Contes à l'envers
de Philippe Dumas, Boris Moissard

critiqué par Nance, le 15 septembre 2009
( - - ans)


La note:  étoiles
Pas assez fantastique
Contes classiques révisés. La belle histoire de Blanche-Neige, Le Petit Chaperon Bleu Marine, Le don de la fée Mirobola, La Belle au doigt bruyant et Conte à rebours (plus Le pommier de Pomanchou dans l’édition 2009). Ils ne sont peut-être plus gnangnan, mais je les ai trouvé terriblement ordinaires. L’humour et l’atmosphère ne m’ont pas touchée. C’est passable, mais la magie n’y est pas. Il faut croire que les classiques sont là pour rester. Aussi, je me vois mal conseiller ce livre à de jeunes enfants.

« Il y a encore, de nos jours, quelques Fées en exercice. Je ne parle pas des grosses dames qui lisent dans le marc de café, je parle des Fées, des vraies, qui ont une belle robe constellée de diamants et une baguette magique et qui vous apparaissent dans un tourbillon dé lumière.
Seulement l'époque n'est plus très propice aux féeries. Les gens aujourd'hui ne s'intéressent qu'à la science. Ce qui les épate, c'est une voiture qui monte à 200 à l'heure; un crapaud changé en prince charmant ne ferait pas trois lignes dans le journal. Alors les Fées se sont faites les plus discrètes possible, elles ont rangé leurs belles robes et tout leur matériel de Fées et elles n'usent de leurs pouvoirs qu'en cas d'urgence, et sans le moindre tourbillon de lumière. Elles travaillent incognito. »
Sans plus 3 étoiles

Je vais le faire lire à mes élèves parce que je veux qu'ils lisent et réfléchissent autour du conte, mais ces contes classiques revisités n'ont pas été pour moi très réussis. Je préfère les originaux.

Flo29 - - 52 ans - 7 janvier 2019


Je me rappelle de ce livre 1 étoiles

J'avais eu à le lire en primaire, ma maitresse me l'avait conseillé parce que j'étais celui qui aimait le plus lire. Je n'avais pas aimé, malgré que j'étais très jeune et encore maintenant quand je le vois dans ma bibliothèque et que je le feuillette je me dis que j'aurais du le donner à quelqu'un qui aurait pu en apprécier peut-être quelques pages.

Je te rejoins sur cette idée :
"Il faut croire que les classiques sont là pour rester."

Simplicité - - 32 ans - 13 septembre 2010