Merlin, tome 5 : Brendann le Maudit
de Jean-Luc Istin (Scénario), Éric Lambert (Dessin)

critiqué par Septularisen, le 11 mars 2009
( - - ans)


La note:  étoiles
LA SAGA MERLIN CONTINUE…
L’île sacrée d’Avalon est sous la menace du terrible Baandor le dragon de l’enchanteur Iweret, que les prêtresses du culte ancien s’efforcent de combattre. Mais sous les traits de ce dragon, se cache en réalité Brendann fils de Bran d’Armorique, (l’amant de Maëlle la mère de Merlin), qui victime d’une malédiction d’Ahés se transforme lentement mais surement en dragon!

Le but avoué du dragon Baandor : s’emparer du Graal qui est caché à Avalon sous la protection des dames du lac. Le père Blaise est le dernier obstacle sur sa route…

De son côté Ahés, dont le pouvoir ne cesse de s’accroître, persuade Merlin de changer de politique et d’attaquer, en priorité, Avalon afin de tuer la prêtresse-mère Azenor… Mais dans leurs rangs, Erwann le druide et le dieu lunaire Nuada désapprouvent cette volonté, étant donné que les dames d’Avalon ont toujours servi avec loyauté l’ancienne religion.

Très vite, Erwann est mis à mort part la déesse Ahés, tandis que Nuada est provoqué en duel par Merlin sur le Tor de Tylweg…

Nouveau tome de la série Merlin et toujours même problème que les précédents, le scénario de M. Jean-Luc ISTIN ne tient toujours pas la route… pire l’histoire devient devient de plus en plus compliquée et confuse et on a du mal à suivre et à tout comprendre… D’autant plus que de nouveaux personnages apparaissent sans cesse… Rien à faire l’histoire semble toujours autant tourner en rond et on ne comprend vraiment pas où le scénariste veut amener ses lecteurs…

Je reste et insiste à lire cette série que je trouve vraiment médiocre que pour les magnifiques dessins de M. Eric LAMBERT toujours aussi beaux, surtout quand il nous propose des vues éloignées de paysages, et ses fantastiques vues de nuit. Enfin, les coloriages de M. Bruno STAMBECCO, toujours aussi en nuances bleues et jaunes, toujours aussi réussis…

Par contre, je peste toujours contre M. Eric LAMBERT, dont le château de Lidinis, ne cesse de changer d’aspect, de forme et même de lieu de construction…