Les cathédrales du vide de Henri Loevenbruck
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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Fracassant!
C’est avec plaisir que nous retrouvons Ari Mackenzie, héros du précédent roman d’Henri Loevenbruck. Avec des ingrédients qu’il connait bien l’auteur nous emporte dans une sombre histoire, un thriller ésotérique et symbolique.
Après chaque lecture d’Henri loevenbruck je constate avec un immense plaisir que son écriture se fait plus souple et plus affirmée, vers une maitrise certaine de son art, (l’écrivain n’est-il pas une pierre brute qu’il taille tout au long de sa vie vers un polissage de plus en plus abouti).
Page après page nous suivons l’enquête du héros avec l’impression d’entrer petit à petit dans son intimité, le caractère des personnages est parfaitement décrit et l’intrigue menée avec une montée du suspens constante. Le livre se lit sans qu’aucun temps mort ne vienne perturber le plaisir du lecteur et l’on se trouve à la fin avec une sérieuse envie d’en reprendre encore pour 400 pages.
En définitif c’est un livre qui procure énormément de plaisirs, de réflexions et qui nous laisse avec une question : et si c’était vrai ?...la théorie du complot trouve en chacun de nous une interrogation à laquelle nous n’avons pas trouvé de réponses.
Les éditions
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Les cathédrales du vide [Texte imprimé] Henri Loevenbruck
de Loevenbruck, Henri
Flammarion / Flammarion thriller
ISBN : 9782081221680 ; 20,20 € ; 07/10/2009 ; 336 p. ; Broché
Les livres liés
- Le rasoir d'Ockham
- Les cathédrales du vide
- Le mystère Fulcanelli
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Un second cru meilleur que le premier
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 11 juin 2021
Les mêmes reproches à faire que pour "Le Rasoir D'Ockham" : personnages un peu caricaturaux (la passion d'Ari pour le whisky est, à la longue, avec les nombreuses allusions faites par Loevenbruck, un peu soûlante, sans faire de jeu de mots, même si je voulais en faire un quand même), dialogues qui, parfois, sonnent franchement "film de série B des années 80", et rebondissements incessants à la film d'action.
Mais l'intrigue est bien foutue (à noter que ce roman est la suite directe du "Rasoir...", qu'il vaut mieux avoir lu avant), et dans l'ensemble, je trouve ce deuxième tome de la trilogie Mackenzie meilleur que le premier. De peu, mais quand même. J'ai hâte de savoir ce que vaut le dernier tome, "Le Mystère Fulcanelli", surtout que c'est ce dernier tome que je voulais lire à la base (apprenant que c'était le tome 3 d'une série, j'ai préféré lire les deux précédents avant).
Ouvrir la porte
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 20 décembre 2019
Alors quand Willy Vlaeminck, agent du service de Renseignement Européen, le contacte, pour reprendre une partie de la précédente enquête, il lui fait clairement comprendre que cela ne l’intéresse pas.
Les chapitres en italique nous emmènent au XIV° siècle, dans un manuscrit de Nicolas Flamel ; alchimie, hermétisme, et autres découvertes qui intéresseront sept siècles plus tard de nombreuses personnes prêtes à tout pour se l’approprier.
Intrigué par la fouille minutieuse de son appartement, en même temps que celui de ses deux plus proches collègues et amis, Iris Michotte, Krystov Zalewski, il va (re-)commencer à s’intéresser à ce manuscrit et surtout à ceux qui le recherchent, croisant au passage la belle et sensuelle Marie Lynch.
Pas passionnée par les notions ésotériques, par les romans historiques, les avis céliens m’ont convaincue de persévérer dans ma lecture de ces courts chapitres, qui changent de lieu et de personnages constamment. Et je suis ravie d’avoir découvert un auteur d’un roman policier intéressant et bien construit, même si certains faits sont plutôt aléatoires.
Je regrette cependant de ne pas avoir lu ses romans dans l’ordre de leur parution, car sans être handicapant, il est souvent fait référence à la précédente enquête de Mackenzie, ce qui est assez frustrant.
Une bonne suite
Critique de Coper (, Inscrite le 2 octobre 2014, 41 ans) - 3 novembre 2015
Ce livre est une bonne suite du premier tome, en continuité dans l'intrigue et les personnages (certains ce font plus discrets quand d'autres prennent plus de caractère et participent pleinement à l'aventure).
Agréable à lire, pas de longueur et un final toujours aussi saisissant et... perplexe.
Mackenzie le rebelle !
Critique de Spix (, Inscrit le 23 juillet 2008, 33 ans) - 30 août 2012
Le retour d'Ari Mackenzie, le rebelle de la police ! Il n'a pas beaucoup changé, si ce n'est qu'il boit encore un peu plus...
Exactement dans la même lignée du Rasoir d'Ockham, nous nous penchons cette fois sur le mystérieux professeur Weldon et son organisation, le récit est ponctué de quelques notes du journal de Nicolas Flamel (le soit disant alchimiste du XVeme siècle) écrit a la première personne ce qui est très agréable à suivre également.
Nous retrouvons Iris et Krysztov le garde du corps, ajoutons à cette équipe un autre flic belge, et une nouvelle jolie jeune femme pour de nouvelles aventures sympathiques à suivre tel un feuilleton tv.
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