Il faut s’armer de patience pour apprivoiser ce colossal roman historique aux innombrables notes de bas de page. La prose dense est ponctuée d’une surabondance d’images. Je soupçonne que la traduction n’arrive pas à capturer le lyrisme de la version originale. Au niveau du récit également, la complexité de la structure donne des maux de tête. Et les maintes scènes d’homme coupé en deux ou à la tête broyée n’aident pas à faciliter la lecture…
Une grande saga pour ceux qui ont le cœur solide.
Aaro-Benjamin G. - Montréal - 55 ans - 16 octobre 2009 |