Moi, Milanollo, fils de Stradivarius
de Jean Diwo

critiqué par Ellcrys, le 24 décembre 2009
(Marseille - 40 ans)


La note:  étoiles
Véritable bijou
Je suis encore sous le charme de l'oeuvre magistrale de Jean Diwo, auteur dont la plume me ravit à chaque lecture.

Cette fois, l'auteur se glisse dans la peau d'un magnifique violon créé par Antonio Stradivari, dans une "bottega" de Crémone. Dès lors, nous suivons Coucher de soleil (c'est son nom) de la cour de Köthen où il sera joué par le grand Jean-Sébastien Bach, à la cour de France, en Angleterre et en fait, de par le monde. Convoité par les plus grand artistes du monde, le Stradivarius nous conte avec élégance sa vie passionnante et tourmentée.

Jean Diwo est un virtuose de l'écriture et sa plume m'a ravie à chaque page. De magnifiques mélodies sonnaient à mon oreille ) chaque pas dans cet univers magique. J'ai appris à mieux connaître les instruments de musique, à me laisser bercer par leur voix mélodique et fantastique. La musique a pénétré chaque parcelle de mon être pour me faire vibrer au rythme de l'incroyable histoire de l'auteur. Quel génie, se mettre ainsi, si brillamment, dans la peau d'un des plus grand violon ! Non seulement l'oeuvre de Jean Diwo est une ode à la musique, mais c'est aussi un grand roman historique passionnant.

Le style de Jean Diwo est magnifique, chaque ligne est un concerto, tant pour les yeux que pour l'ouïe. Ce roman m'a transportée pour me baigner dans un univers de poésie, d'enchantement et de plaisirs.
A ne pas manquer ! 10 étoiles

J'ai beaucoup aimé ce livre envoûtant et passionnant. L'originalité de ce beau roman est que le héros est un violon et non un homme. Le splendide stradivarius traverse les siècles et nous fait partager son histoire unique. Le style poétique et riche rend la lecture facile et agréable.
Une épopée musicale sur un fond historique intéressant.

Bonne lecture !

Encyclopédie sur pattes - - 28 ans - 5 juillet 2013