La chambre ardente
de John Dickson Carr

critiqué par El grillo, le 25 avril 2011
(val d'oise - 51 ans)


La note:  étoiles
Un classique
Présentation de l'éditeur
À 56 ans, Miles Despard décède d'une gastroentérite mal soignée. Son corps est placé dans le caveau familial où reposent déjà neuf générations, au milieu du parc de sa propriété, à Crispen. Mais une rumeur laisse entendre que sa mort n'est pas naturelle. Mark, son neveu, propose à un intime de la famille, le docteur Partington, d'effectuer une autopsie. Une nuit, accompagné du gardien de la propriété et d'un ami écrivain, Edward Stevens, il procède à l'ouverture du cercueil. Le cadavre a disparu alors que le caveau était scellé. Mieux, l'épouse du gardien prétend avoir entendu Miles converser avec une femme la nuit de son décès. A-t-elle eu des visions en affirmant que celle-ci a traversé le mur, costumée en Marquise de Brinvilliers ? Faut-il encore croire aux fantômes ?



Un grand classique de la littérature policière. Ecrit en 1937, ce roman fait référence. Pas une page, pas une ligne sans les faits, rien que les faits. Pas une phrase qui ne serve l'intrigue. On est dans le whodunit et howdunit le plus total. Faut aimer, pour ma part, ça ne me fait plus grand chose.