Une pure niaiserie, surtout destinée aux lectrices de Barbara Cartland ou de Marc Lévy... L'histoire, banale mais unique comme d'habitude, commence par nous abreuver des détails traditionnels mais comme aucune originalité ni remise en question n'est présente on se dit qu'on est surtout en présence d'un roman de gare.
Ces pauvres femmes, en effet, sont de la race qui ne prennent, si possible, aucune initiative -quitte donc à se laisser conduire par Julot et déclenchera des chaleurs aux couples de Bébert et Janine avec ses millions de clichés et de poncifs, de plus, entretenus. Et puis le féminisme évoqué laisse surtout l'idée d'une pub Playtex mais moins celle des suffragettes.
Très bobo.
Antihuman - Paris - 42 ans - 16 octobre 2011 |