L'Artiste tibétain
de Thöndrupgyäl

critiqué par BMR & MAM, le 1 décembre 2007
(Paris - 64 ans)


La note:  étoiles
L'amour filial tibétain : la chair et les os
Après l'excellent Cercle du karma, on avait promis de reparler de cette région où repose le toit du monde.
Voici donc Thöndrupgyäl et L’artiste tibétain.
Autant nous avons été emballés par le voyage de Kunzang Choden dans Le cercle du karma, autant ce voyage au Tibet ne nous a guère convaincu.
Certes l’exotisme et le dépaysement sont là, mais c’est bien tout et on n’a pas retenu grand-chose au-delà de ce décor de belles montagnes.
Dans cette nouvelle il est surtout question d’amour filial, ce que cachait d’ailleurs le titre original en VO : L’amour de la chair et des os, puisque selon la croyance tibétaine, la mère transmet la chair et le père, les os.