terriens et quelques membres d’un peuple révolté extraterrestre doivent unir leurs forces pour remettre tout en ordre.

Une collaboration moyennement réussie entre deux auteurs qui ont le même genre d’humour. L’idée du livre vient d’un passage de la série du Guide galactique (La Vie, l’Univers et le Reste), mais n’a pas son niveau de complexité. Reste que ça a zéro prétention autre que de vouloir faire passer un moment relaxe au lecteur. N’empêche que le résultat est trop chaotique et même un peu cheap. C’est un Astérix et Obélix version space opéra en moins bien*.

* Enfin, sans être aussi mauvais et traumatisant que Le ciel lui tombe sur la tête... Douglas Adams et Terry Jones ont assez d’amour-propre pour ça.

Nance - - - ans - 14 octobre 2010