Le bon serviteur
de Carmen Posadas

critiqué par BONNEAU Brice, le 6 janvier 2007
(Paris - 40 ans)


La note:  étoiles
Pas convaincu...
Résumé éditeur :

A Madrid, deux productrices de télévision décident de lancer une émission du type caméra cachée. Première victime de ce canular : Inés Ruano, une photographe célèbre. Elles lui font croire que ses derniers contrats ont été obtenus grâce à l’intervention du Diable, à qui elle aurait vendu son âme… Par la grâce d’un mélange aussi parfait qu’inattendu entre Pedro Almodovar et Agatha Christie, Carmen Posadas s’interroge sur filiations et mensonges, et dévoile l’envers du décor de la scintillante vie madrilène.

Mon avis : 5/10

Après avoir vu l’intégralité des mes achats “Carmen Posadas”, je peux tirer un avis clair et objectif sur l’auteur, qui se résume par “il y a quelque chose, mais ce n’est pas mon truc”. Je sais, ça vous parle, et d’emblée vous voyez ce que j’en pense.

Déjà, ne vous fiez absolument pas au résumé de l’éditeur car vous serez déçu, l’histoire est cent mille fois plus complexe que ce résumé maladroitement réalisé. Car c’est avant tout une histoire trèèès compliquée à laquelle vous vous attaquez lorsque vous débutez la lecture d’un Posadas. Des dizaines de personnages, une narration longue et sinueuse, un sens du détail qui alourdi la lecture, bref, on convulserai presque par moments.

L’histoire, sincèrement, je ne pourrais moi-même pas vous la résumer. C’est gentil mais bien trop compliqué, ça divague du début à la fin, et même si le style est plus simple et l’ambiance moins pesante que dans les deux précédents ouvrages, le plaisir n’est pas là si souvent.

Pas convaincu par Carmen Posadas, du coup…