Il y a peu de poèmes dans ce recueil, qui date de l'année-même de sa mort, ce qui est une ironie, puisque, comme souvent, il en parle, ce qui donne encore plus de profondeur à ces lignes.
On retrouve cette force habituelle, avec un peu d'amertume et de désespoir, me semble-t-il.
Veneziano - Paris - 47 ans - 2 juillet 2007 |