Inferno de Dan Brown
(Inferno)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 20 avis)
Cote pondérée : (12 441ème position).
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A quand le purgatoire ??
Alors le voilà... le "livre le plus attendu de l'année" celui pour lequel les traducteurs furent enfermés dans un bunker gardé par des gens en armes, celui pour lequel très peu de choses ont filtré , celui qui est désormais en tête de gondole dans les supermarchés (je vous jure que dans le mien il trônait à coté d'une promo pour une marque de viennoiserie importante)
Le problème du buzz et de la promo parano est l'attente qu'ils suscitent... le ramage doit se rapporter au plumage et là... tout se complique.
Robert Langdon le spécialiste en symbole se réveille dans un hôpital de Florence , amnésique suite à une agression par balle. A peine le temps d’émerger qu'il essuie une deuxième tentative de meurtre au sein même de l’hôpital , dans sa fuite il embarque une jeune médecin (blonde) au QI de... 208 (on ne rit pas merci). Ensemble ils cherchent à comprendre les raisons pour lesquelles on cherche à le tuer... est-ce dû à l'objet trouvé dans sa veste qui a un lien direct avec Botticelli et Dante ?
L'oeuvre de Dante est le point de départ dans la traque d'un savant ayant mis au point un virus mortel (si le virus n'est pas mortel il ne sert pas à grand chose dans ce style de livre).
Sa traque nous emmènera à Florence , Venise et Istanbul dont à peu près tous les bâtiments seront passées en revue. Un vrai guide du routard, j'ai longuement cherché les logos des offices de tourisme des villes nommées.
Bref , vous avez compris , je fus peu emballé par Inferno qui utilise les mêmes artifices que le "Da vinci" mais sans l'effet surprise.
Reste le talent indéniable de conteur de Dan Brown et les descriptions alléchantes des bâtiments.
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Les critiques éclairs (19)
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course contre la montre
Critique de Djo88 (, Inscrite le 13 janvier 2020, 36 ans) - 15 septembre 2020
Pour ce qui est de la description des villes comme Florence ou Venise, et bein ça m'a encore plus donné envie de faire ce voyage, par contre j'avais déjà visité plusieurs fois Istanbul et donc les citernes (là où tout se passe), ça m'était familier et du coup j'ai encore mieux apprécié la fin même si le cours des événements était rocambolesque.
Un polar rempli d'actions et de suspense.
"Cherchez et vous trouverez ! "
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 6 novembre 2017
"Inferno" parait en France en 2013.
Un roman qui utilise les mêmes codes que ceux qui ont fait le succès de l'auteur.
On retrouve Robert Langdon, professeur d'histoire de l'art et de symbologie à l'université de Harvard.
Un même "jeu de piste" que dans les précédents romans (une symbolique en entraînant une autre)
Un enjeu planétaire, le Bien contre le Mal.
Une enquête haletante menant notre héros d'un bout à l'autre de la planète.
Inferno est le monde souterrain décrit par Dante Alighieri dans son poème épique; La Divine Comédie.
Une enquête menée tambour battant par Robert Langdon et Sienna Brooks (médecin de génie au passé trouble)
Florence (Italie), Venise et Istanbul comme toile de fond. Des villes à l'architecture et l'Histoire riches.
On y croise Michel-Ange, Botticelli, les Médicis et Vasari.
Nos héros sur la piste de Bertrand Zobrist, biochimiste de génie et philosophe transhumaniste.
Un homme qui est convaincu que la pandémie est l'arme ultime pour lutter contre l'accroissement exponentiel de la population.
Une surpopulation qui ne peut mener qu'à l'anéantissement de l'humanité.
Une enquête haletante, un guide touristique de Florence, Venise et Istanbul, une intéressante réflexion sur le transhumanisme.
Une roman réussi qui se dévore.
Haletant et instructif
Critique de Coper (, Inscrite le 2 octobre 2014, 41 ans) - 4 juin 2015
Toujours de la conspiration... que Robert arrive déjouer... qu'il est fort ce prof !
Je m'étais un peu lassée des romans de Dan Brown toujours plus rocambolesques et "tirées par les cheveux" mais j'avoue que je me suis prise dans celle-ci. Les personnages secondaires sont bien travaillés et l'histoire est quand même bien ficelée et bien haletante, la problématique principale tourne autour du transhumanisme et de la génétique (ça change...).
Surtout, j'ai beaucoup aimé les descriptions des villes et des œuvres picturales, les explications du récit de Dante,...
Bref, ça fonctionne, ça m'a donné envie de re-lire Dante et de visiter l’Italie... et la Turquie !
Course-poursuite en Italie
Critique de Koolasuchus (Laon, Inscrit le 10 décembre 2011, 35 ans) - 12 avril 2015
Par moment on a quand même l'impression de lire un guide touristique, cela ne m'a pas vraiment gêné mais certaines descriptions auraient pu être allégées, le côté positif c'est que j'ai désormais très envie de visiter Florence tout comme les très nombreuses références à Dante donnent également envie de se pencher sur son œuvre. La thématique sur la surpopulation n'est pas dénuée d'intérêt non plus, surtout que Dan Brown évite le côté donneur de leçon en y apportant une conclusion que je ne me serais pas spécialement attendue à trouver.
Inferno est donc un bon roman qui se lit bien, l'histoire est parfois tirée par les cheveux mais dans l'ensemble le récit est maîtrisé, on va de surprise en surprise et même si cela reste un pur divertissement il donne cependant un petit peu matière à réflexion.
Un excellent thriller !
Critique de Prose-Cafe (, Inscrit le 30 décembre 2014, 50 ans) - 30 décembre 2014
A lire absolument, d'autant que la problématique sous-jacente repose sur une véritable problématique d'actualité : la surpopulation humaine dans un monde aux ressources limitées ...
Un bon polar
Critique de Usdyc (Bruxelles, Inscrit le 27 août 2004, 68 ans) - 16 septembre 2014
Pour avoir été à Florence et à Venise, le lecture m'a donné l'envie de retourner essentiellement à Florence pour visiter d'autres endroits et peut être essayer d'avoir des accès à certaines salles/endroits pas toujours ouverts au public.
Un très bon moment de lecture.
inferno, style de dan brown
Critique de Mario-san (, Inscrit le 5 juillet 2014, 45 ans) - 9 juillet 2014
Guide touristique avec une unité de temps cornélienne, INFERNO traverse les âges. Pas de repos pour les héros de Dan Brown, davantage pour le lecteur s'il se laisse embarquer par tous les détails architecturaux meublant entre autres ce roman. L'ensemble reste cependant digeste même si l'on ne croit pas trop à une histoire rocambolesque à souhait et permet de passer un agréable moment de lecture-loisirs. Dans la pure lignée des opus précédents!
Guide vert romancé
Critique de Colt (, Inscrit le 26 août 2010, 52 ans) - 24 avril 2014
Heureusement, on peut compter sur un scénario à suspense avec rebondissements. Il y a de grosses ficelles et des situations abracadabrantesques, dont réussissent toujours à se sortir les héros. Par exemple, ils passent successivement au travers de tous les barrages de police posés dans les rues et dans les bâtiments.
Dan Brown écrit comme à son habitude : une littérature au service de l'histoire, et non l'inverse, ce qui est très bien pour ce style de livre. Il reprend aussi les mêmes trucs de conteurs qui ont déjà fait son succès.
Même si à mon goût l'histoire est moins prenante que celle d'un DVC, elle reste intéressante et axée sur une question sociale centrale, celle de la surpopulation mondiale.
Un livre agréable, idéal pour passer quelques bons moments si on aime le genre Thriller à suspense, version voyage sympathique.
On apprend plein de choses
Critique de Gregory28 (, Inscrit le 29 août 2013, 38 ans) - 17 avril 2014
Un bon roman qui se lit d'un trait. Les villes traversées - Florence, Venise, et Istanbul -, de par la description de certaines de leurs curiosités, m'ont donné envie de me documenter davantage sur celles-ci. Deux défauts à mon goût : une course poursuite trop longue dans Florence et un retournement de situation un peu tiré par les cheveux à mi-parcours.
Mais quand on y réfléchit, Robert Langdon aurait très bien pu rester tranquillement dans son université. Vu qu'il n'a pas pu empêcher la propagation du virus, tous les péripéties qu'il a dû endurer ne lui ont servi qu'à une seule chose : à comprendre comment un tiers de la population mondiale allait être rayé de la carte, et ce, sans pouvoir faire quoi que ce soit... Etait-il nécessaire de prendre autant de risques rien que pour ça ?
Tout ça ... pour ça!
Critique de Chris (Bruxelles, Inscrite le 30 décembre 2003, 51 ans) - 6 mars 2014
J'avais lu Da Vinci Code à l'époque de sa sortie en me disant déjà que le bruit médiatique autour du livre n'était pas mérité. Encore une fois, j'ai envie de dire que c'est beaucoup de bruit pour rien.
Dan Brown tenait pourtant une histoire qui aurait pu être intéressante mais il passe un temps fou à nous décrire les villes, les bâtiments. Une vraie visite guidée digne d'un guide touristique comme d'autres l'ont dit ici.
Je l'ai lu, juste pour l'avoir barré de ma liste, mais je suis loin d'avoir été passionnée par le récit malheureusement.
de plus en plus pushy
Critique de Clubber14 (Paris, Inscrit le 1 janvier 2010, 44 ans) - 27 février 2014
Cette fois il s'agit de partir à la recherche d'une "bombe" biologique cachée dans des sous-sols caverneux dans un lieu inconnu. Pour ce faire il va falloir une fois de plus affronter des armées de militaires et policiers, membres imminents d'associations, délier des énigmes, comprendre des symboles...
Maître dans ce registre, Dan Brown applique à la perfection les ficelles qui l'ont conduit à son immense notoriété. Malheureusement, ce qui a fait de lui la star des énigmo-policiers, commence désormais un peu à lasser. J'ai lu ses 6 bouquins et j'ai toujours l'impression qu'il fait un énorme copier-coller du 1er livre et en changeant les protagonistes et les organisations criminelles... A part cela et bien rien ne change et arrivera un moment où il n'aura plus l'imagination d'inventer un nouveau bioterroriste ou informaticien-psychopathe.
En bref, ce page-turner est certes bien écrit et bien maîtrisé, le lecteur ne peut absolument pas fermer le bouquin avant d'arriver à la conclusion mais les nombreuses incohérences couplées à la redondance du genre chez cet auteur font que l'ensemble de son fan-club va forcément s'essouffler... à force.
Par ailleurs, Dan Brown ouvre quand même une brèche sur son prochain bouquin puisqu'il parle à de nombreuses reprises du transhumanisme mais sans vraiment que ce soit le sujet du bouquin. Du coup je fiche mon billet sur le prochain thème du bouquin : le transhumanisme ou comment créer des êtres génétiquement modifiés et du coup parfaits à tous égards...
Un plaisir infernal !
Critique de Stitch (, Inscrit le 18 octobre 2013, 36 ans) - 18 octobre 2013
Une suite inattendue d'évènements, un soulèvement de questions scientifiques et morales, et une intrigue captivante, le tout associé à des références dantesques... "What else ?" comme nous dirait notre ami Georges. Alors oui, peut-être les descriptions des villes sont quelque peu lourdes et freinent un peu le récit, mais l'on est si pressé de savoir la suite que l'on oublie facilement ces quelque pages inutiles :-)
Moi, personnellement, je dis oui !
Bonne lecture !
Roman policier ou guide touristique?
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 13 octobre 2013
Il est blessé et amnésique. Mais pas le temps de s'apitoyer (on ne pourra reprocher le manque de rythme à l'auteur !) , un médecin se fait tuer sous ses yeux par une jeune femme qui visiblement en veut à sa vie. Fuite dans les rues de Florence avec une autre énigmatique jeune femme, Sienne Brooks.
Pour les cinq cents pages suivantes, se reporter aux précédents romans: des fuites, des énigmes à résoudre, un jeu de piste, des méchants contre des gentils, un complot mondial contre l'humanité... et les rebondissements de dernières minutes que, même moi, j'avais anticipés !!
Alors, oui, M. Brown vous savez construire vos romans, mais il serait temps de changer la recette !
Et puis bien sûr que Florence, et les autres villes "visitées" méritent les descriptions détaillées de toutes leurs beautés mais...n'en faites pas l'ingrédient principal d'un roman policier !
Une étoile pour les trente dernières pages.
La mayonnaise ne prend plus
Critique de Bernard2 (DAX, Inscrit le 13 mai 2004, 75 ans) - 10 octobre 2013
Dan Brown exploite ce filon qui a certes bien fonctionné, mais qui devient vraiment lassant. J'ai eu beaucoup de mal à finir ce livre, et la méthode employée, censée créer le suspense, ne fonctionne plus. En ce qui me concerne, la mayonnaise n'a pas pris.
Oui mais ça aurait pû être pire
Critique de Chat-alors (, Inscrit le 22 août 2013, 43 ans) - 22 août 2013
Après avoir ri aux éclats dans Anges et Démons, pouffé (il parait que je ne dois pas trop m'agiter et que ça dérange les autres patients) sur Da Vinci Code et faillit vomir mes tripes sur Le Symbole Perdu, j'ai attaqué cet Inferno. Lequel fût plutôt une bonne surprise (pour du Dan Brown). Petite nouveauté, l’histoire casse l’habituelle routine : pour une fois, Langdon n’est pas appelé à la rescousse au pied levé (à croire qu’il n’a absolument aucun engagement nulle part ni de projets de vie) afin de résoudre un mystère. Là, on le récupère en cours d’enquête, blessé et affaibli, traqué de toute part et aidé dans sa fuite et dans la recherche de ses souvenirs par une jeune médecin au QI de 208 (comme toujours chez Dan Brown, on est dans la logique et dans la plus grande des vraisemblances, quoique je désespère de trouver plus naturel que « tu es le fils du pape et d’une religieuse qui s’est fait inséminer artificiellement pour ne pas rompre leurs vœux de chasteté…). Et c’est justement cette amnésie qui donne un peu de sel à l’intrigue : Langdon a déjà bien progressé dans son enquête mais doit retrouver ses souvenirs, quitte à partir sur ses propres traces, semées d’embûches et de quiproquos (enfin, pas de quoi se casser une côte de rire).
Le Méchant, cette fois ci, est un bioterroriste mais dont les motivations (sûrement reflet de celles de l'auteur) interpelleront le lecteur. Notons que, contrairement au Symbole Perdu où Dan Brown nous tartinait des pages sur son amour des francs-maçons, c’est ici fait avec beaucoup plus de subtilité. La fin, « malheureuse », est aussi surprenante que bien trouvée, bien qu’on n’échappe pas à certains clichés : bien sûr, Sienna et Sinskey se comprennent, se respecentt et la première ne finit pas dans une sordide prison ou sur la chaise électrique, mais bien invitée d’honneur dans une réunion de l’OMS. Et bien entendu, Robert et Sienna sont attirés l’un par l’autre « mais je suis trop vieux pour vous, ah ah ah ». Quel charmeur, ce Robert, il lui faut toujours un Langdon-Girl...
Malgré quelques passages un peu pesants, une érudition pas toujours bien maîtrisée (c'est moins pire que dans Anges et Démons, mais ça pique parfois un peu les yeux) ou malvenue, on rencontre quelques rebondissements plutôt sympathiques quoique pas forcément surprenants.
En somme, Dan Brown nous sert sa soupe, un peu moins lourde qu'à l'habitude, mais si vous voulez du dépaysement, des aventures, un héros qui réfléchit pour vous et avoir l'impression de connaitre tout de Florence, ce livre est fait pour vous!
14/20 Peut mieux faire. Poursuivez vos efforts...
Critique de Isabi (, Inscrite le 22 décembre 2009, 40 ans) - 18 juillet 2013
Et c'est là, d'après moi, tout le problème de cet ouvrage. Si j'avais voulu connaitre la vie de Michel Ange dans les moindres détails, ou bien plus généralement, si j'avais voulu un cours d'histoire et d'histoire de l'art de la Renaissance, je pense que je ne me serais pas dirigée vers les mêmes étagères...
Ce que je reproche ici, c'est l'absence de rythme dans le récit. Lorsque nous nous trouvons enfin dans l'action PAF! : 3 pages de descriptions architecturales. Dès que nous tentons d'aider le héros à résoudre un mystère caché derrière une représentation picturale PAF! : un cours sur l'origine de la perspective.
Il m'a également semblé remarquer que l'auteur se répétait assez souvent concernant par exemple le consortium. J'ai tout bien compris quelles étaient ses missions M. BROWN, aucun problème là-dessus!
Je pense exagérer un peu tout de même, mais sincèrement, cela a énormément perturbé ma lecture.
Par contre, j'ai été agréablement surprise par le dessein du "méchant scientifique" et pour le coup, le problème qu'il soulève m'a emmenée à m’intéresser à la question d'un peu plus près.
Disons que pour moi, c'est finalement lui qui sauve la mise et pas notre dandy de Robert Langdon (Bébert pour les intimes).
Bon, je pense avoir fait le tour. Pour le reste, se reporter à la note en haut de page!
Robert Landon de retour avec Inferno
Critique de Cafeaulait (, Inscrit le 29 juin 2013, 43 ans) - 29 juin 2013
Début:
Dans l’inferno une entrée brutale, robert Langdon se réveille amnésique suite à apparemment une agression. Il découvrira de ce fait qu’on en veut à sa vie. L’amnésie étant due à une balle l’ayant blessé au cuir chevelu, fatigué ne comprenant pas ce qu’on lui reproche il cherche à appréhender la réalité le plus vite possible. Soudain, il se rend compte qu’il est à Florence en Italie et ne sachant pourquoi….
Arrêtez-vous là si vous souhaitez lire le livre.
Faiblesse ou choix de l’auteur ?
Le roman contient énormément de passages historiques, de descriptions, certains, moqueurs en font un guide de voyage. C’est justement passer à côté du roman. Il temporise l’action par de l’histoire ce qui renforce l’immersion. Ceux qui râlent préfèrent peut-être les élans de sentiments soporifiques et les descriptions d’un arbre ou d’une lampe sur cinq pages. Le roman finit assez simplement, les anarchistes dans l’âme vont être déçus.
Court résumé:
L’action se déroule à Florence, Venise et Istanbul c’est une course contre la montre pour un Robert Langdon, perdu, qui doute, avec moins de flegme Langdonien et qui part faire une enquête qu’inconsciemment il sait devoir mener à son terme en 104 petits chapitres :) . C’est un véritable jeu de dupe dans lequel est embringué R.Langdon. Tout le monde cherche à le manipuler pour avoir les faveurs des lumières du célèbre professeur. L’OMS, CDC, UPR, etc.… et Sienna Brooks disciple et amante de Bertrand Zobrist. Le but pour les « gentils » de l’histoire empêcher une pandémie alors que les transhumanistes aveuglés par leur idéologie envisagent un recours radical à la surpopulation mondiale. Diviser la population de la terre par deux avec un virus.
Étant sorti d’un roman poussif, on voit bien que celui-ci a des rouages qui fonctionnent parfaitement. On peut être plus dur, en demander toujours plus à un auteur, mais cette histoire sur fond de l’enfer de Dante s’avère historiquement complète et prenante. J’apprécie cela en tout cas, car il s’attaque à d’autres sujets comme la radicalité élitiste et le manque d’éthique de mouvement comme le transhumanisme. Ce livre est pour eux, à n’en pas douter, la neuvième porte de Dante ou pas…
cafeaulait
Un pavé ennuyeux
Critique de Le_squasheur (Paris, Inscrit le 16 décembre 2011, 49 ans) - 26 juin 2013
Je ne vais pas tenter de vous résumer l’histoire, abracadabrante, ni de vous faire un topo sur les personnages, ce sont les mêmes que dans le Da Vinci Code. Je ne vais pas non plus vous donner des exemples risibles de la pauvreté du style : on ne tire pas sur une ambulance et puis on le sait bien que Dan Brown n’est pas Proust.
Non je vais seulement faire ce constat amer : je me suis ennuyé. Et je vais faire un pari : vous vous ennuierez aussi !
C’est quand même un très gros problème pour un livre sensé être un « page turner » : les pages on les tourne de plus en plus lentement au fil de la lecture.
Dommage, il y avait un bon thème de départ : peut-on prétendre sauver l’humanité en introduisant un virus mortel pour freiner l’expansion démographique ? Mais mixer ça avec le thème de la chasse au trésor culturelle, ça ne fonctionne pas une seconde.
dénouement malsain et pourtant...
Critique de Darkvador (Falck, Inscrit le 1 février 2012, 57 ans) - 16 juin 2013
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