Dieu mille douze
de Patricia Bernaix

critiqué par Alvasara, le 8 juillet 2012
( - 64 ans)


La note:  étoiles
De Patricia Jacquet (Auteure)
À notre époque de désespérance sombre, de destruction par le matérialisme, « Dieu mille douze » de Patricia Bernaix donne une clé pour s’élever à l’Amour Fraternel par la compassion libératrice.

Cet écrit plein d’espoir communicatif invite « l’homme » endormi à marcher d’urgence « en humain » vers un bonheur-lumière paisible dont il est le seul responsable.

L’auteure, animée par une « foi » en la vie bien au-delà de toutes les religions confondues, partage avec nous un vécu plein de larmes laissant la place à une énergie positive multipliable par dix.

Il fallait une vision poétique juste, un supplément d’âme et un style d’une grande pureté pour éclairer les mystères de nos angoisses profondes à dépasser.

L’écrivain nous pousse à une « quête » moderne et à portée universelle.

Ce petit livre est d’une intelligence suprême, celle du Cœur. Intégralement novateur, il exprime des vérités qu’on ne parvenait pas à percevoir clairement.

Il nous fait donc enfin du bien et est incontournable.