La Petite Fadette de George Sand
La Petite Fadette de George Sand
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Critiqué par Clo7, le 6 décembre 2001
(Charleroi, Inscrite le 15 octobre 2001, 24 ans)
Critiqué par Clo7, le 6 décembre 2001
(Charleroi, Inscrite le 15 octobre 2001, 24 ans)
La note : 
Moyenne des notes : (basée sur 16 avis)
Cote pondérée : (562ème position).
Discussion(s) : 1 (Voir »)
Visites : 15 883 (depuis Novembre 2007)
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Amour en terre berrichonne
Sylvinet et Landry sont deux jumeaux berrichons. Ils sont inséparables. Lorsque Landry le cadet est engagé dans une ferme de la région, Sylvinet souffre de cette séparation. Il disparaît. Landry, inquiet, part à sa recherche et le retrouve grâce à la petite Fanchon, dite Fadette, une fille maigre et noire comme un grillon.
Il a dû en échange lui promettre de la faire danser pour la Sainte Andoche.
Le jour venu, Landry qui courtise Madelon, la nièce de son patron, s'exécute de mauvais gré. Ses sentiments évoluent pourtant et Fadette, métamorphosée par l'amour, devient une séduisante jeune fille. Landry se déclare. Sylvinet, jaloux, souffre en silence. Madelon, pour se venger, fait épier Fadette, qui doit quitter le pays. Elle revient pour recueillir l'héritage de sa grand-mère. L'amour est toujours bien présent. Sylvinet, tombé en langueur, est un obstacle à son union avec Landry. Fadette le soigne, le sermonne et Sylvinet s'efface. Un mois après le mariage de son frère, il s'engage dans les armées de Napoléon. Sans goût pour l'état militaire, il commande si bien qu'il devient capitaine. Le charme de Fadette à distance agit encore. C’est une très belle histoire d’amour. C'est aussi l'ascension sociale d'un petit être marginal rejeté par la communauté du village. Fadette c'est le vilain petit canard qui devient cygne.
On retrouve dans la simplicité des sentiments une vérité universelle et dans les rapports qui s’établissent autour de l’argent quelque chose de toujours terriblement actuel. A lire.
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Les éditions
-
La petite Fadette [Texte imprimé] George Sand préf. et comment. de Marie-Madeleine Fragonard
de Sand, George Fragonard, Marie-Madeleine (Editeur scientifique)
Pocket / Presses pocket (Paris).
ISBN : 9782266089401 ; 3,50 € ; 06/01/1999 ; 329 p. ; Poche -
La Petite Fadette
de Sand, George
Gallimard / Folio classique
ISBN : 9782070424719 ; 6,90 € ; 25/02/2004 ; 288 p. ; Poche
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Bien mais tiré par les cheveux
Critique de Virgisud (, Inscrite le 25 octobre 2024, 25 ans) - 25 octobre 2024
je trouve que c'est belle histoire qui est émouvante. cependant l'héritage important laissé à la Petite Fadette après la mort de sa grand-mère alors qu'elle a été élevé dans la pauvreté est un peu démesurer. Je trouve qu'utiliser l'argent pour permettre à la Petite Fadette d'avoir un lien avec le père Barbeau est trop simple. Dans ce passage l'argent domine sur l'amour et je trouve ça décevant venant de George Sand.
Un délicieux roman
Critique de Bacchus79270 (Paris, Inscrit le 20 février 2023, 52 ans) - 24 février 2023
Délicieux roman où l'on se laisse porter au gré des mots simples et délicats de Georges Sand qui a pris le parti que son histoire se terminerait de manière positive. Un roman feel-good avant l'heure, avec une pincée de Berrichon par dessus. Un excellent scénario bien carré avec du suspense et le plein d'émotions. Un peu de douceur dans ce monde de brutes. L'autre qualité de ce livre est son accessibilité par tous, à tout âge, tant le style est limpide. Laissez-vous tenter !
Pas fade la Fadette.
Critique de Maranatha (, Inscrit le 17 janvier 2019, 52 ans) - 5 août 2021
J'ai un vague souvenir de George Sand, j'ai lu La mare au diable il y a des décennies et n'en conserve aucun souvenir. C'est lisant la correspondance de Zola qui semblait apprécier l'auteur que je me suis résolu à lire Sand.
Je crains que de nos jours Fadette ne signifie plus que les factures détaillées téléphoniques dont on entend parler dans la presse lors de grosses affaires judiciaires.
Le roman de Sand est très loin de cet univers.
J'avoue que le début m'est apparu très poussif et je me languissais de voir poindre le minois de la petite. Ma patience fut récompensée car le roman prend réellement son envol dès lors qu'elle apparaît.
C'est un roman moraliste, rural, la langue est superbe, le style parfait.
Je vais lire d'autres livres de Sand c'est certain. Est-elle encore lue de nos jours je l'ignore. On ne perd rien à relire ces classiques de notre littérature.
Je crains que de nos jours Fadette ne signifie plus que les factures détaillées téléphoniques dont on entend parler dans la presse lors de grosses affaires judiciaires.
Le roman de Sand est très loin de cet univers.
J'avoue que le début m'est apparu très poussif et je me languissais de voir poindre le minois de la petite. Ma patience fut récompensée car le roman prend réellement son envol dès lors qu'elle apparaît.
C'est un roman moraliste, rural, la langue est superbe, le style parfait.
Je vais lire d'autres livres de Sand c'est certain. Est-elle encore lue de nos jours je l'ignore. On ne perd rien à relire ces classiques de notre littérature.
Le plaisir de la re-découverte
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 23 janvier 2019
George Sand est une écrivaine incontournable du XIX° siècle. Tout le monde (ou presque ) connaît ce nom. Nombreux sont ceux qui savent qui elle est. Probablement un peu moins nombreux, (mais encore assez, j’espère) pour citer un ou deux titres.
Mais, à ma grande honte, je n’avais aucun souvenir de lecture. (Je n’ai commencé à noter mes lectures qu’à partir des années 90, et aucun titre de G. Sand n’y figurait.)
Ce fut donc pour moi une vraie (re-) découverte de la vie dans le Berry aux alentours de 1850. La vie rurale, les croyances, le travail, les fêtes... et les amours. L’enfance de vrais jumeaux, puis le départ de l’un vécu comme une trahison par le besson restant.
Trahison accrue quand l’un tombe amoureux, qui plus est de la plus laide et plus sale du village.
C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai suivi les personnages, l’évolution de leurs relations, les descriptions des paysages, des occupations, des habitations, des coutumes, même si quelquefois les renvois au glossaire ralentissaient la lecture.
Beaucoup de bons sentiments, une très jolie fin ; quel rafraîchissement !
Mais, à ma grande honte, je n’avais aucun souvenir de lecture. (Je n’ai commencé à noter mes lectures qu’à partir des années 90, et aucun titre de G. Sand n’y figurait.)
Ce fut donc pour moi une vraie (re-) découverte de la vie dans le Berry aux alentours de 1850. La vie rurale, les croyances, le travail, les fêtes... et les amours. L’enfance de vrais jumeaux, puis le départ de l’un vécu comme une trahison par le besson restant.
Trahison accrue quand l’un tombe amoureux, qui plus est de la plus laide et plus sale du village.
C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai suivi les personnages, l’évolution de leurs relations, les descriptions des paysages, des occupations, des habitations, des coutumes, même si quelquefois les renvois au glossaire ralentissaient la lecture.
Beaucoup de bons sentiments, une très jolie fin ; quel rafraîchissement !
Les deux bessons et la petite fée
Critique de Koolasuchus (Laon, Inscrit le 10 décembre 2011, 35 ans) - 1 mai 2017
Même si je l'ai déjà lu plusieurs fois je ne me lasse jamais de ce roman car il ne manque pas de charme et les personnages sont très attachants. Difficile de résister en effet à l'histoire d'amour, certes un peu naïve mais si touchante, entre Landry et la Petite Fadette et même à celle, plus fraternelle, entre les deux jumeaux. J'ai particulièrement apprécié la Fadette d'ailleurs, elle a un fort caractère et peut se montrer revêche mais elle est aussi maligne, sait faire preuve d'une grande bonté et certaines de ses tirades font partie des plus beaux moments du livre de par leurs finesses et leurs charges émotives. J'ai également éprouvé beaucoup de sympathie pour Landry mais un peu moins pour Sylvinet, même si je comprend parfaitement les motifs de sa jalousie il est assez égoïste, égocentrique et capricieux, il aurait bien mérité d'être un peu plus secoué par son entourage.
L'intrigue n'est clairement pas extraordinaire c'est vrai et pourtant il se dégage quelque chose de ce livre qui, avec son ambiance champêtre et son vocabulaire désuet, m'a totalement envoûté. La Petite Fadette doit donc être en effet un peu fée pour que je soit tombé sous le charme comme cela et mon seul regret est la brièveté de ce roman dont on arrive à la dernière page bien trop rapidement.
L'intrigue n'est clairement pas extraordinaire c'est vrai et pourtant il se dégage quelque chose de ce livre qui, avec son ambiance champêtre et son vocabulaire désuet, m'a totalement envoûté. La Petite Fadette doit donc être en effet un peu fée pour que je soit tombé sous le charme comme cela et mon seul regret est la brièveté de ce roman dont on arrive à la dernière page bien trop rapidement.
Un roman plein de fraîcheur
Critique de Bernard2 (DAX, Inscrit le 13 mai 2004, 75 ans) - 27 février 2015
C'est beau, c'est frais, c'est tendre, c'est écrit dans un style joliment vieillot. A (re)découvrir avec un bonheur certain. Certes, la fin est un peu naïve, mais on le pardonnera volontiers.
"La petite Fadette"
Critique de Enayle (, Inscrite le 24 octobre 2012, 73 ans) - 24 octobre 2012
Sandiste et heureuse de reprendre les romans de G. Sand c'est avec un grand plaisir que j'ai relu "la Petite Fadette"... Plongée dans l’atmosphère de la paysannerie berrichonne, j'ai ressenti cet ouvrage avec plus de discernement et c'est une analyse très "forte" de ce que sont de véritables jumeaux et jusqu'où leur amour l'un pour l’autre les entraîne... l'analyse est précise, décortiquée à tel point que Georges SAND est non seulement un immense auteur mais également une psychanalyste de haut niveau. Sylvenet est gangréné par l'absence de son frère Landry et Landry lui est aussi gangréné par l'amour qu'il a pour son besson ! l'analyse fait ressortir deux être identiques mais avec une souffrance qui se manifeste autrement mais qui est d'égale force.
Sand a su très justement, de la naissance de ces bessons jusqu'à leur âge adulte, démontrer un attachement d'une force quasi inébranlable... l'amour est davantage centré sur les jumeaux -Landry-Sylvenet- que sur -Landry et Fanchon Fadet.
Hormis cela, on est au coeur des difficultés actuelles, inchangées 160 ans après... la raillerie, les différences de niveaux sociaux, la faiblesse qui entraîne honteusement la saleté, l'ignorance, la pauvreté... et surgissent des moments forts où la beauté de la nature est déjà une force et une survie !
J'ai noté dans l'ouvrage l'emploi de l'adverbe mêmement une trentaine de fois... volonté de l'auteur ?
Bref, c'est un roman à relire et à méditer !
Je donne plein plein de petites étoiles de satisfaction.
Sand a su très justement, de la naissance de ces bessons jusqu'à leur âge adulte, démontrer un attachement d'une force quasi inébranlable... l'amour est davantage centré sur les jumeaux -Landry-Sylvenet- que sur -Landry et Fanchon Fadet.
Hormis cela, on est au coeur des difficultés actuelles, inchangées 160 ans après... la raillerie, les différences de niveaux sociaux, la faiblesse qui entraîne honteusement la saleté, l'ignorance, la pauvreté... et surgissent des moments forts où la beauté de la nature est déjà une force et une survie !
J'ai noté dans l'ouvrage l'emploi de l'adverbe mêmement une trentaine de fois... volonté de l'auteur ?
Bref, c'est un roman à relire et à méditer !
Je donne plein plein de petites étoiles de satisfaction.
la petite fadette
Critique de Lyric (, Inscrit le 29 décembre 2011, 62 ans) - 29 décembre 2011
L'histoire est belle mais le vieux français utilisé pour la raconter fait qu' elle devient attachante. Le patois berrichon justement dosé donne à ce récit une note vieillotte qui n'est pas déplaisante.
Beaucoup aimé
Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 10 mai 2010
C'est un classique et un livre très beau. Les personnages sont attachants et on est captivé par leur histoire. J'ai aimé.
Morale paysanne
Critique de Maylany (, Inscrite le 11 novembre 2007, 44 ans) - 12 mai 2009
La Petite Fadette est, en trois qualificatifs, un ancien roman de terroir moraliste.
La morale est prépondérante et omniprésente (la vilaine devient jolie quand elle se sent aimée, les mal-intentionnés finissent mal et sont toujours démasqués, les bons sentiments triomphent toujours, …) et donne parfois l'impression de lire un roman destiné aux enfants et adolescents afin de leur faire une leçon de vie ; d'autant plus que les adolescents en sont les personnages principaux.
L'environnement paysan d'époque, avec ses pratiques et ses croyances fait également pleinement partie de ce livre tout au long de la lecture et permet de s'imprégner particulièrement facilement de l'ambiance générale.
L'écriture est quant à elle parfois surprenante par certains mots inconnus ("besson") ou certaines conjugaisons qui peuvent paraître, de prime abord, très hasardeuses mais également par sa simplicité (qui fait à nouveau penser à un livre pour jeunes adultes).
On notera, de façon plus générale, le charme qui émane des décors, des personnages, et de leurs sentiments ainsi que l'incroyable fluidité de la lecture (les pages se tournent toute seules et avec beaucoup de plaisir) mais on pourra regretter le manque de sentiments plus évolués ou de réflexions plus poussées.
La morale est prépondérante et omniprésente (la vilaine devient jolie quand elle se sent aimée, les mal-intentionnés finissent mal et sont toujours démasqués, les bons sentiments triomphent toujours, …) et donne parfois l'impression de lire un roman destiné aux enfants et adolescents afin de leur faire une leçon de vie ; d'autant plus que les adolescents en sont les personnages principaux.
L'environnement paysan d'époque, avec ses pratiques et ses croyances fait également pleinement partie de ce livre tout au long de la lecture et permet de s'imprégner particulièrement facilement de l'ambiance générale.
L'écriture est quant à elle parfois surprenante par certains mots inconnus ("besson") ou certaines conjugaisons qui peuvent paraître, de prime abord, très hasardeuses mais également par sa simplicité (qui fait à nouveau penser à un livre pour jeunes adultes).
On notera, de façon plus générale, le charme qui émane des décors, des personnages, et de leurs sentiments ainsi que l'incroyable fluidité de la lecture (les pages se tournent toute seules et avec beaucoup de plaisir) mais on pourra regretter le manque de sentiments plus évolués ou de réflexions plus poussées.
le charme du vieux français
Critique de Janou (, Inscrite le 14 novembre 2005, 48 ans) - 23 février 2006
j'ai adoré me plonger dans l'histoire de Landry et Fanchon, personnages touchants et bons.
le style du livre est particulier de par son vocabulaire et ses expressions en vieux français inusité mais quel charme il s'en dégage... J'ai eu un peu de mal pendant les premières pages et puis on plonge tête première dans cette histoire de gens simples et bons du 19 e siècle, on est touché par la tristesse et la pauvreté de la petite Fadette qui devient belle et bonne pour tous.
Une belle histoire d'amour avec en filigrane cette relation complexe qui unit et désunit ces jumeaux si proches et si différents...
a lire et à dévorer !!!
le style du livre est particulier de par son vocabulaire et ses expressions en vieux français inusité mais quel charme il s'en dégage... J'ai eu un peu de mal pendant les premières pages et puis on plonge tête première dans cette histoire de gens simples et bons du 19 e siècle, on est touché par la tristesse et la pauvreté de la petite Fadette qui devient belle et bonne pour tous.
Une belle histoire d'amour avec en filigrane cette relation complexe qui unit et désunit ces jumeaux si proches et si différents...
a lire et à dévorer !!!
sympathique
Critique de Bananamooon (, Inscrite le 4 février 2005, 36 ans) - 22 février 2005
Le coup de foudre de Landry pour Fadette, malgré les qu'en dira-t-on et les médisances, c'est sûr, c'est très beau.
Mais la véritable histoire d'amour de ce roman n'est-elle pas celle de Sylvinet et Landry?
Bref, un roman sympathique, beaux paysages, belles gens, beau dénouement, une belle histoire en somme... même si ce roman m'a énormément plu (c'est mon premier de George Sand, j'en lirai certainement d'autres) je trouve que ce roman est un peu trop "happy end", un tel dénouement heureux peu probable (surtout concernant Sylvinet).
Mais les pages se tournent toutes seules (c'est déjà ça !) et l'histoire de Fadette et Landry nous émeut et nous laisse forcément rêveu(ses)rs.
Mais la véritable histoire d'amour de ce roman n'est-elle pas celle de Sylvinet et Landry?
Bref, un roman sympathique, beaux paysages, belles gens, beau dénouement, une belle histoire en somme... même si ce roman m'a énormément plu (c'est mon premier de George Sand, j'en lirai certainement d'autres) je trouve que ce roman est un peu trop "happy end", un tel dénouement heureux peu probable (surtout concernant Sylvinet).
Mais les pages se tournent toutes seules (c'est déjà ça !) et l'histoire de Fadette et Landry nous émeut et nous laisse forcément rêveu(ses)rs.
J'ai aussi aimé...
Critique de Paulmarc (, Inscrit le 26 janvier 2004, 72 ans) - 26 janvier 2004
Durant mes vacances, voici plusieurs années j'ai eu la chance de visiter le château de G. Sand à Nohant. A côté de ce musée, il y a une librairie et j'ai acheté ce livre, dans lequel je me suis plongé immédiatement. Mon imagination a pu voyager dans ces paysages et dans cette vie qui devait couler autour du château. Un livre à lire si on aime la vie champêtre...
Très émouvant
Critique de Epona (Ligny, Inscrite le 17 avril 2001, 33 ans) - 15 décembre 2001
C'est un très beau livre qui raconte l'histoire d'une jeune fille pas comme les autres. Ce livre nous transforme et nous montre que l'on doit être serviable avec les autres, même si ils sont différents de nous.
Tout est déjà dit
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 12 décembre 2001
Tout est déjà dit! Je n'ai rien de plus à rajouter si ce n'est que je vous conseille de le lire si vous aimez les histoires de terroir, les histoires d'amour avec des intrigues. Moi, c'est le premier de George Sand que j'ai lu et j'ai adoré.
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| LA PETITE FADETTE DE GEORGE SAND | 3 | Enayle | 28 octobre 2012 @ 21:17 |
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