Cruelle Zélande
de Jacques Serguine

critiqué par Curiosa, le 27 juillet 2001
(Tilff - 48 ans)


La note:  étoiles
Finalement peu érotique
"La forme la plus courante du bonheur consiste à ignorer que l'on est pas heureux." Voici bien là une phrase digne d'intérêt qui laisse présager d'autres traits de génies tout au long du romans. Hélas, il n'en est rien.
Ainsi, le court roman érotique de Jacques Serguine, Cruelle Zélande est plutôt avare d'autres aphorismes intelligents. Qu'en reste-t-il alors? Une sucession de scènes masturbatoires dignes du cinéma pornographiques américains !
Il est décevant de constater que peu d'auteurs d'ouvrages "érotiques" n'arrive à écrire des récits poétiques et offrant du rêve mais tombe le plus souvent dans la gynécologie.