Howards end, le legs de Mrs Wilcox
de E.M. Forster

critiqué par Nelle, le 14 octobre 2002
(Bonne - 49 ans)


La note:  étoiles
laborieux
Une belle histoire, dans l'angleterre du début du siècle, mais bien trop encombrée de considérations philosophiques, à mon goût. L'histoire de l'union entre deux familles anglaises que tout oppose, entre Margaret Schlegel et Mr Wilcox, entre l'idéalisme et le matérialisme. Il était écrit que la propriété d'Howards End appartiendrait un jour à Margaret Schlegel, c'est ce qu'avait décidé Mrs Wilcox sa propriétaire, et amie de Margaret, avant de mourir. Mais la famille Wilcox en a tout d'abord décidé autrement en ignorant les voeux pour eux, inexplicables de la défunte. Hors de question que la propriété sorte de la famille, pour aller de surcroit à une femme à moitié allemande, et à sa famille, une bande d'idéalistes bons à rien.
Mais le destin a décidé que les choses devaient en être ainsi, Margaret finirait ses jours à Howards End. Mais qu'elle a été longue la route jusqu'à Howards Ends, pour moi comme pour Margaret...