Bien, sympa, mais qui ne casse rien

Ça y est, Joséphine a trouvé le bon, le vrai ! Comme les tomes précédents, à coup de scénette d’une ou deux pages, on suit notre héroïne bridgetjonienne qui est enfin dans une relation sérieuse.

« - Et ça va ? T’es pas trop angoissée ? Tu vas pas te transformer en hystéro-parano-psychopathe, comme d’habitude ?
- Mmm NON ! Pas cette fois-ci ! Pas avec celui-là ! C’est fini, ça, cette Joséphine. Je ne saboterais PAS cette relation avec mes névroses. »

Je ne sais pas, mais je trouve le trait de crayon plus appuyer ici que dans les deux autres albums, qu’elle a la main plus lourde. Sinon, ce n’est pas mal, comme d’habitude. Enfin, on ne se prend pas la tête, on passe quelques bonnes heures, mais bon, sans plus.

Joséphine est une série bande dessinée que je recommande si vous aimez le genre, le genre Bridget Jones, à lire pour se détendre.

J’aimerais lire quelque chose d’autre de l’artiste, voir si elle est capable de sortir de sa zone de confort. Ma seule autre référence de Pénélope Bagieu est (en tant qu’illustratrice seulement) Jane Austen et moi, mais j’ai été surprise combien le livre avait peu d’illustrations et je trouvais ça dommage. Il y a Cadavre exquis que je zieute, mais les critiques sont plutôt négatives. Reste que ça va être une artiste que je vais suivre, pour voir.

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  Change de camp [Texte imprimé] Pénélope Bagieu

  de Bagieu, Pénélope
  J.-C. Gawsewitch / BD
  ISBN : 9782350132273 ; 15,96 € ; 23/09/2010 ; 96 p. ; Broché

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