Veronika décide de mourir
de Paulo Coelho

critiqué par Dada, le 12 décembre 2000
(Bruxelles - 48 ans)


La note:  étoiles
Un chef-d'oeuvre de réflexion sur la différence
N'y avez-vous jamais songé ? Véronika, elle, y a pensé, l'a décidé et l'a fait .
Toutefois, si elle était parvenue à ses fins, Paulo Coelho n'aurait pu faire le procès de ce que l'on pense, de ce que l'on croit, de ce que l'on désigne et de ce que l'on définit comme étant " la folie ".
Dans ce livre, parfaitement " Coelhosien ", l'auteur nous offre une vision poétique et originale (et pourquoi pas réaliste ?) de ce phénomène et des personnes qui en sont la proie ou les auteurs.
Soyons fous ! 7 étoiles

L’auteur brésilien surtout connu pour son best-seller « L’Alchimiste » sort de sa zone de confort en évoquant une histoire localisée en Slovénie à la sortie de la guerre civile et de la dispersion des différentes nations que formaient l’Ex-Yougoslavie.

Il s’inspire tout de même d’une histoire vraie, celle de Veronika, une jolie jeune femme qui après avoir commis une tentative de suicide se retrouve dans une institution psychiatrique dirigée par le docteur Igor, personnage assez trouble et imbu de ses certitudes.

Outre l’analyse de son propre cas, on y décrit les motifs qui ont conduit Maria, Eduard et Zedka à être également en traitement dans cet asile au nom étrange de Villete.

Le style de Paulo Coelho reste sombre et le lecteur est plongé dans une atmosphère d’inconfort et de mystère qui plane sur ces lieux dont les projets thérapeutiques restent incertains.

Est-on réellement libre de ses mouvements à Villete ? Doit-on réellement être atteint d’une forme de folie pour y entrer ou y demeurer ? Veronika va-t-elle bientôt mourir ou ne s’agit-il que d’une manipulation ?
Toutes ces questions sur l’évolution du récit s’accompagnent d’autres réflexions plus fondamentales sur ce que sont la folie, l’amour et le sens de la vie. On peut aussi très bien lire ce roman avec les perspectives de nos récents confinements, de l’isolement et des nouvelles phobies qui se révèlent suite à ces mois si particuliers que nous avons vécus.

En conclusion, sous réserve que personnellement je ne considère pas Paulo Coelho comme mon auteur favori, le roman permet de réfléchir sur des thèmes qui interpellent et le romancier a le mérite de ne pas d’enfoncer des portes ouvertes.

Pacmann - Tamise - 59 ans - 16 juillet 2021


magnifique 8 étoiles

après la déception de " sur le bord de la rivière de Piedra je me suis assise et j'ai pleuré " je trouve ce livre un vrai chef d'oeuvre de la part de PAULO COELHO, une très belle histoire qui nous apprend la conscience de la mort et la conscience de la vie .... j'ai trop aimé la psychologie de PAULO COELHO il a bien traité le sujet du côté psychologique d'une manière compréhensible.
j'ai bien aimé tous les personnages de ce livre surtout celle de VERONIKA
ce livre m'a donné l'envie de vivre et vivre et vivre merci PAULO COELHO

Badboye2 - - 31 ans - 1 décembre 2012


Vitriol 9 étoiles

Pour un deuxième livre de Coehlo, j'ai beaucoup apprécié. Je l'ai trouvé plus accessible que l'Alchimiste, plus "roman" et ouvert, mais peut-être ai-je lu trop tôt l'Alchimiste...

Bref, j'ai trouvé ce livre déjà à-priori intéressant par son contexte, en milieu psychiatrique, et je m'attendais à un livre qui critique les traitements de la psychiatrie et ce qu'on a déjà vu sur le sujet, mais en fait non, pas tellement...
C'est à nouveau un livre qui fait réfléchir. Réfléchir sur la vie, sur la mort, et sur ce qu'il y a entre. J'aurais du mal à en parler ainsi, c'est un peu trop éparpillé et titanesque comme réflexion. Mais c'est un livre qui fait réfléchir sur la vie, oui. Sur notre condition d'être vivants, et sur la signification de ce mot. Sur la norme, la notion de normalité, qu'est-ce ? Qu'est-ce qu'être fou ? Etre malade ? Etre hors de cette norme ? Mais si la norme est folle, alors, qui es sain ?
Il semble que dans cet asile, personne ne l'est.
J'ai trouvé très intéressant l'avis du docteur, et son idée de Vitriol ; de maladie de l'Amertume qui empoisonne l'humanité. C'est bien sûr un parallèle avec la condition de chaque être humain vivant en société, ou son devenir, plus ou moins proche...
Mais qu'est-ce qui nous empêche de vivre alors ? Qu'est-ce qui provoque cet empoisonnement ? J'ai plusieurs fois pensé que j'aurais bien aimé lire cette thèse dont il parle, ce personnage fictif, sur le Vitriol. Veronika en parle. De sa mère, de son amour, de la haine qu'elle porte à cet amour ; cet amour inconditionnel ; c'est ça, la cause. Une route qu'on ne choisit pas, pour obéir à une pression familiale, sociale, qu'importe. Pas notre route. On s'égare et on perd la vie.
Eduard en est la parfaite illustration. J'ai beaucoup aimé la morale que sous-tend la fin. Bref, un très beau livre qui pousse à se poser des questions.

Tommyvercetti - Clermont-Ferrand - 36 ans - 15 mai 2010


Enfin !!!!!!!! 9 étoiles

Enfin un bon livre de Coelho!!!!
Un livre superbe qui m'a fait vivre...!!
Après plusieurs déceptions de Coelho, je commençais à perdre espoir!!! Mais là, j'avoue j'adore, j'aime!!!
Superbe!!!!

Lepenseurfou - - 36 ans - 11 mars 2009


plaidoyer pour la folie 10 étoiles

Paulo Coelho nous interpelle une nouvelle fois et nous fait réfléchir sur le sens à donner à notre vie... Là, la folie, ou plutôt l'idée que chacun s'en fait, lui sert d'appui pour étayer son propos. L'histoire de cette jeune fille qui renaît à la vie après avoir voulu se donner la mort nous laisse pantois... et pleins d'espoir !!! Oui, notre vie peut changer, et ceci ne tient qu'à nous !!!
Intéressante réflexion également sur notre société, et les stratagèmes développés par chacun pour s'y adapter, ou pour en échapper... Personnages enfermés dans un asile, mais finalement plus prisonniers d'eux-mêmes que de cette société dite aliénante...
Les personnages sont humains, lambdas... et chacun d'entre eux reflète une partie de notre iceberg... C'est bien là la force de Paulo Coelho : ses oeuvres nous touchent au plus profond car ses personnages nous ressemblent et font écho à nos peurs, nos doutes et nos interrogations. Peurs, doutes et interrogations qu'il est possible de surpasser, comme le prouve la rédemption de ses personnages... Paulo Coelho, au travers de Véronika et de ses "codétenus", nous montre la voie...
Finalement, comme il est dit dans le livre, "être fou, c'est vouloir ressembler aux autres".
A méditer...

Jane056 - - 47 ans - 29 mai 2007


de la réflexion et du rythme !! 8 étoiles

Bravo Paulo Coelho !

Ce livre chargé de réflexion (confrontation folie/normalité très réussie) tient le lecteur en haleine.
Les grandes descriptions toujours présentes nous en apprennent plus sur les personnages et n'alourdissent pas du tout l'histoire !
Véronika ne se morfond pas, elle regarde autour d'elle puis se regarde elle-même.. Finalement ce livre est loin d'être triste.

La fin m'a déçue tout de même. Trop utopique. Trop rose. Trop dégoulinante. Un peu de réalisme tout de même !!

Raphaelle521 - - 34 ans - 15 août 2006


La lecture de Patryck Froissart 9 étoiles

Titre : Veronika décide de mourir
Auteur : Paulo Coelho
Editions Anne Carrière (Paris 2000)
Titre original : Veronika decide morrer
Traduit du portugais brésilien par Françoise Marchand-Sauvagnargues
ISBN : 2253152277

A Ljubljana, dans la Slovénie devenue indépendante après l’éclatement de la Yougoslavie, Veronika décide de mourir, en absorbant des médicaments, parce qu’il ne peut plus rien se passer de nouveau dans sa vie de jeune femme et qu’en continuant à vivre elle n’a plus rien d’autre à gagner que de vieillir, et aussi parce qu’autour d’elle, dans le monde, tout va de plus en plus mal sans qu’elle puisse rien y changer.
Elle se retrouve à l’asile psychiatrique de Villete, où on lui apprend que son cœur, sclérosé par les barbituriques, n’a plus que cinq ou six jours à battre.
Veronika redécouvre la peur de la mort, et rencontre successivement Zedka, internée pour dépression, qui, lors d’injections d’insuline, voyage dans d’autres mondes, puis Eduard, fils d’ambassadeur devenu schizophrène et autiste après avoir été contraint par ses parents de renoncer à faire des études de peinture, puis Maria, avocate, pensionnaire volontaire de l’asile où elle s’est fait admettre pour soigner un syndrome de panique.
Grâce à ces trois « malades », Veronika sort peu à peu de son personnage de jeune fille conforme et se met à faire ce que son éducation et ses préjugés moraux ne lui ont jamais permis de faire : gifler un homme en public, exécuter devant Eduard des gestes qui lui ont toujours, jusque là, semblé grossiers et obscènes, jouer du piano (sa vocation contrariée par sa famille) toute une nuit, de façon passionnelle, et, finalement, aimer Eduard jusqu’à s’enfuir avec lui pour vivre intensément les heures qui lui restent.
Dans ce roman violent, Paulo Coelho décrit de manière très clinique le parcours qui a amené chacun des quatre personnages à basculer dans l’anormalité, et conduit le lecteur à s’interroger sur ce qui fait, justement, que les uns sont considérés comme normaux et les autres comme fous.
La folie devient, à voir et écouter les protagonistes, toute relative, toute conventionnelle, dans cet hôpital où sont encore utilisées des méthodes barbares, où un groupe de gens « normaux », réunis sous l’appellation La Fraternité, a choisi de résider avec les « fous », par confort, pour ne pas avoir à affronter les tracas quotidiens, où, comme attendu, le médecin chef, le Dr Igor, vit sa propre folie mégalomane :
Qui sont les fous ? Qu’est-ce qu’un fou ? Les points de vue se croisent, se confrontent, se contredisent, et le concept de folie, au fil du livre, devient de plus en plus flou.

Retenue dans cet univers clos, oppressant, par le Dr Igor, qui fait d’elle un sujet expérimental destiné à illustrer la thèse à laquelle il travaille, Veronika s’en sort, une fois qu’elle a compris que son désir de suicide lui est venu du fait qu’elle a vécu de manière trop normée, pour faire plaisir à son entourage :

« J’aurais dû faire preuve de davantage de folie. »

L’amour d’Eduard fait le reste, et la fin du roman, pour eux, ainsi que pour Zedka et Maria, est heureuse, puisqu’elle les fait plus libres, face à la société, qu’ils n’étaient avant leur internement.

Une des leçons du livre, à retenir, tient dans ce constat terrible de l’évolution contemporaine des rapports humains, qui fait aujourd’hui la fortune des psys de tout poil :

« La folie, c’est l’incapacité de communiquer ses idées ».

Paulo Coelho, pour le moins, n’est pas atteint de cette folie-là…

Patryck Froissart, El Menzel, le 12 juillet 2006

FROISSART - St Paul - 77 ans - 13 juillet 2006


quelle fadeur ! 2 étoiles

Coelho s'attarde une nouvelle fois sur un thème qui touche l'humain au quotidien.
Ici la mort, la peur de la mort, la relation aux autres, la fonction thérapeutique de l'art...

Mais alors quelle fadeur !! Des personnages insipides et caricaturaux saupoudrés d'une histoire quelque peu mélo... bref, vraiment ennuyant au final.

Queenie - - 45 ans - 4 juin 2006


livre de vie 9 étoiles

Toute la problématique de la question de la normalité face à l'anormalité .
Bel ouvrage au parler vrai qui délivre un merveilleux message : " Il faut oser sa vie "
A conseiller vivement à qui aime la profondeur, le questionnement personnel .

Rodolphe

Tinkerbel - - 63 ans - 4 mai 2006


relativise 8 étoiles

C'est un livre qu'il ne faut pas lire quand on se pose des questions fondamentales sur sa vie, ça c'est sûr !
Mais cela nous fait énormément réfléchir et relativiser en se disant que dans notre vie on n'est pas trop mal finalement !
A mon goût, très bon livre qui mérite d'être lu !

Pauline_56 - - 34 ans - 21 février 2006


Duel entre la vie et la mort 10 étoiles

C'est en regardant la mort en face qu'on se rend compte du sens de la vie . C'est le destin , les rencontres , qui nous redonnent espoir , un but , une estime de soi-même qu'on avait jusqu'alors perdue . On voudrait tous connaître quelque part cette expérience (sans passer par la case hôpital psychiatrique )
Un livre qui donne l'espoir , et qui nous dit que chaque être peut nous donner quelque chose d'exceptionnel , que quelqu'un d'autre ne saurait nous donner pareillement .
C'est le premier Paulo Coelho que j'ai lu .

Tyty2410 - paris - 38 ans - 31 octobre 2005


Vivre ou ne pas vivre 6 étoiles

Intéressante histoire que celle du suicide raté de Veronika qui l'amène dans un hôpital psychiatrique. On pourrait se poser plein de questions sur le but de la vie mais le style assez léger de Coehlo nous fait passer au-dessus. Cela ne me dérange pas spécialement car je n'aime pas les histoires "prises de têtes" mais c'est peut-être un peu dommage dans ce cas-ci. De plus tout est assez convenu et aucune surprise ne vient nous troubler au cours de cette lecture. Un peu déçu donc...

Christof13 - - 45 ans - 29 juin 2005


Légèrement déçue 4 étoiles

Moi aussi, c'est mon premier livre de cet auteur et je n'ai pas été emballée. Je m'attendais à plus. L'idée de départ est bonne, un suicide manqué. Veronika se retrouve à l'hôpital psychiatrique et y fait la rencontre de différents personnages. Ceux-ci ont chacun leur petite histoire qui les a conduits où ils sont. J'ai aimé lire le récit de chacun. Par contre, je n'ai pas aimé les descriptions de traitement ni la scène de masturbation de Veronika devant Eduard. Franchement, j'ai trouvé ça exagéré... Et les vomissures... Était-ce bien nécessaire de nous imposer tous ces détails ? Le subterfuge du docteur Igor, son mensonge au sujet de la faiblesse cardiaque de Veronika, je ne l'ai trouvé pas tellement crédible. Je comprends le message sous-jacent que l'auteur a voulu nous livrer mais il y a quelque chose qui me hérisse dans ce livre. Trop de naïveté et de candeur m'énervent et Paulo Coelho ne m'a pas convaincu en dépit des bonnes intentions initiales. L'auteur a déjà été interné et j'y ai décelé une amertume et un désir de revanche suite à son épreuve. Bref, pas très bon....

Dirlandaise - Québec - 69 ans - 12 février 2005


Pourquoi ne pas mourir alors que tout va bien? 8 étoiles

Dans la même lignée que l’Alchimiste, Paulo Coelho souhaite nous faire prendre conscience de notre vie. Veronika doit reprendre confiance en elle et chercher à vivre. Très bon livre.

Kreen78 - Limours - 46 ans - 15 décembre 2004


La folie libère les esprits 8 étoiles

Véronika tente de se suicider.Sans succes. Elle va alors rentrer dans un asile où elle découvrira que ce n'est peut-être pas les fous qui ne sont pas dans la norme. Superbe.J'ai adoré ce roman et je le conseille vivement.

Algo - Bruxelles - 42 ans - 10 septembre 2002


J'ai mal choisi... 6 étoiles

C'est le premier livre de Coelho que je lis. Et je dois avouer que je ne suis pas vraiment convaincue. J'ai trouvé l'histoire intéressante jusqu'à l'arrivée de Véronika dans l'asile. La suite coule de source, à la moitié du livre, j'avais deviné la fin... Ce livre ne m'a pas vraiment fait rêver ni rire ni émue.
J'en suis désolée. J'ajouterai que j'ai peut-être mal choisi mon moment pour entamer un tel roman. Peut-être que, comme pour la poésie selon Jules, tout est une question d'instant et de ressenti personnel.
Voulant essayer Paulo Coelho, j'aurais peut-être dû en choisir un autre...
Peut-être. Peut-être. Peut-être...

Rosenblum Petit - Marcinelle - 50 ans - 9 septembre 2002


Eloge de la folie 10 étoiles

S'il fallait retenir une chose de ce livre, c'est la vision que Paulo Coelho nous donne de Dieu par la bouche d'une patiente de l'hôpital psychiatrique. Personnellement, je n'avais jamais envisagé l'acte de Dieu chassant Adam et Eve du paradis terrestre sous cet angle.. "Si Dieu vivait dans le monde actuel, il devrait se justifier d'avoir chassé Adam et Eve du paradis terrestre pour avoir transgressé une loi qui n'existait pas et sans aucun fondement juridique. Il serait également accusé de négligence administrative pour avoir placé l'arbre au fruit défendu au milieu du jardin et non hors les murs. De plus, il devrait répondre d'incitation au crime pour avoir sciemment mis l'accent sur cet arbre, un peu comme s'il voulait qu'Adam et Eve s'y frottent... Un grand moment d'hilarité et de démonstration des incohérences de la justice

Darius - Bruxelles - - ans - 28 octobre 2001


Nous sommes tous fous dans un monde de fous.... 9 étoiles

Grâce à ce livre, cette phrase que l'on dit si souvent sans plus en mesurer la vraie valeur : "il faut vivre chaque jour comme si c'était le dernier", prend tout son sens ! Combien de choses qui finissent par nous sembler normals et naturelles, si le temps nous était réellement compté; deviendraient très vite exceptionnelles et précieuses?? Profitons de chaque instant de la vie !

Thémis - Ligny - 54 ans - 9 octobre 2001


La mort, la vie 9 étoiles

Ce livre risque de décevoir ceux qui attendent un roman comme "l'alchimiste" ou "au bord dela rivière piedra..".
Bien sûr on retrouve Coelho dans son style, dans ses valeurs mais tout semble différent. Les critiques que je viens de lire sur "critiqueslibres" m'ont rappelé que ce livre parle de "folie et normalité"... Toutes celles entendues auparavant (via les médias) mettaient aussi ce détail en valeur.
Personnellement ce n'est pas ça que j'en ai retenu!!
Véronika décide de mourir... n'est-ce pas la mort qui est le thème principal de ce livre? Mais elle rate son suicide... Voilà que Coelho peut aussi parler de la vie!
Oui, mais il ne lui reste que 5 jours à vivre... Ah quel beau thème l'auteur aborde-t-il là:
L'importance de chaque minute, la valeur des choses simples, la fragilité du temps qui passe... Personnellement, j'en avais oublié la folie.
A tous, fou ou pas, Coelho nous dit "carpe diem"!!!! enfin, c'est celà que j'avais retenu de ce superbe livre!!

Tamia - Bruxelles - 48 ans - 11 avril 2001


Le sommes-nous aussi? 0 étoiles

Nous retrouvons en effet le style de Coehlo. Certains s'en lasseront... Cependant, une question bouleversante est posée : n'est-ce pas le fou qui est normal et n'est-ce pas la personne dite normale qui est elle-même déséquilibrée?? Une question qui permet de s'en poser d'autres.... Un livre qui incite à voir les choses d'une façon différente....

Titi - Bruxelles - 50 ans - 20 février 2001


Pourquoi pas? 0 étoiles

Un live prometteur racontant un procès hors du commun!Super critique!J'ai adoré ce livre!

Max - BRUXELLES - 36 ans - 15 février 2001


Une réflexion sur les normes 0 étoiles

Pour moi, certainement un des meilleurs livres de Paolo Coelho.
C'est une réflexion sur la folie et la normalité. Qui est fou et qui est normal? Et d'abord que signifient ces mots?
Selon l'auteur, un fou, c'est quelqu'un qui est là, qui comprend, mais qui souffre de ne pas pouvoir communiquer, un peu comme un étranger qui parlerait un autre langage. A lire absolument.

Leura - -- - 73 ans - 29 janvier 2001


décevant... 0 étoiles

Selon moi, un des moins bons livres de Paolo Coelho..

Joujou - Bordeaux - 55 ans - 27 décembre 2000