La place de Annie Ernaux
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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Hommage à un père
Vous avalerez ce petit livre de 113 pages en une courte soirée..
J'ai découvert Annie Ernaux, professeur de lettres, par le biais d’un de ses derniers livres "Se perdre" dans lequel elle nous conte ses amours tumultueuses avec un Gorbi-boy, nettement plus jeune qu'elle...
Attirée par le sujet de "La place", ne rejetant pas l’idée qui germe dans mon esprit, de rédiger l'histoire de mon père,j’ai voulu m'en inspirer..
Je dois avouer ma déception, face à ce récit qui a obtenu le prix Renaudot 1984. Lorsque je pense que Gallimard qui publie Annie Ernaux ait refusé la publication de la première œuvre d'Amélie Nothomb, "Hygiène de l'assassin", on ne peut que rester pantois..
Qu’est ce qui a motivé le jury du prix Renaudot ?
Les membres du jury étaient-ils tous issus de la bourgeoisie et ont-il été touchés par les origines ouvrières d’Annie Ernaux ?
Ces origines non démenties mais portées comme un étendard dont elle est fière, lui ont-elles ouvert la porte du succès ?
C’est vrai qu’il est difficile de modifier une réalité plate, une existence morose, une vie monotone, une enfance où il ne se passe pas grand chose.. mais l'écriture n’est-elle pas là pour agrémenter le quotidien ?
Ne peut-on faire danser les mots ? Les accoler les uns aux autres pour les rendre époustouflants, incongrus, humoristiques, amusants, ironiques, tristes, accrocheurs, déplacés, cyniques... bref, les obliger à s’incruster dans votre tête, à devenir le prolongement de votre cerveau jusqu’à votre main qui se saisit du stylo qui verra s’immortaliser pour un instant ces mots mis bout à bout qui vous ont tant fait vibrer..
Bref, une oeuvre documentaire, autobiographique, écrite sans grand talent de conteur, sans surprise, avec peu de rebondissements et qui nous conte une existence campagnarde d'une famille issue de la classe ouvrière.
Les éditions
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La place [Texte imprimé] Annie Ernaux
de Ernaux, Annie
Gallimard / Collection Folio
ISBN : 9782070377220 ; 5,70 € ; 01/01/1986 ; 128 p. ; Poche -
La place [Texte imprimé] Annie Ernaux
de Ernaux, Annie
Gallimard / NRF
ISBN : 9782070700486 ; 13,00 € ; 04/01/1984 ; 120 p. ; Broché -
La place [Texte imprimé] Annie Ernaux dossier par Kim-Lan Appéré,...
de Ernaux, Annie Appéré, Kim-Lan (Editeur scientifique)
Belin - Gallimard / Classico lycée
ISBN : 9782701154442 ; 5,00 € ; 18/03/2010 ; 128 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (23)
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L'inconnu qui fut mon père
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 24 mai 2022
Il est vrai que enfant, ado et même adulte, on s'interroge peu sur la vie du père. Une notion (le père c'est la loi) demeure. J'ai beau me creuser les souvenirs, je me dis que je n'ai eu que peu de moments intimes avec lui. Il représentait l'autorité tranquille et à sa mort je me suis rendu compte qu'il était un étranger.
Annie Ernaux fait finalement un constat analogue. Son texte épuré décrit un être simple mais qui fut un guerrier de la vie. Ses choix furent ceux d'un homme qui voulait le mieux pour sa famille.
Je ne suis pas fan de ces textes nombrilistes qui relatent un vécu personnel mais je reconnais que le style parfait de l'auteure invite à un apaisement délicat.
Mon premier contact Madame Ernaux est prometteur.
Merci.
Mon vieux !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 19 juillet 2020
"La Place" paraît en 1984 et est salué par le Prix Renaudot.
Est-il possible de pratiquer une "écriture du contact " comme le revendique l'auteure lorsque l'on écrit sur son père ? N'être que factuelle et ne pas exprimer ses sentiments ? Difficile challenge !
Un court et sensible hommage au père, métayer dans des fermes de 12 à 18 ans, le service militaire, l'expérience difficile du métier de commerçant où il faut - pour subsister - occuper un poste d'ouvrier à mi-temps. La guerre de 1940 comme une parenthèse pour reprendre une épicerie/café avec son épouse et enfin pouvoir en vivre.
En parallèle, la jeune Annie réussit un parcours scolaire exemplaire qui l'éloigne tous les jours un peu plus des valeurs et du quotidien de ses parents. C'est un "écartement de classe " auquel nous assistons, avec la fierté gênée du père qui comprend mal que l'on puisse "travailler du chapeau" (activité intellectuelle) et en vivre.
Un fossé se creuse, des incompréhensions ... mais un fort respect, tendre et pudique se devine au travers les lignes de l'auteure.
On peut penser à la chanson "Mon vieux " (Daniel Guichard) et au sublissime roman d'Yves Simon "Un homme ordinaire".
Je pense que le pari d'Annie Ernaux est raté, mais j'en suis heureux car ce court roman transpire le respect et l'amour pudique envers ce père qui l'a quittée.
Un superbe moment de lecture.
Une époque, une classe sociale, une famille, une échappée
Critique de Falgo (Lentilly, Inscrit le 30 mai 2008, 85 ans) - 12 juillet 2020
La place de son père et d'elle-même
Critique de Ddh (Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 83 ans) - 21 mai 2017
Le père d'Annie Ernaux n'est pas facile à vivre. Il faut ajouter qu'il n'a pas été gâté : petite extrasse, valet de ferme avant de devenir ouvrier ; puis indépendant tenant un bar-épicerie. Les relations père-mère sont souvent tendues. Annie, elle, est brillante : elle réussit avec panache ses études. On décèle une grande tendresse pour ses parents tout en gardant beaucoup de retenue. L'auteure souligne comment la vie a évolué autour d'elle : une belle page sociologique.
Un petit bijou d'écriture : Annie Ernaux commence par la mort tragique de son père pour revenir sur ses grands-parents, son enfance, ses années ados, sa vie d'adulte.
Je m'y suis retrouvé
Critique de Cyclo (Bordeaux, Inscrit le 18 avril 2008, 79 ans) - 25 mars 2016
Quant à ceux qui parlent ici de banalité du style, je renvoie à ce qu'écrit l'auteur elle-même : "Pour rendre compte d'une vie soumise à la nécessité, je n'ai pas le droit de prendre d'abord le parti de l'art, ni de chercher à faire quelque chose de « passionnant », ou « d'émouvant »." Et c'est sociologiquement très juste : "Voie étroite, en écrivant, entre la réhabilitation d'un mode de vie considéré comme inférieur, et la dénonciation de l'aliénation qui l'accompagne. Parce que ces façons de vivre étaient à nous, un bonheur même, mais aussi les barrières humiliantes de notre condition..."
Il y a là, pour les gens de cette époque, qui ont vécu le passage par l'ascenseur social, une manière de dire, d'être, qui touche au plus près de la réalité : c'est, au contraire, du grand art. Et Annie Ernaux rééditera l'exploit avec "Une femme", consacré à sa mère.
Peut-être que ce n'est plus compréhensible pour les "jeunes" nés après 1960 ou 70...
Ce qui explique les avis très mitigés sur le site.
Intéressant mais trop court !
Critique de Ussopu3000 (, Inscrit le 6 décembre 2015, 23 ans) - 6 décembre 2015
Annie Ernaux écrit "La place", un court roman en forme d’autobiographie où le « je » apporte une vision admirative, d’une fille à son père, sans réelle conviction. Dommage !
Critique de Anonyme3 (, Inscrit le 6 septembre 2011, - ans) - 24 novembre 2013
Voir onglet biographie.
Quatrième de couverture:
«Enfant, quand je m'efforçais de m'exprimer dans un langage châtié, j'avais l'impression de me jeter dans le vide. Une de mes frayeurs imaginaires, avoir un père instituteur qui m'aurait obligée à bien parler sans arrêt en détachant les mots. On parlait avec toute la bouche.
Puisque la maîtresse me "reprenait", plus tard j'ai voulu reprendre mon père, lui annoncer que "se parterrer" ou "quart moins d'onze heures" n'existaient pas. Il est entré dans une violente colère. Une autre fois : "Comment voulez-vous que je ne me fasse pas reprendre, si vous parlez mal tout le temps !" Je pleurais. Il était malheureux. Tout ce qui touche au langage est dans mon souvenir motif de rancœur et de chicanes douloureuses, bien plus que l'argent.»
Mon avis:
+ : Roman facile à lire, en forme d’autobiographie où le « je » est de mise. Écriture sobre, aérée, simple d'accès, sans prétention et nullement racoleuse. Histoire de patriarche, bien construite avec des blancs d’écriture, qui rendent plus agréable la lecture du roman. Belle quatrième de couverture.
- : Roman trop court/long (Voir selon les visions de lecture), sans réel but où le lecteur ne comprend pas le but final de l’auteur (Annie Ernaux) d’employer le « Je » à tout bout de champ. Flash back et blanc utilisés de façon trop aléatoire et mal employés (Peut-être dû à la version poche de chez folio). Le fait de ne pas nommer son père, sa mère, le lieu d’habitation (Y…) et de ne pas dater les moments clefs du roman, peut gêner le lecteur. Fin bancale. Roman qui a eu le prix Renaudot et qui de surcroit, parait difficile à lire, ce qui est une idée reçue, la preuve avec « La place ».
En conclusion:
Avec La place, primé du Renaudot, Annie Ernaux écrit un court roman en forme d’autobiographie où le « je », apporte une vision admirative, d’une fille a son père, mort un dimanche en fin d’après-midi.
L’auteur (Annie Ernaux), d’écrit l’histoire de son père, de sa rencontre avec sa mère, de la création de leur café-épicerie, à Y…, jusqu’à la mort du père, au travers de sa propre biographie où de nombreux Flash back et blancs, qui au fil des pages apportent une certaine aération au texte et luis permet de passé d’une période de sa vie/ou/ de celle de ces parents à une autre.
Roman qui au fil des pages, devient de plus en plus brouillon, de part ces nombreux Flash back et blanc utilisé de façon trop aléatoire et mal employés a certain moment (Peut-être du à la version poche de chez folio).
Roman agréable a lire où le platonique, ressort aux fil des pages pour aboutir à une fin bancal et sans réel but, dommage.
"Les fils succédaient aux pères"
Critique de Débézed (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 77 ans) - 12 avril 2013
Un véritable portrait social, sur trois générations, de la France du XX° siècle. Un portrait où chaque génération lutte pour améliorer le statut social qu’elle a reçu en héritage, sans jamais parvenir à faire oublier d’où elle vient, la terre colle éternellement aux semelles, le vieux complexe du paysan, du fils de paysan, etc.…, n’est pas facile à évacuer, il colle lui aussi obstinément à la peau. Les stigmates de sa condition sont trop apparents : la démarche, l’allure, le langage,… tout dénonce l’homme de la terre, le rustre, l’inculte…
Chaque génération lutte pour gravir quelques échelons de l’échelle sociale mais, souvent, elle en grimpe moins qu’elle le souhaiterait et transfère ses ambitions à la génération suivante qui a fait un peu plus d’études et qui doit donc « réussir ». Je me souviens d’avoir eu à étudier un texte ancien, de Tibulle je crois, qui, pour évoquer une période de paix dans les campagnes romaines, écrivait que « les enfants succédaient aux parents » ce qui voulait dire qu’ils n’y avait pas de guerres pour emporter prématurément les hommes dans la force de l’âge et que les enfants enterraient leurs parents comme la loi du temps le demande. C’est ce temps qu’évoque Annie Ernaux, ce temps qui voudrait éluder les guerres pour que les enfants puissent apprendre assez longtemps et pouvoir grimper plus haut que leurs parents.
Avec son écriture minimaliste, sans relief, sèche, brève - « l’écriture plate me vient naturellement » - mais remplie de tendresse et peut-être même de la nostalgie de ce temps des choses simples, sans artifices, Annie Ernaux peint le portrait de la France des petites gens qui ont lutté au quotidien pour gagner leur pain, améliorer leur statut social, faire en sorte que leurs enfants aient une meilleure vie que la leur. Un portrait de la France populaire mal protégée contre les maladies et les accidents de la vie, de la France toujours en premières lignes pour défendre la patrie, de la France en liste sur les monuments aux morts.
Ce petit monde que j’ai connu dans mon enfance, ce monde où l’argent n’existe que pour payer les dettes, où l’on n’a rien mais où on peut-être heureux avec moins que rien.
Vague à l'âme
Critique de Tim (Limas, Inscrit le 3 août 2011, 30 ans) - 27 avril 2012
C'est un peu mon père que j'ai retrouvé et qu'il est dur de parler d'un père. On ne peut le faire que légèrement et rapidement. Oui on n'éprouve aucun besoin de s'apitoyer sur notre sort, on s'attache déjà à autre chose. Fuite en avant, je regarde le passé, rien, j'avance.
Encore un sentiment dérangeant, un sentiment de vérité, de clairvoyance et de lucidité, voilà ce que j'ai ressenti. Un moment délicat et intimiste. Non, il ne faut pas le lire quand on ne peut pas le comprendre. Il n'est pas à la portée de tous, mais pour moi il était sous ma peau.
autobiographie sincère
Critique de Emira17 (/, Inscrite le 9 juillet 2010, 27 ans) - 20 octobre 2011
Elle écrit d'une écriture plate, certes, mais je n'ai pas décelé la moindre émotion dans ces 113 pages qui se lisent d'un trait. A trop vouloir concentrer son écriture sur la vie de son père en oubliant de décrire un minimum, cela donne une écriture fluide oui mais complètement ennuyeuse. Pour moi, le récit est trop banal.
L'ascenseur social
Critique de Isis (Chaville, Inscrite le 7 novembre 2010, 79 ans) - 11 octobre 2011
Plus tard, il n’eut d’autre but que d’assurer aux siens une subsistance, certes, correcte, mais dépourvue de tout luxe.
Les études de sa fille ne furent pour lui qu’une «souffrance obligée pour obtenir une bonne situation et ne pas prendre un ouvrier». Heureusement, disait-il, «elle apprenait bien» et non «elle travaillait bien» ; car, pour lui «travailler, c’était seulement travailler de ses mains»…
Ce père est mort deux mois, jour pour jour, après la titularisation de sa fille Annie qui, dans ce livre, lui rend cet hommage écrit, faute d’avoir pu dialoguer avec lui autant qu’elle l’aurait voulu ; le fossé culturel qui existait entre eux se creusait en effet de plus en plus, à mesure qu’elle gravissait les échelons de la hiérarchie ; d’où parfois ce sentiment de honte et de culpabilité qu’elle a pu éprouver à son égard dans ses relations professionnelles ou par rapport à sa belle-famille ; elle utilise volontairement une écriture «plate»et dépouillée, qui lui permet, certes, d'être plus en phase avec le souvenir de cet homme peu instruit, mais elle désarçonne aussi parfois le lecteur par la banalité et l’apparente facilité de ses propos, comme le mentionnent ici certaines critiques.
Ceux qui ont vécu les années 50 retrouveront également avec plaisir les expressions populaires de l’époque. Un témoignage honnête et criant de sincérité. De là à légitimer l'attribution du prix Renaudot...
Pudeur des sentiments.
Critique de Hexagone (, Inscrit le 22 juillet 2006, 53 ans) - 20 octobre 2010
Sincère, mais finalement trop simple?
Critique de Perledelarme (Garges-lès-Gonesse, Inscrite le 6 avril 2010, 33 ans) - 6 avril 2010
Le roman ne prétend pas être d'une grande originalité dans son thème. Ce que je reproche finalement au récit, très modestement, est de ne pas avoir su me surprendre, me triturer, me faire réfléchir. J'ai lu le livre d'un bout à l'autre, j'ai apprécié la lecture, mais finalement, je n'ai pas l'impression d'avoir appris du livre. Peut-être n'ai-je pas abordé le roman de la manière qui convenait?
Un hommage sobre et émouvant
Critique de Alma (, Inscrite le 22 novembre 2006, - ans) - 12 février 2010
Une telle écriture par laquelle elle bride ses sentiments , n’impose rien au lecteur et fait de lui seul le créateur de sa propre émotion
En plaçant en tête de son récit une phrase de Jean Genêt « Je hasarde une explication : écrire, c’est le dernier recours quand on a trahi »elle en légitime la rédaction et montre qu‘elle reste hantée par le remords d’avoir renié , par ce qu’elle est devenue , les valeurs de ce père aimant .
Un bel hommage d’une fille à son père , dans une langue qui restitue « les limites et la couleur du monde »où celui-ci a vécu .
Oui mais
Critique de Vero911 (, Inscrite le 23 janvier 2010, 38 ans) - 30 janvier 2010
Cependant le manque d'émotion de la narratrice dans ce livre pourrait en dérouter plus d'un. Elle raconte sa vie de manière linéaire, sans s'attarder sur les petites émotions qui auraient certainement apporté au livre un peu plus d'humanité.
Je conseille ce livre, pour celles et ceux qui souhaitent lire un roman sans fioriture.
tout en pudeur
Critique de Dudule (Orléans, Inscrite le 11 mars 2005, - ans) - 16 avril 2008
J'ai bien ressenti cette distance entre eux du fait de la progression « sociale » de sa fille d’abord dans les études, puis avec son mariage. Cela est toujours difficile pour les deux parties même si le père en l’occurrence est très heureux pour sa fille, mais on ne s’adapte pas toujours facilement, chaque classe sociale a ses codes. D’ailleurs l’auteur les décrit très bien, d’abord les petits paysans comme son grand-père paternel, puis les ouvriers que ses parents redoutaient de redevenir s’ils faisaient faillite .
Elle exprime aussi très bien la souffrance, la honte de ses parents, quel enfant n’a pas eu honte un jour !!!
Un petit livre d’une écriture neutre, simple, qui pour moi est très adaptée, elle laisse la place à l’hommage fait au père.
Un père et sa fille
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 8 mai 2007
Un amour filial au delà du temps
Critique de Ichampas (Saint-Gille, Inscrite le 4 mars 2005, 60 ans) - 27 septembre 2005
sans fioriture
Critique de Amour-des-livres (, Inscrit le 16 septembre 2005, 40 ans) - 26 septembre 2005
le style est très épuré, sans fioriture, et chacun y trouvera bon compte
le style est simple, l'auteur en vient au fait directement, sans fioriture ni baratin inutile
Platitude historique
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 47 ans) - 8 mai 2005
Sinon, comme d'habitude, quelle banalité ! Quelle platitude de style ! Et quelle idée de se prendre pour le centre du monde !
Justement, qu'a bien pu piquer le jury Renaudot ?
Un roman pudique
Critique de Jemangeleslivres (, Inscrite le 25 mai 2004, 51 ans) - 12 janvier 2005
Médiocre
Critique de Don_Quichotte (Metz, Inscrit le 31 mai 2004, 37 ans) - 25 octobre 2004
Sincérité, grande pudeur et émotion
Critique de Clarabel (, Inscrite le 25 février 2004, 48 ans) - 1 septembre 2004
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