"La consolante"
roman d'Anna Gavalda
éditions le Dilettante
637 pages
février 2008


Ce roman fleuve est comme un diésel, il faut l'allumage, puis un peu de temps avant d'arriver à une vitesse croisière et même plus.
Je ne suis pas un spécialiste voiture mais pour la lecture, j'ai senti ce qu'on m'avait expliqué.
Après un temps d'hésitation, je me suis accroché et je n'ai pas été déçu du voyage.
Charles, un architecte assez apprécié qui passe sa vie entre deux avions pour courir le monde, a une amie, Laurence, mère d'une adolescente que lui considère comme sa fille.
Le lecteur a l'impression que Charles ne reste là uniquement par attachement quasi paternel à cette jeune fille.
" Laurence cuisinait pour les amis mais il paraît que ses horaires imprévisibles et ses voyages à répétition les avaient dispersés"
Ainsi va la vie... peut-être pas tout de suite mais assez vite si on n'y prend pas garde !
Le lecteur non averti va être étonné par le style ;
de nombreuses phrases qui débutent par un verbe et un enchaînement rapide, voire précipité.
Tout compte fait, c'est original et pas rebutant du tout.
La vie s'écoule jusqu'à la mort de l'ancienne nounou, infirmière diplômée, attachée à sa mission, disponible.
Pourquoi a-t-elle décidé d'en finir avec la vie.?
C'est l'introspection qui commence et le retour aux sources.
Charles trouvera-t-il un sens à la vie, l'amour et enfin avoir d'autres objectifs que les opérationnels de son travail?
Certaines conquêtes sont difficiles mais méritent d'être entreprises....
Mais bon, comme pour un roman policier, ce que n'est pas ce roman, il y a un suspense.

Jean-François Chalot

Beaucoup de critiques, et beaucoup de différences d'appréciations!
Moi j'ai beaucoup aimé ce roman, même si je me suis parfois un peu perdue dans les personnages( surtout dans la deuxième partie).
C'est plein de bons sentiments, de joie, de tristesse aussi, mais c'est ce qui fait la vie...
Jusqu’à présent je n'ai pas été déçue par Anna Gavalda.

Quelle lenteur ! J'ai vraiment failli le lâcher mais j'ai tenu bon. Pseudo hymne à la vie où la psychologie des personnages secondaires n'est jamais exploitée à 100%. Résultat : on ne s'attache pas à eux, ils sont transparents. Problème, le personnage principal, Charles n'est pas beaucoup plus distrayant. Les différentes péripéties qu'il peut faire, ses voyages en Russie... on a l'impression que tout cela ne représente que des événements qu'il fallait écrire pour combler des pages blanches. D'ailleurs, on se perd très vite dans le lieu exact où il se situe... l'auteure voulait-elle faire une longue métaphore sur la dépression de Charles où malgré sa présence physique son coeur est ailleurs, lui-même ne sachant plus où il est, ce qu'il est et ce qu'il va faire, si bien que le lecteur se perd ? Malheureusement j'en doute très fortement.
2 histoires où l'on attend longtemps que les deux se relient, en vain. Contrairement à beaucoup, la deuxième partie ne m'a pas scotchée, j'avais envie de plus...
J'ai donc été très déçue de Gavalda... (lu auparavant : Je l'aimais, Ensemble c'est tout, La vie en mieux - décevant aussi, Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part, L'échappée belle)

Ce livre peut paraître un peu austère dans sa première partie et jubilatoire dans sa deuxième. Mais il s'en dégage une atmosphère que je n'ai retrouvée nulle part ailleurs. Inconditionnel d'Anna Gavalda, j'ai lu ce livre 3 fois en français et une fois en anglais. Au fil des lectures j'ai appris à apprécier autant les deux parties pourtant très différentes. Je pense que je le relirai encore plusieurs fois...

Je ne recommanderai pas La consolante à mes amis, c'est trop gnangnan. J'ai pourtant apprécié les particularités stylistiques que d'autres ont décriées. J'apprécie qu'un auteur fasse travailler son lecteur un peu. Mais les bons sentiments des personnes merveilleuses qui font des miracles, y-en a marre.

La consolante: 1 livre, 2 histoires

Deux histoires com-plè-tement différentes, à tel point qu'elles n'ont pratiquement aucun lien entre elles, mis à part la route que le personnage a parcouru dans la première pour se rendre, drastiquement, à la deuxième.

1er histoire: drabe, déprimante (oui, le personnage est en dépression je sais), aucun sujet, loooonnnnnguuuueeeeeuuurrrs, un semblant de débuts d'histoires avec les personnages, toutes trop peu exploitées mais qui auraient mérité de l'être. AUCUNE mise en contexte, on ne sait jamais à quoi Gavalda fait référence, d'ailleurs il doit bien avoir juste elle qui se comprenait et encore, remplie d'expressions que même les français (désolée les amis français) ne doivent pas comprendre.

2e histoire: complètement différente, très colorée, personnages hyper attachants, décrite à la perfection tel qu'on peut presque sentir les odeurs. J'ai adoré la deuxième partie, j'aurai même voulu que l'auteure en fasse un seul livre!

Fin du roman: encore là, l'auteure est la seule à se comprendre lorsque le personnage semble écrire dans un cahier genre journal intime. On ne fait pas la différence lorsque Gavalda décrit son personnage ou bien lorsque Charles, le personnage, écrit dans son cahier.

J'ai fait l'effort pénible de me rendre jusqu'à la fin car j'ai reçu ce livre en cadeau, que mon amie me l'avait tant vanté! et que je termine toujours mes romans mais c'était mon premier livre de Gavalda et il ne fait pas honneur à tous les éloges que j'ai entendus sur elle.

Étonnant qu'un éditeur ait accepté de publier ce livre, surement qu'il est tombé, comme moi, en amour avec la 2e partie...

... à tant d'avis opposés sur le livre d'Anna Gavalda ! Moi je l'ai trouvé épatant. Bon, c'est vrai que les premières pages m'ont déconcertée, je ne voyais pas où Charles voulait en venir ... alors je l'ai un peu bousculé pour qu'il en arrive au fait, mais sans sauter aucune page : juste en dégustant les mots d'Anna Gavalda, la façon dont elle les pose sur le papier ; je ne me suis ennuyée à aucun moment en attendant de faire connaissance avec Anouk ; je l'ai sentie très proche et je l'ai tout de suite aimée, profondément. Et puis Charles va nous faire connaître Kate, et les enfants de Kate, et là, c'est le bonheur enfin retrouvé ; Anouk, Kate, l'Amour avec un grand A. Et Charles devra faire le bon choix et se retrouver ... la maison au fond des bois pleine de recoins mystérieux et de trésors délaissés, c'est celle dont nous avons tous rêvé lorsque nous étions enfants. Ce livre est lumineux, tout simplement.

Mon admiration pour Anna Gavalda se confirme avec ce titre.. C'est "une écrivain" généreuse, sensible, pleine d'humour, qui connaît bien le genre humain et qui n'a pas peur des "mots".. Depuis que je l'ai découverte à travers son livre "ensemble c'est tout", je n'ai de cesse de lui transmettre mon respect et mon admiration et je loue aussi son imagination!!! continuez à écrire Mme Gavalda, s'il vous plaît.....

Je suis allée jusqu'au bout et je dois dire que je suis plutôt fière de moi. Jamais je n'ai lâché un bouquin, même le plus chiant mais là, j'avoue que j'ai failli craquer. J'avais pourtant beaucoup apprécié "L'échappée belle" et "Je l'aimais"... Oui mais voilà, il s'agissait de deux tout petits livres très courts... Ici, Gavalda se perd dans ses personnages, nous embrouille et nous ennuie... Pas de scénario, des personnages ternes et sans personnalité, des toutes petites phrases... Je trouve ce roman prétentieux.

J'ai bien aimé ce livre que je viens de terminer.
Les raisons:

> L'émotion réellement ressentie (par moi, lectrice de 56 ans) devant de vraies situations de la vraie vie.

> Le style un peu chahuté: qui parle? Qui est qui? Où en est-on?.... Parfois agaçant certes, mais ce n'est pas un essai scientifique. Dans la vie réelle, on passe son temps à tâtonner car on ne sait jamais ce que l'autre comprend ou interprète voire surinterprète... Et on cherche sans cesse à retrouver le vrai fil de nos relations avec nos proches, vivants ou morts. Ce style correspond au flou de la vie réelle.

Des relations se brisent parfois sur un mot, une réaction. L'incompréhension s'installe.... souvent durablement. La communication ne se fait plus ou on n'a plus envie de faire les efforts qui maintiendraient une bonne relation.

J'ai pensé que l'histoire de Charles et de Kate allait foirer car cela était un scénario possible et réaliste... Mais un peu de rêve ne fait pas de mal. Quelle femme ne rêve pas d'un homme aussi délicat que Charles?

Une Anna Gavalda comme on l'aime, fidèle à elle-même et à son style littéraire. Et tant pis pour ceux qui n'aiment pas, moi j'adore ! Un livre plein d'émotions, de sentiments qui peuvent être partagés par tous. Retour sur les souvenirs d'enfance de Charles comme si on y était. Sentiment de lassitude et questionnement sur une vie dont on aimerait tout changer. Belle rencontre qui permet ce changement et qui promet une belle part de rêve au lecteur.
Un réel conte de fée pour adultes!

Oui, c'est le mot, où qui clive plutôt.
Je venais mettre quelques étoiles, et faire une petite critique éclair, quelle surprise de voir tout le monde si divisé, sans trop de demi mesure. Gavalda on aime ou on n'aime pas, ce n'est pas tiède les sentiments qu'elle nous remue!
Moi je me suis sentie proche de Charles, même si son histoire n'a rien à voir avec moi, sa descente en dépression est très bien rendue, les hauts et les bas de son humeur aussi...
Je ne connaissais pas l'auteur, c'est vrai que l'écriture m'a au début déroutée, mais je m'y suis vite fait, il suffit d'écouter et pas seulement de lire, après on est avec Charles, on suit son humour, son cynisme aussi parfois, sa perte et son deuil, ses espoirs... chouette oui c'est bien chouette...

Histoire mièvre, guimauve mal écrite (phrases sans sujet avec des retours à la ligne systématiques ou mots anglais en italique qui poussent comme du chiendent à tous les paragraphes...), sans aucun rythme... Gros pavé raté, lourd, fumeux, ennuyeux, interminable... Plus de 200 pages pour expliquer ce que l'on a compris dans les 40 premières... Avec des personnages en carton-pâte (dans le monde sirupeux de Gavalda, les gentils sont très gentils, les méchants pas très méchants, les amis beaux et sympas, les enfants parfaits et les ados ne connaissent pas de crises...) Enorme gâchis d'édition... Le vide absolu, le néant de la littérature...

Pour ne pas dénoter de la tendance générale, j'ajoute mon avis sur ce livre extrêmement médiocre.

C'est avant tout affreusement long, ensuite c'est horriblement mal écrit et enfin "l'histoire" est inexistante... Je voulais mettre une étoile, mais finalement cela ne le mérite même pas.

Pas facile de rebondir après "Ensemble, c'est tout".

Le style est lourd et plat, sans intrigue et sans saveur (ca veut dire quoi des phrases de deux pages avec soixante virgules et autant de points de suspension??!). L'histoire vue et revue (crise de la quarantaine avec travail de deuil et problèmes de couple à l'appui). Des mots balancés en anglais toutes les deux phrases pour faire branché. Des phrases sans sujets pour faire 'english'. Critique systématique de tout ce qui est un peu trop 'franchouillard'.
Du Bacri sans l'humour.
Ce livre n'a pas cessé de m'étonner.. en mal, malheureusement.

Vraiment nul !
Madame Gavalda rembourse-t-elle ?

Une première partie qui traine en longueur. On met du temps à comprendre pourquoi Charles est à ce point bouleversé, on aimerait en connaître davantage sur son passé et sa relation avec Anouk.
Heureusement le personnage de Kate est là pour donner à la suite un aspect plus passionnant.
Un style toujours aussi plaisant bien qu’il soit parfois dur de suivre le fil (les personnages n’étant pas toujours mentionnés, on met du temps à savoir de qui il est question dans certains chapitres).

Magnifique. Une histoire de vie bouleversante. Une plume très juste, comme toujours. Charles est attachant, émouvant, con (parfois) et tellement profond, dans le sens où il n'est pas vide à l'intérieur. Anna Gavalda nous livre une histoire crédible et contemporaine. Une occasion pour faire place à une remise en question !

Emballé comme je l'avais été par Ensemble, c'est tout, j'ai acheté ce livre sans même venir lire les avis émis sur Critiques Libres. Grossière erreur. J'ai tenu près de 300 pages mais, à bout de force, j'ai abandonné. Ce livre est tout simplement illisible. Les paragraphes commencent sans que l'on sache qui parle ni de quoi on parle. Et quand on parvient à s'accrocher, ce qu'on lit n'a pas grand intérêt. Lorsque Anna Gavalda raconte le passé de Charles et sa relation avec Anouk, on retrouve un peu de structure et la lecture devient plus agréable, mais cela ne dure jamais bien longtemps. Quand je pense que l'auteure elle-même parle de ce livre comme l'une de ses plus grandes fiertés, j'en viens à me demander si c'est bien elle qui a écrit Ensemble, c'est tout... À éviter absolument, la vie est trop courte pour lire de telles choses !

Vraiment déçue, pourtant je l'attendais avec impatience, mais non ça ne le fait pas comme "ensemble, c'est tout"

j'adhère positivement à toutes les critiques favorables du moment que j'ai dévoré "la consolante" comme j'avais fait avec les autres livres de Gavalda... ça m'arrive toujours cette sensation de manque après avoir fini ses livres... "Ensamble..." ce monde éclectique , l'un plus " chéritable " de l'autre..j'aurais voulu savoir encore d'eux....
Et maintenant si je pouvais trouver Gavalda je lui dirais :est-ce que tu crois avoir le droit de donner la vie à ces personnages et de nous livrer à notre pauvre imagination pour savoir davantage sur leur histoire.?..ce couple à peine croisé.... ces enfants tellement divers.ce qu'ils deviendront....tu dois écrire la seconde partie de "La consolante" pour tes lecteurs qui te suivent et les autres iront après..
Ah...ce n'est pas facile de suivre ton français d'aujourd'hui, Gavalda... et je jure que j'ai étudié un bon tas d'années ta langue...

Nelly,l'argentine,inscrite le 15 septembre 2010

J'ai réellement trouvé ce livre magnifique. L'histoire peut paraître un peu simple au demeurant, mais l'on se rend rapidement compte de la complexité des sentiments du personnage principal. Un homme qui se débat dans le présent pour s'émanciper d'une enfance et d'une adolescence qu'il a vécu intensément grâce à une femme qu'il n' a jamais oubliée. Ce qui est sublime,c'est l'omniprésence de l'amour dans ce roman et la magie que dégagent certains personnages secondaires. On se retrouve dans des lieux reposants et quasi féeriques. C'est triste, c'est gai, c'est contemporain!

J'ai commencé à lire La consolante ce week end et franchement je ne sais pas si je vais arriver au bout du livre. La lecture n'est pas facile car les pensées de Charles s'enchainent sans suivre de sens, passant du je au il.
Je suis déçu car je m'attendais à beaucoup mieux. J'avais dévoré Ensemble c'est tout avec ce style frais.
Ça fera un bon livre pour les nuits d'insomnies. Deux pages et au dodo.

Après la lecture des critiques précédentes, je vois que de façon quasi unanime, cette première partie du livre est amplement remise en cause.

Que l'auteur choisisse de nous expliquer le mal être de son personnage principal, je le comprends tout à fait, puisqu'il sera aussi un élément déclencheur pour le reste de l'histoire. Mais tant de pages sur ça, était-ce bien nécessaire?! non. Absolument pas. Ces longueurs sont dommages, surtout lorsque l'on passe à l'autre partie, la "vraie" si j'ose dire.

Là, je retrouve toute la plume de Gavalda, telle que j'avais pu l'aimer dans Ensemble, c'est tout. Drôle, incisive, juste. Cette deuxième partie rattrape bien des erreurs de la première, et elle devient un ravissement pour qui sait patienter jusque là...

5 étoiles, carrément ! Certains vont trouver ça excessif sans doute pour La Consolante et ils auront raison, mais 5 étoiles, c'est le coup de coeur et mon coup de coeur va plutôt à l'éditeur, Le Dilettante.

Il suffit de prendre son exemplaire de La Consolante pour s'en apercevoir : nous sommes en présence d'un livre, constitué d'une succession de cahiers cousus en leur milieu. Il y a du fil dans La Consolante ! Ce n'est pas qu'un tas de feuilles collées comme en produisent d'autres éditeurs, sans doute plus huppés mais qui gèrent leur maison en gardant toujours un oeil sur l'EBIT et jugent une année réussie en fonction du résultat opérationnel. Editer, c'est aimer les auteurs et les livres, et Le Dilettante aime les auteurs et les livres.

Il me plaît d'imaginer que La Consolante n'aurait pas été le même livre s'il avait été publié par un autre. Il aurait été raccourci, l'écriture fluidifiée, on aurait gardé la belle histoire en la racontant de la manière la plus consensuelle possible, il ne faut pas décevoir le fan-club, tu comprends Anna, on peut viser les 250 000 hors poche...
L'éditeur, ici, a pris le risque de faire confiance à l'auteur quitte à perdre une partie de son lectorat et 50 000 ventes. Chapeau !

Je précise que je ne connais pas cet éditeur (mais il a à son catalogue tout un tas de Jacques Perret et rien que ça me le rend plutôt sympathique)

Quant au texte, il mérite beaucoup mieux que ce que les critiques précédentes laissent croire. Le style tant décrié est tout à fait adéquat pour décrire l'état d'esprit de Charles au début du roman. L'histoire est un peu gentille mais, de temps en temps... c'est un peu comme s'envoyer toute une plaque de chocolat.

Page 474 de la version poche... je viens de relire les 30 dernières pages, car je n'y comprends plus rien.... Je me demande si je n'ai pas sauté une page... Qui m'expliquerait où j'en suis exactement...
J'aurais dû lire les critiques avant, c'est long, j'avais bien aimé "ensemble c'est tout". C'est le 2ème livre d' Anna Gavalda que je lis mais visiblement c'est pas une réussite.
Vais-je laisser tomber? Sûrement et passer à autre chose. (c'est rare quand cela m'arrive)
Ce livre n'est vraiment pas facile à lire, je vais le remettre dans la bibliothèque et passer à autre chose, peut-être j'y reviendrai plus tard.

Alors oui, l'histoire est un peu bateau. Un homme rongé par le mal de vivre qui en larguant les amarres se réconcilie avec lui même,avec la vie.
Alors oui,c'est prévisible.Une histoire d'amour,un personnage féminin idéal qui guérit de tout.
L'écriture peut dérouter aussi.
Pour ma part,c'est le plus beau roman d'Anna Gavalda.
L'écriture justement, comme un personnage à part entière, nous entraine dans le chaos et la souffrance de Charles,puis se libère pour nous attirer sur le chemin de sa nouvelle vie.
Les personnages sont forts et attachants, on prend le temps de suivre leurs petits riens qui marquent, qui touchent.On a envie de les connaitre,de les accompagner.
C'est un livre plein d'espoir,encore plus abouti selon moi que ensemble c'est tout.
La consolante m'a redonné de la force à un moment où j'en avais besoin. Et m'a touché par la beauté de son écriture.

Décès: Charles a la tête en vrac. Pleine de pensées qui vont dans tous les sens et se mêlent aux émotions comme aux obligations quotidiennes.
De là un style franchement imbuvable (avec tous ces verbes sans reprises de sujets), bourré de clichés, d'énumérations inutiles... Bref une envie folle de remettre ce bouquin sur l'étagère et de souffler un grand coup.
Mais c'est sans compter sur l'écho que tout cela peut faire à nos propres émotions et à nos clichés.
J'ai détesté ce mélange franco/anglais, détesté ce style étrange d'écriture, le côté prévisible de l'histoire mais au fond je me suis dit que ça ressemblait sacrément à ce qu'on nous sert tous les jours : la vie, la mort, les réflexions sur un tel ou une telle, les pensées qui vont, qui viennent.
Quelques belles trouvailles où l'on retrouve Anna Gavalda dans ce qu'elle a de meilleur.
Et surtout le cliché bucolique du retour aux sources, dénué du superficiel, la bonté d'âme, la beauté de... etc...etc... incarné par Kate.

Oui ben j'ai envie de dire : les réflexions de Charles,on s'en fiche un peu. Trop cliché pour ma part.

A lire vite, n'en garder que le meilleur et passer vite à un autre livre...
Et pour ceux qui le citent : aucune mais alors aucune comparaison avec "Ensemble c'est tout".
Je dirai oui mais bof. De belles images,

un début très peu prometteur, long et qui n'a ni queue ni tête. Mais à partir de la seconde partie on retrouve le style d'Anna Gavalda et la beauté de ses personnages, très belle fin, dommage que le livre soit gâché par du "brouillon".
Pour aimer ce livre, il faut adorer Gavalda et surtout s'accrocher!!

C'est « La Consolante » qui termine une partie de pétanque «une partie pour rien, pour le plaisir quoi » Voilà ce qu’est en grande partie ce livre, écrit avant tout pour le plaisir d’écrire. En effet, plusieurs points de suspension, des figures de style, de pistes lancées puis oubliées et des phrases incompréhensibles.
J’avais lu « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part… », puis « Je l’aimais » et finalement « Ensemble c’est tout » qui avaient mis la table et je salivais déjà de plaisir avant d’ouvrir la première page de « La Consolante ». Comme lectrice, j’ai plongé dans un opaque brouillard, relu inutilement les 30 premières pages afin de comprendre en vain. Poursuivi jusqu’à 137 pages, consulté les critiques certaines si positives que j’ai persévéré dans cette lecture peinant à chaque page, luttant contre le sommeil et l’ennui.
Finalement, après plus de 400 pages j’ai retrouvé avec joie l’écriture qui m’avait séduite, les personnages attachants et je dirais même la tristesse d’arriver à la dernière page.
J'espère que dans le prochain livre Mme Anna Gavalda saura faire un élagage judicieux pour servir à ses lecteurs un livre épuré de l’inutile.

Un livre tombé dans mes mains juste quand il le fallait...

Magnifique.

Un souffle de vie, d'espoir, de rêve.

D'émotions, de tendresse, d'amour.

Profond.

J'avais eu de nombreux échos sur ce nouvel opus de l'auteur du merveilleux "Ensemble c'est tout" … ce que j'en avais retiré ne m'avait absolument pas poussée à le lire alors même que certains voulaient me l'offrir.
Finalement, plus d'un an après sa sortie, le voilà sur la table de la bibliothèque du village … je le prends quand même.
Je ne regrette pas de l'avoir lu même si je n'ai absolument pas retrouvé la merveilleuse ambiance d'Ensemble c'est tout.
En fait, la lecture de La Consolante n'était pas désagréable ni ennuyante, juste parfois un peu pas très enthousiasmante et longue dans les 2 premiers tiers (essentiellement consacrés à Anouk, la mère du meilleur ami décédée).
Le derniers tiers (dès les premiers instants de la rencontre de Kate), en revanche, est vraiment formidable : vivant, plein d'émotions, attachant, … Anouk est presque totalement oubliée, en dehors de quelques brefs souvenirs ici et là (on ne comprend pas très bien d'ailleurs cet abandon soudain) et toute la place est faite à Kate, ses enfants et leur cadre de vie. Ce passage est tout à fait réussi … même si, comme tout au long du roman, le style littéraire est vraiment très très particulier (pour ne pas dire carrément lourd par moment) : pourquoi ne pas mettre de sujet aux phrases ?? Qu'apporte cette figure stylistique à part de nombreux moments d'incompréhension et de confusion entre qui fait quoi ??
Anna Gavalda, ne pouvez-vous pas nous réécrire ce roman en vous centrant sur la partie Kate et en mettant des sujets à chaque phrase ?

Le style, l'histoire, un vrai raté pour ma chère GAVALDA.
Pourtant les autres livres de l'auteur sont super, mais la consolante une horreur à lire, ce livre est resté 5 mois sur mon chevet.

J'écrirais la même chose que les critiques négatives: un style décousu, mal écrit, une histoire sans intérêt, de la longueur, quel ennui... une très grande déception. Même si Ensemble c'est tout n'était pas un chef d'oeuvre littéraire il avait au moins l'avantage de nous distraire agréablement. La consolante ne fait même pas ça :(

Et puis.. j'ai lu les critiques positives... Ah? il y a de l'Amour, de la Lumière?.. peut-être ai-je mal lu ou pas pris le temps de faire résonner dans les profondeurs de mon être l'essence de cette histoire.. peut-être. Mais ce n'est pas mon esprit cartésien qui m'en a empêché (je ne suis pas du tout cartésienne) ce serait plutôt le style trop décousu. Tout de même je suis heureuse de savoir que Gavalda n'a pas déçu tous ses lecteurs!

Dire que je n'ai pas attendu, pleine d'impatience, qu'il sorte en poche pour l'acheter... quelle déception. Comme la plupart des lecteurs assidus de Gavalda, je n'avais lu aucune critique avant de le lire, et comme la plupart d'entre eux, j'ai été extrêmement déçue. Enfin, ce n'est pas de déception, plutôt de la surprise.
Comment une écrivain qui avait pondu un si beau roman avec Ensemble c'est tout, et qui avait prouvé son talent avec ses autres livres a pu écrire un roman à ce point ... nul ?

Déjà, la première chose qui m'a agacé et qui dura le long des 500 pages : son "style", ou plutôt le style qu'elle a voulu donner. Plein de points de suspension, de phrases sans verbe, avec les mots dans un sens peu cohérent.
L'absence totale de présentation de personnage, des situations, qui rend le livre franchement incompréhensible, et en plus on n'a même pas envie de revenir lire les quelques pages précédents pour mieux comprendre car le style est trop lourd.

Alors bien sûr, je me suis dit que l'action allait venir, que l'intrigue allait prendre et m'emmener par la main jusqu'à la dernière page. Mais non, les "révélations" sur les quelques énigmes du récit sont plates, envisageables.
Je viens de lire dans vos critiques que les 100 dernières pages élèvent le niveau. Quel dommage que je me sois arrêtée à cet endroit !

Non vraiment, je n'achèterai plus jamais un roman d'Anna Gavalda avant de l'avoir lu, et j'espère qu'elle arrivera à retrouver cette plume talentueuse qui a fait son succès, et, je n'espère pas, ce désastre.

Franchement j’ai été très déçue ! J’ai été ennuyée et j'ai trouvé la « consolante » désenchantante , elle ne m’a pas du tout consolée ! J’en suis même inconsolable ! Moi qui n’ai pas abandonné la lecture de ce livre malgré tout , je me disais c’est moi qui ne suis pas dedans , mais la lecture des critiques postées ici sur ce livre me console... Je me suis forcée de continuer à lire , J’ai trouvé trop long , inutilement long , des phrases tortilleuses et serpigineuses sans aucun intérêt. On dirait qu’elle s’est trituré toutes ces phrases pour trouver un sujet , lequel ? personne ne sait ! Elle en a fait trop c’est bien ça , pour plaire ! des phrases enlourdies d'ornements stylistiques... Ou bien c’est moi , car je m’attendais à retrouver le plaisir que j’avais trouvé à lire « Ensemble c’est tout »... C'est plat , c'est mou . Il y a une absence de lumière , les personnages sont atypiques effrités, sombres , mélancoliques , j'ai eu du mal à les introspecter , à saisir leur mal être . j'ai trouvé l'humour non rebondant et rebutant malgré les tentatives d'accrocher qui restaient vaines... Comme ce bout très cité dans la presse qui a dû plaire à certains et qui m'agace personnellement:
"Oui elle faisait le pitre. Et pas seulement pour la photo. Pas seulement pour sauver Charles de l'autre binocle. Pas seulement parce qu'il faisait beau et qu'elle se sentait en confiance dans un viseur qui l'aimait. Riait, léchait son verre quand la mousse débordait, leur catapultait des dragées et s'était même fabriqué des dents de vampire en nougatine, mais c'était... pour faire diversion... Oublier et surtout, leur faire oublier ..."Elle voulait faire diversion certainement...

Le personnage principal , cet architecte quadra , mène une vie morne ,englué dans cette mélancolie grisante, qui à la suite du decés de cette femme qu'il avait connu enfant et adolescent , se trouvait la vie fissurée et changeait de visions des choses et du monde , sa vie change brusquement , elle s'intensifie , s'accélère ...

En somme , c'est débridé , cassé , ennuyeux, exaspérant ... Si j’étais elle , je n’aurais conservé que les 150 dernières pages où les idées semblaient s’éclaircir et devenir harmonieuses ; et où les personnages devenaient plus intéressants ... Il est clair qu’un écrivain ne puisse écrire ou produire sur commande , sous prétexte que ses précédents ouvrages ont été une réussite... Il faut attendre l’inspiration qui des fois pourrait prendre des années ...

J'ai essayé , vainement , de trouver de l'intérêt à ce roman , en souvenir d'"ensemble c'est tout" que j'avais dévoré , mais rien à faire : histoire sans intérêt ( y a-t-il une histoire d'ailleurs ) , lecture fastidieuse avec saut du coq à l'âne en permanence.....

Quel dommage ! Je me faisais un tel plaisir de cette lecture ....

Espérons qu'Anna va retrouver sa bonne étoile...

je partage tout à fait bon nombre d'avis pour dire que ce livre n'est vraiment pas celui qui retiendra mon attention dans la bibliographie d'Anna Gavalda. Elle a fait mieux dans ces romans. Il semble qu'elle a ajouté beaucoup de fioritures à ses phrases pour en faire un gros bouquin. L'esprit "commercial" gâche parfois pas mal de choses...

pour garder un avis totalement objectif, je n'avais lu aucune critique sur "la consolante" avant de le démarrer. je l'ai terminé hier soir et regarde ce matin ce que les autres en ont pensé : on est d'accord, je vois ! quel calvaire.... quelle déception.... quel égoïsme, aussi.
toutes ces pages de description sans intérêt, ses successions de synonymes pour décrire un truc dont on se moque, qui plombent le récit, vraiment c'est insupportable. ok, anna gavalda a sans doute voulu se faire plaisir à l'écriture, mais nous, on s'est emmerdé !
il y a un éclair d'intérêt et d'émotion entre le 400 et la 500e page. on attend vainement qu'il se passe un truc intéressant. et le happy-end, qu'on attend tous pour au moins sauver l'ensemble, est complètement bâclé. les personnages, y'en a trop, on les survole, on oublie qui est qui. les phrases sans sujet, je confirme, c'est d'un pénible... surtout, on se demande pourquoi gavalda a choisi cette option d'absence de sujet. bref, j'ai enfin fini ce long calvaire. en espérant que dans le prochain gavalda, on retrouvera la patte de ses réussites antérieures.

Franchement je ne peux comprendre ce livre qui vient de hanter 4 mois de nuits.
Franchement rien à voir avec les autres livres d'Anna Gavalda , une écriture de M...
Ce n'est pas elle qui a écrit ce livre histoire longue sans intérêt pas de style
A ne surtout pas acheter ni à conseiller

je suis inconsolable après avoir lu "La consolante". Déçu peut-être parce que c'est peut-être avant-tout un livre de femmes-???- (dit-on).
Est-ce là la simple raison pour laquelle je n'ai pas du tout compris, ni aimé ce livre?; Vraiment le récit n'a pas dompté le lecteur.. que je suis!.

J'ai adoré ce dernier opus d'A. Gavalda.C'est vrai qu'il faut passer les 100 premières pages pour entrer dans le vif du sujet et alors, c'est un vrai régal.Les personnages sont attachants, simples et tellement émouvants.On se s'en lasse pas.L'histoire pourrait être tout à fait possible et on aimerait rencontrer toute cette tribu et partager avec eux ce bonheur si simple et naturel.

Moi aussi, j'ai eu du plaisir à lire les 150 dernières pages. Les autres ne m'ont pas accrochées.

En temps ordinaire, j'aurais vite relégué ce livre dans le sous-sol. C'est mon amour pour l'auteur qui m'a fait persévérer. Heureusement, car je serais passée aux côtés d'une belle histoire.

Ce n'est pas la première fois. John Irving me fait le coup à chaque roman.

Y'a mieux... je me suis beaucoup ennuyée en lisant ce livre que, fort heureusement, je n'ai pas acheté mais emprunté à la biblio du quartier. C'est un peu brouillon, on a du mal à suivre l'histoire, je n'ai accroché sur rien, ni sur le fil conducteur, ni sur les personnages. J'ai abandonné la lecture au 2/3 du livre que j'ai ramené à la biblio le lendemain, rapidité de renvoi rare de ma part!!!

ou comment espérer tout au long de cette lecture être consolée de la platitude des premières pages, puis des secondes, puis du roman dans son intégralité. C'est vraiment une perte de temps... Même à la plage!*

J'avais tant aimé "ensemble, c'est tout" que ma critique est amère.

je confirme la vision de Laurent,
un livre qui donne envie de vivre, de faire vivre ses émotions.

contrairement à ceux qui n'ont plus envie de le lire car déçus, je le dévore jusqu'à 3, 4h du matin pour vivre l'aventure pleinement et j'ai peur de le terminer, j'ai peur de quitter cette aventure !

belle oeuvre, certes compliquée à comprendre parfois mais dans la vie il faut souffrir et persévérer pour avancer !

Bonne lecture, Fanny

J'ai commencé ce livre il y a quelques jours avec un grand plaisir de le lire ............... je n'ai rien compris aux premières pages, j'ai recommencé, essayé de comprendre ...........
J'ai tellement apprécié ses autres romans, quelle déception, je n'irai pas plus avant dans ce livre qui ne m'intéresse pas du tout !
y a t il finalement quelque chose à comprendre !
Déception totale !!!!!!!!

Oui Laurent : Il est en effet à mettre dans les bibliothèques ou encore servir de support d'écran d'ordinateur, je crois malheureusement que c'est là les deux seules utilités de ce livre...

Critique dure, j'en conviens, mais je n'attends rien de moins que du génie venant sa part !

Stp Anna, reviens nous !!!

Bisous

Je suis très contente, dans un sens, de trouver des critiques, qui pour la plupart sont assez négatives et rejoignent ce que je pensais. Dans l'immédiat je suis très déçue : je me suis précipitée pour acheter "La consolante" ayant lu avec beaucoup de délectation ses précédents ouvrages et surtout "Ensemble, c'est tout" : ce livre je n'avais qu'une hâte, c'était de rejoindre les personnages : je les aimais tous. Ils étaient attachants. Je les imaginais bien. A tel point que je n'ai pas voulu aller voir le film de peur d'être déçue car déjà je n'imaginais pas "mes" personnages en Audrey tautou et Benoît Magimel. J'ai préféré m'abstenir pour rester sur une excellente impression. L'écriture de cette histoire coulait toute seule, c'était un régal. Une fois terminé ce livre : je l'ai relu et pourtant il avait aussi 604 pages !
Je lis toujours quelques instants avant de dormir, au lit mais quand l'histoire plait le sommeil ne vient pas tout de suite ! Là, depuis que j'ai commencé "la consolante".. je me suis demandé si c'était moi qui ne comprenait rien, ou si j'avais trop sommeil !
Je me suis dit : il y a quelque chose qui ne va pas. J'ai lu en plusieurs soirs ... 49 pages, j'étais dégoûtée car je ne comprenais rien. A tel point que je me suis dit : soit - les précédents livres n'étaient pas de Anna Gavalda et la Consolante c'est bien elle qui l'écrit - soit l'inverse, elle a bien écrit les premiers et la Consolante c'est le travail d'une autre personne, ce n'est pas possible que ce soit la même personne qui écrive de cette façon, dans ce style désagréable, comme le disent les autres lectrices ou lecteurs : pas de sujet, je n'arrive pas à comprendre du tout ce qui est écrit dans ces pages, je ne sais pas qui parle, de qui on parle...enfin très déçue, c'est inattendu ! c'est pire qu'un puzzle ! j'ai voulu reprendre dès le début pensant que ça venait de moi. J'ai recommencé, j'en suis à nouveau à la 49ème page, et je n'ai toujours rien compris et ce style saccadé m'horripile ! pour le moment, j'ai décidé d'arrêter de le lire et suis passé à un autre livre tout à fait différent, américain, un autre style, mais j'accroche pour un début. Je voudrais tout de même bien savoir si c'est Anna Gavalda qui a écrit la Consolante et pas les autres, ou l'inverse est-ce elle qui a écrit les précédents et pas celui-ci. Pour moi, il n'est pas possible pour une même personne de changer à ce point de style. Déroutant, décevant, je ne me précipiterais plus pour acheter ses prochains livres.

je n'ai pas lu ce roman, je l'ai bu, en 2 jours, impossible à lâcher, et ce depuis les premières lignes jusqu'à la dernière sans exception aucune.
je ne suis pas d'accord avec les critiques négatives, cette histoire est emplie d'Amour,
sans vouloir vous porter jugement , peut-être un esprit trop cartésien et attaché aux formes, aux conventions, vous a-t-il empêché de ... (ah voilà que je m'y mets moi aussi!! ;-)

j'ai beaucoup aimé les précédents livres d'Anna Gavalda mais la Consolante est ....désolante !!.....

Le style y est insupportable (pas de sujet, des phrases dignes d'un discours de Fidel Castro, longues et fastidieuses à lire, certaines phrases d'une demi page sans ponctuation hormis un usage abusif de points de suspension...etc.
Il faut avaler (c'est le moins qu'on puisse dire) 450 pages sur 636, avant que l'histoire commence à prendre un peu d'intérêt ! et quand enfin on entre dans le livre, 185 pages plus loin, ça recommence (style anarchique, pas de construction de phrase, pas de suite dans l'idée, pas de sujet ni de ponctuation...). Vraiment Mme GAVALDA, vous nous aviez habitués à mieux.
Croyez que je serai très méfiante pour votre prochain ouvrage avant de l'acquérir.

Frustant ce livre que l'on attendait tous après le chef d'oeuvre "Ensemble, c'est tout"...

Et tout d'abord ce style de phrases assez étrange, sans pronoms personnels et bourré de points de suspension, auquel on a du mal à s'habituer et qui peut expliquer en partie la difficulté que beaucoup ont eu pour rentrer dans le livre.

Au début, une ébauche de mystère et donc de suspens semble s’installer avec la mort d’Anouk. Qui était-elle ? Que s’était-il passé entre elle et Charles pour que sa mort suscite en lui tant d’émotion ?

Mais finalement rien de très excitant et d’original dans la façon de traiter un sujet somme toute classique : un homme proche de la cinquantaine accaparé par son métier d’architecte et blasé par sa vie sentimentale apprend le décès de la femme qui a marqué sa jeunesse et son adolescence. Commence alors son travail de deuil.

Sur la majeure partie du livre, l’histoire traîne en longueur, le scénario est plat. On ne reconnaît pas le talent de conteur d’Anna Gavalda… sauf… sauf au moment où Kate, l’anglais exilée en Limousin, dont Charles vient de tomber amoureux, raconte sa vie. Voilà enfin une merveilleuse description d’un personnage simple, attachant et sensible, rédigée avec une écriture originale, légère et rythmée, digne de notre écrivain.

Mais était-il nécessaire d’écrire un roman 637 pages alors que seulement 150 sont, à mon sens, du vrai Gavalda ?

Je me faisais une joie de lire le dernier Gavalda et ma déception a été à la hauteur de mon espérance : énorme.

Je l'ai trouvé pénible à lire (le style imbuvable, sans verbes, émaillé de mots anglais, sans parler de la diarrhée de points de suspension), trop long (je me suis surprise à sauter des pages), rasoir ( pour décrire le château en ruine où vit Kate, l'auteur a manifestement pris son dictionnaire pour nous fourguer des mots à la file).

Les personnages comme l'histoire sont convenus. Le héros traverse la crise de milieu de vie. Il se reproche de ne pas avoir aimé une femme autrefois, il n'aime plus sa femme actuelle et il va se tourner vers... une petite jeune de 35 ans, généreuse et pimpante comme de bien entendu. Comme c'est original !

Mais surtout, ce que j'aimais dans les romans de Anna Gavalda, c'était l'amour qui suintait à chaque page. Mais là, il n'y a pas d'amour.
Non seulement le personnage de la compagne de Charles (pas la jeune mais la vieille, bien sûr) est caricaturée pour que tout le monde comprenne bien que s'ils se quittent, c'est de sa faute à elle, exclusivement) mais Anna Gavalda attaque gratuitement les petites gens.
C'est facile de se moquer des propriétaires de pavillons qui vont faire leurs courses le samedi au supermarché local ou au Brico Machin. Anna Gavalda vit sans doute d'amour et d'eau fraîche, elle a bien de la chance. Kate habite dans un château, Charles dans le 5ème arrondissement alors évidemment, les pauvres types qui discutent de la hausse du prix de la viande en soupirant, cela les fait ricaner !

Après avoir adoré Ensemble, c'est tout, j'ai pris la Consolante comme une vraie claque dont je ne me console pas.

J'ai bien cru que j'allais abandonner en cours de route. Au début, je ne voyais pas du tout où on allait. Le fait qu'il n'y ait souvent pas de sujet, que les dialogues s'enchainent, on n'identifie pas qui est qui, qui fait quoi, bref, on comprend pas grand chose si ce n'est que le personnage principal est au bord de la dépression.

Il faut un bon 200 pages pour dire qu'on entre vraiment dans le vif du sujet. Alors là, l'émotion repointe le bout de son nez, et alors, oui, on a envie de le finir, ce livre.

Vraiment déçu par ce livre, beaucoup trop long, trop longuet, Anna Gavalda s'est endormie sur les lauriers de son précédent roman...

Ce livre d'Anna Gavalda devrait plutôt s'appeler "L'AFFLIGEANTE". Car, hélas, j'ai été plus que déçue. Comme des milliers de gens , j'avais tant aimé son précédent. L'histoire tarde à démarrer... s'enlise, n'est pas du tout intéressante... bref on meurt d'ennui. Mais le pire est le style: surabondance de phrase sans sujet... on en est exaspéré...A quoi rime ces verbes sans sujet: cela rend la lecture bancale ...Peut être Anna Galvada croit que cela fait "djeune" ? bref affligeant et raté !!!

Je pensais bien (avec néanmoins un peu d'espoir) qu'il ne pourrait pas me faire le même effet que "Ensemble c'est tout"........
mais de là à ne pas avoir envie de le finir!!!!
Sans essayer vraiment d'analyser ce constat, (je n'ai pas ce talent), je crois que rien ne m'a plu: ni l'histoire, ni la plupart des personnages, ni son "nouveau style" (toutes ces phrases sans sujet, quelle idée!)........
Une étoile tout de même pour le personnage de nounou que j'aurais aimé mieux connaître.

Alors que j'avais refermé "Ensemble c'est tout", je l'ai relu une deuxième fois dans la foulée. Les personnages étaient attachants, les dialogues une véritable délectation, etc.
Avec "La consolante", arrivée au bout d'une centaine de pages, j'ai envie de larguer le bouquin, et je dois prosaïquement avouer que, si je ne le fais pas, c'est parce que j'ai dépensé 24 €!
Un comble de ramener la lecture d'un livre à l'investissement de base!
Le style est déroutant, confus, on a du mal à suivre, il y a beaucoup de personnages, on n'arrive pas vraiment à s'intéresser au sujet, qui n'a rien de passionnant.
Quatre ans sans roman d'A. Gavalda pour ça?

Je suis déçue.
Excursus.

En ce qui me concerne, l'histoire de Charles ne m'a que très moyennement touché et ses poncifs sur l'architecture, je les ai trouvés un poil chiant. Il est assez pathétique dans le fond avec ce besoin de se raccrocher à une femme, que se soit Laurence, Anouk ou Kate.

Je regrette beaucoup que le personnage de Kate n'ai pas été plus developpé que ça et se limite au rôle d'infirmière (du coeur) fofolle.

Il est vrai qu'il était difficile de refaire le coup d'ensemble c'est tout, mais là, honnêtement, c'est très moyen. Je m'attendais à mieux

Ce roman est un chef d'oeuvre, comme tous les romans d'Anna Gavalda, il touche au plus profond de nous. Eloge de la vie pour la vie, les personnages sont sublimes, vrais et sincères. On s'attache à Charles, Anouck, Alexis, Mathilde, Claire, Kate... ils nous font rire, pleurer, regretter, aimer et découvrir.
De nombreuses références architecturales, des chansons de Leonard Cohen, des citations latines, des coups de coeurs de l'auteur...
Bref ce livre est une lumière dans ce monde, comme dans son précédent livre l'auteur nous donne une image de la vie, une histoire magnifique où il fait bon vivre.
Lisez cet ouvrage il est bon, agréable, plein de vitalité, je ne pense pas que vous serez déçu il est à mettre dans les bibliothèques...