L'hôtel des souvenirs, Tome 3 : Sous le charme
de Nora Roberts

critiqué par BBelle, le 6 avril 2014
(Joliette (Québec) - 59 ans)


La note:  étoiles
Amour et vie d'hôtel...
Quatrième de couverture : « Après l’hôtel centenaire, les Montgomery ont entrepris de rénover la rue principale de leur petite ville du Maryland. Des trois frères, Ryder est le plus difficile à cerner : comment croire qu’il cache un cœur tendre sous ses manières revêches ? La ceinture à outils sur les hanches, son allure virile séduit toutes les femmes, sauf Hope Beaumont qui dirige l’hôtel qu’il vient de restaurer. Il faut dire que la jeune citadine a été habituée à bien autre chose dans le palace qu’elle gérait auparavant. Elle est heureuse à Boonsboro, avec ses deux grandes amies, Clare et Avery, mais elle est loin d’être complètement remise de l’immense trahison amoureuse qui lui a fait quitter Washington. Elle voit bien que chaque confrontation avec Ryder provoque en elle un violent émoi, mais il faudrait un charme surpuissant pour vaincre la méfiance qui les éloigne l’un de l’autre. »

Dans ce dernier tome, comme dans les deux premiers, Madame Roberts reste constante dans ses histoires et on sait avant même de commencer notre lecture que Hope et Ryder finiront ensemble - non sans difficulté - aucune surprise à ce niveau! Cependant, le fantôme d’Élizabeth se manifeste encore davantage et elle est bien décidée à mettre son grain de sel dans les amours difficiles de nos deux héros, tout en espérant elle-même retrouver son Billy, l’amour de sa vie, dans l’éternité… On retrouve également, et avec plaisir, les deux couples formés dans les précédents tomes (Clare-Beckett et Avery-Owen), la matriarche Montgomery, Justine, ainsi que la bande de chiens entourant cette belle famille, le tout dans une joyeuse cacophonie! À la petite touche paranormale s’ajoute un peu de généalogie familiale, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Comme les précédents livres et malgré le fait que les histoires sont assez prévisibles, encore une fois on adhère complètement et les personnages sont tout aussi attachants. La fin du roman nous offre non pas un, mais deux « happy end » en prime!

Cependant, il y a une chose qui m’a dérangée : à moins que j’aie mal compris, comment Hope et Ryder peuvent-ils être les descendants respectifs d’Élizabeth et de Billy, puisque ces derniers sont morts très jeunes et sans avoir eu le temps de fonder une famille…???