Histoires comme ça de Rudyard Kipling, Laurence Kiéfé (Traduction)
Histoires comme ça de Rudyard Kipling, Laurence Kiéfé (Traduction)
(Just so stories)
(Just so stories)
Catégorie(s) : Enfants => Contes et légendes
Critiqué par Yayotte, le 28 janvier 2009
(Inscrite le 15 avril 2008, 25 ans)
Critiqué par Yayotte, le 28 janvier 2009
(Inscrite le 15 avril 2008, 25 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 5 avis)
Cote pondérée : (41 904ème position).
Visites : 7 618
Moyenne des notes : (basée sur 5 avis)
Cote pondérée : (41 904ème position).
Visites : 7 618
OH ! L'IMAGINATION
Ces textes sont imaginaires et très rigolos. On n'a pas l'impression quand on voit la couverture que ce livre est rigolo, mais il l'est. Ce sont des petites histoires un peu fo-folles. Je vous conseille vraiment de le lire !
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Les éditions
-
Histoires comme ça [Texte imprimé] Rudyard Kipling traduit de l'anglais par Laurence Kiéfé
de Kipling, Rudyard Kiéfé, Laurence (Traducteur)
Hachette / Le Livre de poche. Jeunesse
ISBN : 9782013223997 ; 4,95 € ; 06/06/2007 ; 216 p. ; Broché -
Histoires comme ça
de Kipling, Rudyard
Gallimard / folio junior
ISBN : 9782070513925 ; 1,90 € ; 02/02/1999 ; 187 p. ; Poche -
Histoires comme ça [Texte imprimé] Rudyard Kipling illustrations de l'auteur traduit de l'anglais par Robert d'Humières et Louis Fabulet...
de Kipling, Rudyard Fabulet, Louis (Traducteur) Humières, Robert d' (Traducteur)
Gallimard / Collection Folio junior
ISBN : 9782070619559 ; 6,80 € ; 12/06/2008 ; 173 p. ; Relié
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Les critiques éclairs (4)
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12 contes
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 16 juillet 2018
Plus que des nouvelles, des contes. Et des contes assez clairement destinés aux enfants. En outre, l’édition que j’ai entre les mains est illustrée par Etienne Delessert.
- « La baleine et son gosier » : ou comment la baleine est équipée de fanons. C’est la théorie de Rudyard Kipling expliquée aux enfants. Un naufragé plein de ressources en est apparemment responsable …
- « Le chameau et sa bosse » : un chameau « bofiste », un génie et hop ! une bosse sur le chameau !
- « Le rhinocéros et sa peau » : et pourquoi la peau des rhinocéros fait-elle de grands plis ? Hein ? Kipling a la réponse …
- « Le léopard et ses taches » : là c’est un Ethiopien qui fait le job. Les zèbres sont rayés, le léopard tacheté. Et Kipling sait pourquoi …
- « L’enfant d’éléphant » : ou comment la trompe est-elle venue aux éléphants …
- « La complainte du petit père kangourou » : soit un kangourou et un dingo sur la terre d’Australie, et le dieu Nqong. Au bout du bout, il y en a un qui va sauter partout. Il faut dire qu’il voulait être différent …
- « Le commencement des tatous » : pas un hérisson, pas une tortue, un tatou.
- « La première lettre » : au Néolithique, pas moins, et par une petite fille !
- « Comment s’est fait l’alphabet » : intéressante théorie de Kipling sur la naissance de l’orthographe toujours chez l’Homme Néolithique. Peut-être pas tout à fait académique …
- « Le crabe qui jouait avec la mer » : l’histoire de l’origine de la carapace des crabes qui tombe une fois dans l’année, des marées, … Kipling a réponse à tout. Avec intelligence et bienveillance …
- « Le chat qui s’en va tout seul » : histoire de la domestication des animaux, les uns après les autres. Tous ? Ben, le chat … pas vraiment …
- « Le papillon qui tapait du pied » : un petit air de conte des Mille et Une Nuits, avec la belle Balkis et son seigneur et maître Suleiman-bin-Daoud. Ou comment mettre au pas les 999 autres femmes de Suleiman, tout cela par la ruse de Balkis et de deux papillons.
Alors, des contes pour enfants ? Oui, bien sûr, mais à la relecture (pour écrire cette critique), une belle profondeur d’esprit qui touche le lecteur adulte et fait résonner idées et réminiscences.
Je comparerais ce Rudyard Kipling des contes au Michel Tournier des contes européens réécrits. Moins malicieux et irrespectueux que Tournier mais plein de poésie et de créativité.
- « La baleine et son gosier » : ou comment la baleine est équipée de fanons. C’est la théorie de Rudyard Kipling expliquée aux enfants. Un naufragé plein de ressources en est apparemment responsable …
- « Le chameau et sa bosse » : un chameau « bofiste », un génie et hop ! une bosse sur le chameau !
- « Le rhinocéros et sa peau » : et pourquoi la peau des rhinocéros fait-elle de grands plis ? Hein ? Kipling a la réponse …
- « Le léopard et ses taches » : là c’est un Ethiopien qui fait le job. Les zèbres sont rayés, le léopard tacheté. Et Kipling sait pourquoi …
- « L’enfant d’éléphant » : ou comment la trompe est-elle venue aux éléphants …
- « La complainte du petit père kangourou » : soit un kangourou et un dingo sur la terre d’Australie, et le dieu Nqong. Au bout du bout, il y en a un qui va sauter partout. Il faut dire qu’il voulait être différent …
- « Le commencement des tatous » : pas un hérisson, pas une tortue, un tatou.
- « La première lettre » : au Néolithique, pas moins, et par une petite fille !
- « Comment s’est fait l’alphabet » : intéressante théorie de Kipling sur la naissance de l’orthographe toujours chez l’Homme Néolithique. Peut-être pas tout à fait académique …
- « Le crabe qui jouait avec la mer » : l’histoire de l’origine de la carapace des crabes qui tombe une fois dans l’année, des marées, … Kipling a réponse à tout. Avec intelligence et bienveillance …
- « Le chat qui s’en va tout seul » : histoire de la domestication des animaux, les uns après les autres. Tous ? Ben, le chat … pas vraiment …
- « Le papillon qui tapait du pied » : un petit air de conte des Mille et Une Nuits, avec la belle Balkis et son seigneur et maître Suleiman-bin-Daoud. Ou comment mettre au pas les 999 autres femmes de Suleiman, tout cela par la ruse de Balkis et de deux papillons.
Alors, des contes pour enfants ? Oui, bien sûr, mais à la relecture (pour écrire cette critique), une belle profondeur d’esprit qui touche le lecteur adulte et fait résonner idées et réminiscences.
Je comparerais ce Rudyard Kipling des contes au Michel Tournier des contes européens réécrits. Moins malicieux et irrespectueux que Tournier mais plein de poésie et de créativité.
Encore une belle idée de réédition audio
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 1 mars 2012
Toute l’incongruité de la nature, ses mystères, ses couleurs flamboyantes, expliquées aux petits et grands avec un ton de malice et fantaisie, propre à cet auteur qui savait observer le monde animal et le conter avec enthousiasme et humour.
La trompe de l’éléphant, la bosse du chameau, la démarche du kangourou, la nourriture minuscule de l’énorme baleine… tout y passe !
Distrayants et pas du tout mal vieillis, ces récits sont, de plus, très allègrement racontés, dans la version audio, par Dominique Pinon qui, malgré le côté très animalier de ses personnages, sait leur donner vie avec justesse.
Plaisant !
La trompe de l’éléphant, la bosse du chameau, la démarche du kangourou, la nourriture minuscule de l’énorme baleine… tout y passe !
Distrayants et pas du tout mal vieillis, ces récits sont, de plus, très allègrement racontés, dans la version audio, par Dominique Pinon qui, malgré le côté très animalier de ses personnages, sait leur donner vie avec justesse.
Plaisant !
Trop naïf pour moi
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 9 janvier 2012
« Il posait des questions à propos de tout ce qu'il voyait, entendait, éprouvait, sentait et touchait, et tous ses oncles et tantes le cognaient ; ce qui ne l'empêchait pas de rester plein d'une insatiable curiosité. »
Une douzaine d’histoire loufoque mettant en scène des animaux et l’homme des Temps Anciens. On nous dit par exemple comment des animaux auraient acquis leurs attributs physiques qui les caractérisent (l’éléphant et sa trompe, le chameau et sa bosse...), comment l’homme a créé l’alphabet, ainsi de suite, dans des récits sans queue ni tête.
C’est du genre « il était une fois un chameau qui ne voulait pas travailler, etc. et depuis le chameau à une bosse », c’est mignon, mais j’ai trouvé que c’était plus pour les enfants. D’ailleurs, ces histoires ont d’abord été écrites, ce que j’ai trouvé très touchant, à sa fille, décédée d’une pneumonie à 6 ans, peu avant la parution de ce livre. De nombreuses histoires sont adressées à sa « Mieux-Aimée », comme quelqu’un qui raconte des histoires à des enfants avant de les coucher. C’est triste quand on y pense. Enfin, c’était trop naïf pour moi, loufoque-et-surréaliste, mais un-peu-n’importe-quoi aussi, cependant je me vois lire ces histoires à de jeunes enfants « (ça, c’est de la magie) ».
Un des gros problèmes que j’ai eu en lisant le livre, c’est que ces histoires sont coupées d’illustrations (de l’auteur) accompagnées de descriptions, descriptions qui m’ont déconcentré de l’histoire. Je ne sais pas si ils sont à ces endroits dans l’édition originale, mais dans la mienne (Folio Junior, 432), j’ai trouvé ça très irritant et, en plus, des fois ça révélait l’histoire d’avance ! Aussi, ses coupures peuvent rendre l’histoire plus difficile à suivre aux plus jeunes. Ces descriptions (souvent compléments de l’histoire) sont plutôt amusantes à lire, mais je dirais de les lire APRÈS.
C’est un livre qui ne manque pas d’imagination, seulement ce n’est pas vraiment pour un public adulte.
Une douzaine d’histoire loufoque mettant en scène des animaux et l’homme des Temps Anciens. On nous dit par exemple comment des animaux auraient acquis leurs attributs physiques qui les caractérisent (l’éléphant et sa trompe, le chameau et sa bosse...), comment l’homme a créé l’alphabet, ainsi de suite, dans des récits sans queue ni tête.
C’est du genre « il était une fois un chameau qui ne voulait pas travailler, etc. et depuis le chameau à une bosse », c’est mignon, mais j’ai trouvé que c’était plus pour les enfants. D’ailleurs, ces histoires ont d’abord été écrites, ce que j’ai trouvé très touchant, à sa fille, décédée d’une pneumonie à 6 ans, peu avant la parution de ce livre. De nombreuses histoires sont adressées à sa « Mieux-Aimée », comme quelqu’un qui raconte des histoires à des enfants avant de les coucher. C’est triste quand on y pense. Enfin, c’était trop naïf pour moi, loufoque-et-surréaliste, mais un-peu-n’importe-quoi aussi, cependant je me vois lire ces histoires à de jeunes enfants « (ça, c’est de la magie) ».
Un des gros problèmes que j’ai eu en lisant le livre, c’est que ces histoires sont coupées d’illustrations (de l’auteur) accompagnées de descriptions, descriptions qui m’ont déconcentré de l’histoire. Je ne sais pas si ils sont à ces endroits dans l’édition originale, mais dans la mienne (Folio Junior, 432), j’ai trouvé ça très irritant et, en plus, des fois ça révélait l’histoire d’avance ! Aussi, ses coupures peuvent rendre l’histoire plus difficile à suivre aux plus jeunes. Ces descriptions (souvent compléments de l’histoire) sont plutôt amusantes à lire, mais je dirais de les lire APRÈS.
C’est un livre qui ne manque pas d’imagination, seulement ce n’est pas vraiment pour un public adulte.
Histoires comme ça.
Critique de Sabrina (, Inscrite le 1 mai 2010, 28 ans) - 1 mai 2010
Ce sont de petites histoires courtes mais très amusantes.
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