Monsieur de Charette, chevalier du Roi
de Michel de Saint Pierre

critiqué par Antihuman, le 23 août 2013
(Paris - 41 ans)


La note:  étoiles
« Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais. »
Diabolisé, stigmatisé par les bleus révolutionnaires qui brûlaient tout sur leur passage ainsi que, de toute façon, les Colonnes Infernales, voici l'histoire exemplaire du dernier chevalier de France assassiné à Nantes le 23 mars 1796 par un peloton d'exécution, et ce sans bandeau (conformément à sa volonté.) Inutile par ailleurs de résumer une histoire de guérilla ou guerre totale que d'aucuns connaissent sûrement, et que nous n'allons sûrement pas informer pour leur part...

Il faut cependant savoir que le fameux bandit au haut-de-forme fût entre autre accusé à son procès - en particulier et à son nom propre - des meurtres de 600 officiers français (et des poussières), qu'il soupçonnait simplement de Haute-Trahison. On voulait tout prendre aux vendéens, mais aussi à celui que ses ennemis surnommaient aussi le Grand Brigand, puis ensuite attaquer délibérément leur religion et culte sous prétexte de "démocratie" et d'"ordre": voilà sans doute pourquoi ils ont donc combattu la République jusqu'au paroxysme, et jusqu'à la dernière goutte de sang.

Il est clair, par conséquent, que ce récit plutôt complet concerne donc la liberté dans sa globalité sinon au demeurant toutes ces luttes actuelles. Quant à la notion de génocide vendéen chacun aura deviné que certains groupes de pression en France (dont des réunions d'enseignants) ne reconnaissent pas pour l'instant ce fait gênant pour l'utopie républicaine: dommage donc pour la polémique !

L'Histoire met bien longtemps à s'écrire...