critiqué par Ena, le 1 février 2007
(Le Gosier - 62 ans)

La note: étoiles

Moyen age, amour et chevalerie

Enide nage dans le bonheur, elle vit un conte fée. Erec tel un prince charmant est arrivé dans son village sans crier gare et le coup de foudre n’a épargné aucun des deux. Ils se marient et goûtent la joie de se donner sans réserve l’un à l’autre. Hélas pour ne pas avoir su tenir sa langue Enide va lancer son époux, valeureux et fier chevalier, dans des aventures toujours de plus en plus dangereuses.

Ce manuscrit remonte au XIIème siècle, il évoque la légende Arthurienne et l’époque de la chevalerie ou pour avoir le droit de baiser la joue d’une gente dame on n’hésitait pas à s’entretuer dans la joie. C’est très daté, emprunt de poésie et se lit d’autant mieux que les dangers que court Enide procurent un suspens quasi permanent.

Pour les puristes le livre propose sur la page de gauche la version originale en vieux français, pour les autres la page de droite est en français d’aujourd’hui.