L'amour qui ose dire son nom
de Dominique Fernandez

critiqué par Spiderman, le 16 juin 2008
( - 62 ans)


La note:  étoiles
Pour esthètes têtus
Un superbe objet qui permet de retrouver toute l'érudition, la finesse et le style de Dominique Fernandez.
Je pensais feuilleter ce livre et le garder dans ma bibliothèque comme une "bible" de référence ... je l'ai lu et savouré de la première à la dernière ligne ! Fernandez développe, images à l'appui, sa théorie de l'oppression comme incitation de la créativité gaie.
Les reproductions sont superbes et l'éclectisme de l'auteur nous fait voyager sur toute la planète de l'Antiquité à nos jours. Il est plaisant de retrouver ici des tableaux ou des statues qui avaient ému, troublé (et plus encore ...) ses yeux, son coeur (...) d'adolescent aux orientations encore floues.