Bataille de chats : Madrid, 1936 de Eduardo Mendoza

Bataille de chats : Madrid, 1936 de Eduardo Mendoza
(Riñas de gatos)

Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone

Critiqué par Ronanvousaime, le 17 avril 2013 (Inscrit le 13 mai 2007, 49 ans)
La note : 6 étoiles
Moyenne des notes : 5 étoiles (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : 3 étoiles (56 550ème position).
Visites : 3 880 

un peu de tout

Roman digne d'intérêt, mais sans grande originalité.

Le thème séduit : un expert anglais en peinture espagnole se retrouve en Espagne en 1936 et met la main (ou pas) sur un tableau incroyable ...

Roman qu'on lit avec plaisir, parce que l'auteur parvient à conjuguer une intrigue presque policière, une histoire d'amour (ou presque) et le scénario de la guerre d'Espagne en toile de fond. Tout n'est pas crédible (mais bon, dans "l'odyssée" non plus) mais j'ai été pris par l'histoire.

L'écriture ne fait pas de fioriture. Honnête divertissement donc, qui manque d'un petit quelque chose quand même au final.

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Les éditions

  • Bataille de chats [Texte imprimé], Madrid, 1936 Eduardo Mendoza traduit de l'espagnol par François Maspero
    de Mendoza, Eduardo Maspero, François (Traducteur)
    Points / Points (Paris)
    ISBN : 9782757833551 ; 8,00 € ; 14/03/2013 ; 432 p. ; Poche
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Une petite histoire dans la Grande

5 étoiles

Critique de Ravenbac (Reims, Inscrit le 12 novembre 2010, 59 ans) - 31 août 2013

Whitelands est expert en peinture. Lors d’une mission à Madrid il découvre une toile de Velasquez jusqu’alors inconnue. Mendoza nous emmène dans l’Espagne de la guerre civile de 1936. Sans être passionnant le roman se laisse lire.

Long comme un jour sans pain !

3 étoiles

Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 3 juillet 2013

L'intrigue est relativement bien construite jusqu'à la moitié du livre. Passé ce cap tout devient flou, les personnages s'emmêlent et l'histoire devient presque incompréhensible.
Je n'ai pu m'empêcher de me prendre de sympathie pour le personnage principal (anglais jusqu'au bout des ongles) qui par moment me faisait penser au Zeno de Svevo. Attachant, amoureux de l'art, distrait mais toujours avec une logueur de retard sur tout !
Bravo quand même aux passages relatifs à la peinture baroque : Velasquez et sa Venus au miroir ou dans un autre registre la peinture Vénitienne du Titien et sa mort d'Actéon.... tout cela est décrit avec beaucoup de sensibilité.

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