La sentinelle de l'empereur
de Anne-Sophie Silvestre

critiqué par JulesRomans, le 29 juin 2013
(Nantes - 66 ans)


La note:  étoiles
Fleury de Caboulon, aide de camp de Napoléon, parle d’héroïnes d’Avallon
Trois sœurs en mars 1815 à Avallon dans l’Yonne, découvrent l'empereur Napoléon est de retour de l’île d’Elbe où il a passé un an d'exil. Ce dernier se dirige vers Paris et les hommes de sa garde sont épuisés. L’une des trois filles Claire monte la garde auprès du souverain qu’elle admire et qui couche à l’hôtel de la Poste.

Fleury de Caboulon, aide de camp de Napoléon, raconte cette anecdote dans "Les Cent-Jours. Mémoires pour servir à l’histoire de la vie privée, du retour, et du règne de Napoléon en 1815", un ouvrage en 1820 à l’étranger. Il est consultable sur Gallica à l'adresse http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7121h.

Il est à noter que "Le signe de l'Aigle" d’Évelyne Brisou-Pellen, présenté sur Critiques libres, traite de cette période des premiers temps des Cent-Jours. Ces deux récits, assez vite lus, sont très complémentaires ; le premier est assez hagiographique pour l’Empereur et le second bien plus critique.