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Dans la nuit brune critiqué par CC.RIDER, le 21 novembre 2010 La note: 
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| Confusion des genres et de la pensée | |||||||
| Jérôme est un quinquagénaire divorcé qui vit avec sa fille Marina. La mère, Paula, est partie vivre une vie de femme très libérée dans le midi. Quand Armand, le petit ami de Marina, meurt dans un accident de moto, la vie de toute la famille est bouleversée. Marina s'enferme pour pleurer dans les bras de Rosy sa meilleure amie. Paula revient assister à l'enterrement, recouche avec Jérôme et repart ensuite avec sa fille dont elle n'avait pas la garde. Quant à Jérôme, il vit très mal tous ces évènements car il pense être un enfant trouvé dans les bois et adopté par un couple qui passait par là. Un roman à la française qui se veut psychologique, sentimental, policier et mémoriel. Autant dire un mélange indigeste ou un cocktail baroque. Une intrigue improbable et ingérable, pleine d'invraisemblance et plutôt mal menée. On se demande ce que cette histoire d'enfant sauvage vient faire avec celle de juifs disparus victimes de l'holocauste et avec celle d'une femme réfugiée en Suisse où elle finit internée dans un camp de travail (?) Tout est embrouillé et fort peu clair. Le lecteur se demande si l'auteur ne le promène pas un peu beaucoup dans toutes ces histoires incongrues, au milieu de ces personnages ridicules et de ces situations où ce qui apparaît n'est pas toujours ce que l'on s'imagine au premier abord. L'accident de moto serait un assassinat puis redeviendrait un accident. La mère adoptive serait la mère réelle puis à nouveau l'adoptive. « Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement ». Dans ce bouquin, ce n'est pas vraiment le cas. On reste dans le brouillard ou plutôt dans la nuit brune... |
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