La Lanterne verte
de Jerome Charyn

critiqué par Yeaker, le 13 août 2010
(Blace (69) - 51 ans)


La note:  étoiles
Ecrit comme un russe
Il n'est jamais bon d'être repéré par Staline. Pour leur malheur une troupe de théâtre en fera les frais en montant le Roi Lear à Moscou.
Au sein des familiers de Staline les guerres d’influence font rage et les jalousies sont mortelles. Les bourreaux d’hier se retrouvent le lendemain à la Loubianka. L’appui des écrivains influents comme le vieux Gorki n’est pas toujours suffisant.

D’une écriture plus russe que russe, c’est toute l’histoire des arts sous Staline qui est décrite dans cet hommage aux artistes russes et je crois en particulier à Babel.