Une relation dangereuse de Douglas Kennedy
Une relation dangereuse de Douglas Kennedy
( A special relationship)
( A special relationship)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Critiqué par Gilou, le 9 janvier 2004
(Belgique, Inscrite le 1 juillet 2001, 76 ans)
Critiqué par Gilou, le 9 janvier 2004
(Belgique, Inscrite le 1 juillet 2001, 76 ans)
La note : 
Moyenne des notes :
(basée sur 28 avis)
Cote pondérée : (3 323ème position).
Visites : 13 165 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes :
(basée sur 28 avis)
Cote pondérée :
(3 323ème position).
Visites : 13 165 (depuis Novembre 2007)
Tout avait si bien commencé…
Au risque de me répéter, ce nouveau roman de Douglas Kennedy m’a encore procuré une sensation bizarre, l’impression que c’est écrit par une femme ? ? ? Mystère.
Pourquoi ? Parce que je doute que les hommes puissent ressentir aussi profondément les mystères féminins comme la maternité, le blues post-natal, la fatigue physique...
Bien sûr, l’auteur est très documenté, mais vraiment cela m’épate.
Bref, cette relation dangereuse commence par un coup de foudre entre deux journaleux. Ils se rencontrent dans des conditions " d’urgence ", au cours d’une mission.
Dans la foulée, leur liaison est tout aussi rapide, trop rapide, et tout va virer au cauchemar pour Sally.
Tony, charmeur, célibataire, bien propre sur lui comme ont dit va pourtant se révéler être un piètre mari, un papa nul et plus encore…
À certains passages du livre, on se demande si cela peut vraiment être possible. Faire du mal comme çà à quelqu’un qu’on dit aimer, profiter de la faiblesse de l’autre, c’est proprement insupportable.
La dernière partie du roman décrit tous les efforts de Sally pour récupérer son fils Jack. Une véritable descente aux enfers.
Heureusement, ce n’est qu’un roman. Ouf ! ! ! Mais n’y a–t- il pas dans chaque fiction d’un auteur, un peu de vérité ?
On sort d’une telle lecture avec un sentiment d’injustice et d’incompréhension.
Mais, Bravo à Douglas Kennedy pour son écriture fluide et tellement réaliste.
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Les éditions
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Une relation dangereuse [Texte imprimé] Douglas Kennedy trad. de l'américain par Bernard Cohen
de Kennedy, Douglas Cohen, Bernard (Traducteur)
Belfond
ISBN : 9782702887059 ; 1,95 € ; 02/10/2003 ; 406 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (27)
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Pauvre Sally
Critique de Ardeo (Flémalle, Inscrit le 29 juin 2012, 77 ans) - 17 février 2017
Douglas Kennedy est un auteur passionnant. Chacun de ses romans est un régal et souvent les pages défilent, on ne s’en rend pas compte et puis voici déjà la fin ! C’est ce qui arrive avec ce livre ! Le roman est divisé en chapitres numérotés mais chacun d’eux aurait pu porter un intitulé comme par exemple : « Coup de foudre en Egypte », « Londres », « Un enfant », « Dépression et régression sociale », « Trahison », « Le procès ». Le lecteur suit donc les pérégrinations de Sally la narratrice journaliste américaine dans la capitale britannique et vit avec elle différents évènements qui lui arrivent jusqu’au déroulement d’un procès riche en rebondissements comme il se doit ! La confrontation des cultures pourtant anglophones toutes deux -n’appelons cependant pas cela un choc des cultures tout de même- est bien montrée et fait partie intégrante voire essentielle de l’ouvrage. Pour moi aussi, voici un bon roman.
Décidément je ne suis pas fan de cet auteur
Critique de Jaimeoupas (Saint gratien, Inscrite le 4 octobre 2010, 52 ans) - 28 octobre 2013
Je n'avais pas apprécié le premier livre de Douglas Kennedy mais devant la ferveur de mes amies, j'ai essayé un second livre.
Eh bien , désolée, je persiste et je signe ce n'est pas de la grande littérature.
Certes, ce n'est pas la collection Harlequin, ni un livre Girly mais tout de même un livre facile avec des bons sentiments écrits pour " les lectrices féminines".
Bref, j'aime pas ce genre de roman...
Eh bien , désolée, je persiste et je signe ce n'est pas de la grande littérature.
Certes, ce n'est pas la collection Harlequin, ni un livre Girly mais tout de même un livre facile avec des bons sentiments écrits pour " les lectrices féminines".
Bref, j'aime pas ce genre de roman...
Prenant
Critique de Albator76 (, Inscrit le 4 août 2012, 48 ans) - 9 mai 2013
J'ai plutôt bien aimé ce bouquin.
D'une part, c'est bien écrit et abordable.
D'autre part, l'auteur aborde un sujet intéressant sur la dépression post-natale qui peut guetter n'importe qui.
Kennedy décrit avec précision les symptômes de cet état psychologique qui peut conduire à des situations extrêmes.
Après avoir déjà lu d'autres livres de ce romancier, celui-ci rentre dans la lignée des autres, c'est à dire passionnants.
Je vous invite donc à le lire.
Vous ne serez pas déçus.
D'une part, c'est bien écrit et abordable.
D'autre part, l'auteur aborde un sujet intéressant sur la dépression post-natale qui peut guetter n'importe qui.
Kennedy décrit avec précision les symptômes de cet état psychologique qui peut conduire à des situations extrêmes.
Après avoir déjà lu d'autres livres de ce romancier, celui-ci rentre dans la lignée des autres, c'est à dire passionnants.
Je vous invite donc à le lire.
Vous ne serez pas déçus.
Encore un conte de fée qui finit bien !
Critique de Ori (Kraainem, Inscrit le 27 décembre 2004, 89 ans) - 1 mars 2013
Le très sympathique (et télégénique) conteur, Douglas Kennedy, continue d’exploiter avec bonheur l’un de ses filons : le héros qui, précipité dans les abysses de l’infortune finit par s’en sortir pour vaincre en triomphateur une adversité soudaine …
Ici, la narratrice-héroïne, Sally Goodchild, journaliste américaine en poste au Caire y fait la connaissance d’un confrère anglais, Tony Hobbs, dont elle tombe amoureuse et … enceinte. Le couple emménage à Londres où Sally accouche de leur petit Jack non sans subir une sérieuse dépression post-natale.
Cette première partie du roman nous décrit la vie quotidienne du couple et les caractères en présence : Tony, gentleman racé, distant et très ‘british’ ; Sally la Yankee, très énergique mais irritable, angoissée perpétuelle et que l’auteur nous rend peu sympathique. Elle subira un accouchement particulièrement difficile avec mise en couveuse du nouveau-né.
Et puis l’histoire bascule brutalement, au détriment d’une Sally à laquelle nous vouons dès lors une empathie sans bornes. L’héroïne a en effet été soudain prise au piège d’une machination qui la mènera devant les tribunaux avec fort peu de chance de l’emporter sans perdre sa tête, ses moyens financiers, et la garde de son enfant.
Mais les fées du ‘happy end’ se trouvaient là pour faire de cet ouvrage un roman jusqu’à la dernière page captivant !
Ici, la narratrice-héroïne, Sally Goodchild, journaliste américaine en poste au Caire y fait la connaissance d’un confrère anglais, Tony Hobbs, dont elle tombe amoureuse et … enceinte. Le couple emménage à Londres où Sally accouche de leur petit Jack non sans subir une sérieuse dépression post-natale.
Cette première partie du roman nous décrit la vie quotidienne du couple et les caractères en présence : Tony, gentleman racé, distant et très ‘british’ ; Sally la Yankee, très énergique mais irritable, angoissée perpétuelle et que l’auteur nous rend peu sympathique. Elle subira un accouchement particulièrement difficile avec mise en couveuse du nouveau-né.
Et puis l’histoire bascule brutalement, au détriment d’une Sally à laquelle nous vouons dès lors une empathie sans bornes. L’héroïne a en effet été soudain prise au piège d’une machination qui la mènera devant les tribunaux avec fort peu de chance de l’emporter sans perdre sa tête, ses moyens financiers, et la garde de son enfant.
Mais les fées du ‘happy end’ se trouvaient là pour faire de cet ouvrage un roman jusqu’à la dernière page captivant !
Contrasté
Critique de Bernard2 (DAX, Inscrit le 13 mai 2004, 75 ans) - 29 février 2012
Les avis reproduits ici ne font pas l'unanimité, loin s'en faut ! Pour ma part, j'ai bien aimé, même si j'ai trouvé le livre un peu long.
Oui, comme le précise Gilou, on croirait ce roman écrit par une femme. La réponse à cette observation trouve sa réponse dans les "remerciements" en fin d'ouvrage.
Si l'on connaît déjà Douglas Kennedy et qu'on l'apprécie, on peut sans hésiter se lancer dans cette lecture. Dans le cas contraire, mieux vaut peut-être commencer par un autre titre...
Oui, comme le précise Gilou, on croirait ce roman écrit par une femme. La réponse à cette observation trouve sa réponse dans les "remerciements" en fin d'ouvrage.
Si l'on connaît déjà Douglas Kennedy et qu'on l'apprécie, on peut sans hésiter se lancer dans cette lecture. Dans le cas contraire, mieux vaut peut-être commencer par un autre titre...
Un excellent roman qui nous plonge dans l'enfer de la dépression post-natale
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 4 novembre 2011
Alors que tout devrait rouler comme sur des roulettes pour Sally et Tony, ex reporters chevronnés qui ont décidé de tout quitter pour s’installer ensemble et fonder une famille c’est là que l’angoisse s’installe et que Douglas Kennedy fait tout déraper avec tout le talent qu’on lui connaît.
J’ai vraiment adoré ce roman car le romancier a parfaitement réussi à nous dépeindre le gouffre sans fond dans lequel se trouve son héroïne, il y a une finesse dans la psychologie de Sally qu’on en finirait presque par se demander si Douglas Kennedy n’aurait pas été une femme dans une vie antérieure…
Peu d’auteurs ont traité le thème de la dépression post-natale et il faut vraiment l’avoir vécu dans sa chair pour comprendre l’intensité de ce que peut ressentir Sally. La dépression post-natale est une descente aux enfers et n’est en rien comparable au simple baby blues qui arrive en général juste après l’accouchement.
La deuxième partie du roman est véritablement diabolique et on en vient à tourner les pages avec fureur, tellement on a hâte de connaître le dénouement. Tout simplement passionnant !!!
J’ai vraiment adoré ce roman car le romancier a parfaitement réussi à nous dépeindre le gouffre sans fond dans lequel se trouve son héroïne, il y a une finesse dans la psychologie de Sally qu’on en finirait presque par se demander si Douglas Kennedy n’aurait pas été une femme dans une vie antérieure…
Peu d’auteurs ont traité le thème de la dépression post-natale et il faut vraiment l’avoir vécu dans sa chair pour comprendre l’intensité de ce que peut ressentir Sally. La dépression post-natale est une descente aux enfers et n’est en rien comparable au simple baby blues qui arrive en général juste après l’accouchement.
La deuxième partie du roman est véritablement diabolique et on en vient à tourner les pages avec fureur, tellement on a hâte de connaître le dénouement. Tout simplement passionnant !!!
un de plus
Critique de Freenotesc (, Inscrite le 22 juillet 2011, 51 ans) - 22 juillet 2011
Sur tous les titres présents sur ce site, il ne me reste plus qu'à lire "au pays de dieu". Sinon, j'ai tout adoré. sauf la femme du Vème peut-être? Mais ce style de roman mélodramatique de la vie de tous les jours, sur les doutes et les angoisses que traversent les couples, ou les familles... Super. Les dépressions ne sont jamais loin de personne, et les personnages trouvent leur solutions face aux situations dantesques. Style fluide, facile à lire, sans trop de suspense.
Mais une approche du genre humain qui me convient bien.
Mais une approche du genre humain qui me convient bien.
une histoire attendue
Critique de Poki (, Inscrite le 1 mars 2010, 50 ans) - 11 juin 2011
C’est le deuxième roman de Douglas Kennedy que je lis, ( le premier était « Cul de sac » ou « piège nuptial » pour la nouvelle traduction qui soit dit en passant est un titre bien banal et pas adapté au style du roman, « cul de sac » était vraiment bien ! ah… les éditeurs !!), et j’ai été très déçue par « Une relation dangereuse ». L’histoire se lit comme on regarderait un mauvais téléfilm des dimanches après midi. L’histoire commence bien, coup de foudre entre 2 journalistes, un enfant arrive assez rapidement et puis bing ! le mari n’est en fait pas celui que l’on croit : déjà vu et lu mille fois ! Bien sûr j’ai terminé ce roman qui n’est tout de même pas une catastrophe, il se lit bien, vite mais où est l’originalité ? Les personnages sont creux, à aucun moment je ne me suis attachée ni à l’un ni à l’autre.
La première partie s’étend sur la grossesse de Sally et sa dépression post natale, un rebondissement au milieu du roman nous fait reprendre espoir et puis toute la fin est consacrée au procès et là nous savons déjà quelle sera la fin…
Le conseil que je pourrais vous donner : ne perdez pas de temps avec ce roman ! Lisez plutôt « Cul de sac » ou « piège nuptial » (en fonction de la traduction), c’est un roman très inattendu et délectable avec un réel suspense !!
La première partie s’étend sur la grossesse de Sally et sa dépression post natale, un rebondissement au milieu du roman nous fait reprendre espoir et puis toute la fin est consacrée au procès et là nous savons déjà quelle sera la fin…
Le conseil que je pourrais vous donner : ne perdez pas de temps avec ce roman ! Lisez plutôt « Cul de sac » ou « piège nuptial » (en fonction de la traduction), c’est un roman très inattendu et délectable avec un réel suspense !!
un mariage trop vite ....
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 3 juillet 2010
Je ne suis pas une habituée des romans de Kennedy . Cependant on comprend aisément son thème de prédilection : les individus piégés dans leur existence . Sauf que là ce sont les deux protagonistes . Sally puisque de nature indépendante elle devient femme au foyer et tony et sa vie de bureau.
L'immigration de Sally et sa difficulté à s'intégrer est bien écrite et réaliste , la dépression également ( les phrases entre parenthèses qui relatent son état ) et enfin la découverte de l'inimaginable et le combat qu'elle mène. Bien qu'assez long , ce roman est haletant et on ne peut le refermer avant de l'avoir terminé
L'immigration de Sally et sa difficulté à s'intégrer est bien écrite et réaliste , la dépression également ( les phrases entre parenthèses qui relatent son état ) et enfin la découverte de l'inimaginable et le combat qu'elle mène. Bien qu'assez long , ce roman est haletant et on ne peut le refermer avant de l'avoir terminé
Du pur Kennedy
Critique de Bishop (, Inscrite le 13 avril 2005, 53 ans) - 22 mai 2009
Comme toujours chez Kennedy, on a l'impression d'être au départ dans un roman d'ambiance puis l'action tombe comme un couperet. J'ai pris beaucoup de plaisir une fois de plus à lire un de ses romans. Ils ont cette faculté à vous transporter et à vous tenir en haleine jusqu'au bout. Tout se déroule ici sur fond de dépression et de coups bas. La nature humaine est loin d'être parfaite et sous la plume de Kennedy elle peut prendre un visage ignominieux, toujours en proie à la perversion de l'argent et de ses propres ambitions. Pour moi ce n'est pas son meilleur, mais j'ai quand même adoré!
déçue!!!
Critique de Mariaverdine (, Inscrite le 19 novembre 2008, 43 ans) - 19 novembre 2008
je ne connaissais pas Douglas Kennedy, ce livre m'a refroidie!
il faut quand même avouer que j'ai tenu jusqu'au bout, captée par l'histoire, mais un peu comme quand on est capté par "plus belle la vie" sur quelques épisodes!!
j'ai été atterrée par le nombre de pubs; ikea, mark et spencer, .... pubs d'ailleurs incorporées dans l'histoire sans intelligence, à la manière de quelqu'un qui a vite envie de régler son "contrat"
enfin c'est la première fois que je constate ça aussi fort dans un livre!
histoire décevante, fin prévisible, écriture moyenne...
bref...
pas top
il faut quand même avouer que j'ai tenu jusqu'au bout, captée par l'histoire, mais un peu comme quand on est capté par "plus belle la vie" sur quelques épisodes!!
j'ai été atterrée par le nombre de pubs; ikea, mark et spencer, .... pubs d'ailleurs incorporées dans l'histoire sans intelligence, à la manière de quelqu'un qui a vite envie de régler son "contrat"
enfin c'est la première fois que je constate ça aussi fort dans un livre!
histoire décevante, fin prévisible, écriture moyenne...
bref...
pas top
Un livre sur la dépression post-natale
Critique de Rima (, Inscrite le 2 juillet 2008, 44 ans) - 2 juillet 2008
Ah la la quelle déception!!! Je ne sais pas si le titre original est "a dangerous relationship" ou si le traducteur qui s'est trompé,mais je m'attendais à tout sauf à un livre sur la dépression post-natale!!
C'est long, et l'histoire est mauvaise. Une relation dangereuse, on s'attend à du suspens, à du danger, pas à des pages et des pages de descente aux enfers d'une jeune mère dépressive, qui sombre de jour en jour.
Ce livre est un enfer, à ne lire qu'en étant informé de qui vous attend, si comme moi vous vous attendiez à autre chose, préférez Cul-de-sac ou l'homme qui voulait vivre sa vie, nettement mieux à mon sens.
C'est long, et l'histoire est mauvaise. Une relation dangereuse, on s'attend à du suspens, à du danger, pas à des pages et des pages de descente aux enfers d'une jeune mère dépressive, qui sombre de jour en jour.
Ce livre est un enfer, à ne lire qu'en étant informé de qui vous attend, si comme moi vous vous attendiez à autre chose, préférez Cul-de-sac ou l'homme qui voulait vivre sa vie, nettement mieux à mon sens.
Un pur régal !
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 17 janvier 2008
Avec ce premier roman que je lis de Douglas Kennedy, je découvre un style que je n'ai pas l'habitude de lire. L’histoire est entièrement centrée autour du personnage fascinant qu’est Sally, sa dépression post-natale et sa fâcheuse relation de couple. Tout est raconté selon sa propre perception des choses, et d’une manière tellement réaliste (fait d’ailleurs remarquable pour un auteur masculin), que je me suis laissé embarquer dans l’histoire pratiquement comme si elle m’arrivait à moi. Il ne s’agit pas d’un polar, ni d’un roman où l’action et les rebondissements surgissent à la moindre occasion ; pourtant, le suspense est toujours maintenu au même niveau depuis le début, ce qui en fait pour moi un roman drôlement réussi que j’ai dévoré en trois jours à peine! Ce furent pour moi 500 pages tournées les unes après les autres sans que mon intérêt ne fléchisse d’une once avant la fin. J’en garde un excellent souvenir de lecture !
Ouf!
Critique de Janiejones (Montmagny, Inscrite le 20 avril 2006, 39 ans) - 10 mai 2007
Malgré une intrigue un peu lente à décoller dans les premiers chapitres, Une Relation dangereuse, devient vite très prenant. J'ai ragé pour Sally, je me suis offusquée contre Tony que j'ai aimé détester. Enfin bref, un livre rempli de rebondissements.
Oh comme j'ai été déçue!
Critique de Lilie-de-rennes (Rennes, Inscrite le 22 novembre 2005, 42 ans) - 31 janvier 2007
J'avais lu "Cul-de-sac", prodigieux, alors je me suis jetée avec avidité sur "Une relation dangereuse": Et quelle déception! Où est passé le talent d'écriture de Kennedy, son originalité, sa capacité à nous tenir en haleine?
Le livre est tout en longueurs, moyennement écrit, l'histoire peine à avancer.. Dommage!
Je mets tout de même quelques étoiles, il faut être honnête, ce ne fut pas un calvaire de le finir, et puis les dernières pages accrochent assez. Mais rien à voir avec le premier roman de Kennedy!
http://latetedanslesbouquins.hautetfort.com/
Le livre est tout en longueurs, moyennement écrit, l'histoire peine à avancer.. Dommage!
Je mets tout de même quelques étoiles, il faut être honnête, ce ne fut pas un calvaire de le finir, et puis les dernières pages accrochent assez. Mais rien à voir avec le premier roman de Kennedy!
http://latetedanslesbouquins.hautetfort.com/
excellent suspense
Critique de Critique (Trets, Inscrite le 9 novembre 2004, 64 ans) - 28 janvier 2007
En effet, on se se demande si ce roman n'a pas été écrit par une femme, tant les sentiments exprimés paraissent "incaptables" par des hommes... Bon, ça n'en finit pas, c'est vrai, l'héroïne passe de galères en galères, les unes encore plus affreuses que les autres, on se demande si ça va cesser et comment ça va bien pouvoir se terminer.
Tout dépend de ce que l'on recherche. Si on veut s'évader complètement et vivre avec son livre le temps de sa lecture, c'est parfait, il faut se le procurer d'urgence. Si on veut garder en mémoire un grand moment de littérature, autant se pencher sur une autre oeuvre. Mais franchement, je fus quand même surprise par l'intensité du récit. C'est surprenant de réalisme. Et bien écrit, mais si c'est de la littérature facile.
Les livres nous aident à rêver. Celui-ci est parfait pour partir un moment ailleurs !
Tout dépend de ce que l'on recherche. Si on veut s'évader complètement et vivre avec son livre le temps de sa lecture, c'est parfait, il faut se le procurer d'urgence. Si on veut garder en mémoire un grand moment de littérature, autant se pencher sur une autre oeuvre. Mais franchement, je fus quand même surprise par l'intensité du récit. C'est surprenant de réalisme. Et bien écrit, mais si c'est de la littérature facile.
Les livres nous aident à rêver. Celui-ci est parfait pour partir un moment ailleurs !
Quel aventure !!!
Critique de Nanou2328 (Remicourt, Inscrite le 20 janvier 2007, 50 ans) - 21 janvier 2007
Cette histoire est tellement réaliste que nous n'avons qu'une envie aller aider Sally.
Quel aventure et super lecture, je le conseille à toute personne ayant envie de s'évader dans une réalité de la vie car des histoires pareils, c'est que du vécu dans le monde.
Amicalement,
Quel aventure et super lecture, je le conseille à toute personne ayant envie de s'évader dans une réalité de la vie car des histoires pareils, c'est que du vécu dans le monde.
Amicalement,
C'est seulement à la page 300 que le "suspens" démarre !
Critique de Verodepau (, Inscrite le 18 janvier 2007, 63 ans) - 18 janvier 2007
Un livre de 500 pages dont l'histoire ne commence réellement qu'à la 300ème page !
De plus, est-ce qu'un tel scénario est plausible ? il s'agit certes d'un roman mais qui devrait toutefois s'appuyer sur quelques réalités ou alors.... on est en pleine SF !
Pour ma part, un roman mal structuré...et peu interressant.
De plus, est-ce qu'un tel scénario est plausible ? il s'agit certes d'un roman mais qui devrait toutefois s'appuyer sur quelques réalités ou alors.... on est en pleine SF !
Pour ma part, un roman mal structuré...et peu interressant.
Attention: chef d'oeuvre
Critique de Mim (Onex Genève, Inscrite le 30 septembre 2006, 55 ans) - 30 septembre 2006
Oui, c'est vrai, je le reconnais, les romans de Douglas Kennedy mettent du temps à démarrer. A force on s'habitue, il nous fait chaque fois le coup.
Ce qui m'a fascinée dans ce roman, c'est comment l'auteur arrive à décrire des émotions aussi féminines alors qu'il est un homme. J'ai trouvé qu'il y avait tant de justesse.
J'ai adoré cette histoire, ce qui en fait, pour moi. le meilleur roman de D. Kennedy. Mais il est vrai que je n'ai pas lu cul-de-sac, alors...
Ce qui m'a fascinée dans ce roman, c'est comment l'auteur arrive à décrire des émotions aussi féminines alors qu'il est un homme. J'ai trouvé qu'il y avait tant de justesse.
J'ai adoré cette histoire, ce qui en fait, pour moi. le meilleur roman de D. Kennedy. Mais il est vrai que je n'ai pas lu cul-de-sac, alors...
Du suspense
Critique de Chrisk (, Inscrite le 4 juillet 2006, 70 ans) - 4 juillet 2006
Sally, américaine et grand reporter, rencontre Tony, journaliste anglais.
Elle tombe amoureuse...ils se marient , s'installe à Londres et ont un enfant...
et là, commence l'histoire d'une longue descente aux enfers.
Elle tombe amoureuse...ils se marient , s'installe à Londres et ont un enfant...
et là, commence l'histoire d'une longue descente aux enfers.
mauvais
Critique de Choubibou69 (, Inscrite le 5 juin 2006, 49 ans) - 5 juin 2006
Un livre qui se lit vite car on garde l'espoir page après page que l' histoire commence enfin.
Ce n'est qu'à la page 300 que le cauchemar (prédit sur la couverture) semble s'installer, suivra en fait, qu'un enchaînement d'évènements prévisibles.
Cette histoire, sans rebondissements, n'est que l'ombre d'un mauvais film d'm6.
Ce n'est qu'à la page 300 que le cauchemar (prédit sur la couverture) semble s'installer, suivra en fait, qu'un enchaînement d'évènements prévisibles.
Cette histoire, sans rebondissements, n'est que l'ombre d'un mauvais film d'm6.
Baby blues
Critique de Ena (Le Gosier, Inscrit le 25 octobre 2004, 62 ans) - 10 mai 2006
Ce récit débute par la rencontre de deux journalistes, baroudeurs car correspondants à l’étranger, une américaine et un anglais. Ils sont tous les deux à la croisée des chemins, le temps de rentrer aux bercails et de penser à fonder une famille est venu. Un coup de foudre plus loin on les retrouve à Londres ou ils ont déposé armes et bagages et sont prêt pour la grande aventure. Comme le titre est assez explicite on se doute que tout ne va pas se passer comme sur des roulettes mais ce qui va les attendre est bien pire que ce que j’avais imaginé. C’est très vivant, souvent touchant, parfois drôle même si l’humour est un peu sombre. La souffrance psychologique est particulièrement bien décrite, tout cela sur un fond de guerre froide Anglo-Américaine qui vient s’ajouter aux différents qui opposent nos deux, à priori sympathiques, protagonistes.
Digne d’un téléfilm américain
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 12 avril 2006
J’ai hésité longtemps avant de me décider à acheter un roman de Douglas Kennedy. Puis finalement, tentée par l’avis de critiqueurs dont je partage certains goûts littéraires, je me suis décidée. Quelle déception ! Je m’attendais à un bon roman de suspense psychologique, digne de bons romanciers américains. Dès le début, j’ai eu le sentiment de me plonger dans le scénario d’un téléfilm américain de série b diffusé l’après-midi sur TF1. Je me suis accrochée, pensant que l’intrigue allait s’étoffer. Et non, cette impression ne s’est pas démentie. Du moins jusqu’à la moitié du livre où je me suis laissée piéger. Plus moyen de décrocher du livre avec l’envie de connaître le dénouement mais aussi l’indignation face à ce que doit subir Sally. Le suspense est finalement habillement maintenu mais cela m’a tout de même donné l’impression de m’être laissée piéger par un produit préfabriqué et un auteur maîtrisant les ficelles du genre. Bref, une lecture facile dont on se détache difficilement même si on s’attend à une fin prévisible.
Prenant mais sans réelle surprise
Critique de Nirvana (Bruxelles, Inscrite le 7 avril 2004, 52 ans) - 4 novembre 2004
Tout d'abord, comme le souligne Gilou, on a l'impression que derrière la plume se cache une femme, car les descriptions de cette dépression post-natale aigüe dégagent un réel ressenti.
C'est un roman délassant car très prenant, la réflexion n'a pas besoin d'être très poussée puisqu'on se laisse entraîner malgré soi dans la spirale de la machination dont est victime Sally.
J'ai beaucoup aimé la description de la difficulté pour une immigrée de s'intégrer dans un univers où les contacts sociaux sont aux antipodes de ce à quoi elle est habituée.
Par contre, beaucoup de cliché quant à la voisine secourable, l'avoué qui n'a l'air de rien mais qui est redoutable (il m'a fait penser à Dustin Hoffman, avocat paumé dans "Sleepers"), et pour les motivations réelles de Jack, qu'est-ce qui explique réellement son comportement? Bof, le suspense marche, une fois commencé, on est pris en otage, il FAUT terminer ce roman, mais ça fait un peu tempête dans un verre d'eau, car on anticipe trop la suite de chaque coup de théâtre.
C'est un roman délassant car très prenant, la réflexion n'a pas besoin d'être très poussée puisqu'on se laisse entraîner malgré soi dans la spirale de la machination dont est victime Sally.
J'ai beaucoup aimé la description de la difficulté pour une immigrée de s'intégrer dans un univers où les contacts sociaux sont aux antipodes de ce à quoi elle est habituée.
Par contre, beaucoup de cliché quant à la voisine secourable, l'avoué qui n'a l'air de rien mais qui est redoutable (il m'a fait penser à Dustin Hoffman, avocat paumé dans "Sleepers"), et pour les motivations réelles de Jack, qu'est-ce qui explique réellement son comportement? Bof, le suspense marche, une fois commencé, on est pris en otage, il FAUT terminer ce roman, mais ça fait un peu tempête dans un verre d'eau, car on anticipe trop la suite de chaque coup de théâtre.
Scénarisation facile
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 14 juin 2004
Douglas Kennedy manie également bien l'humour et l'ironie dans ce récit. Lorsqu'il évoque les difficultés de vivre à Londres, les joies du système de santé anglais (je confirme l'horreur de la chose !) ou le caractère de certains britanniques, il fait mouche et ça sent le vécu.
Pour le reste, ce roman est-il très original ?
Il me semble que souvent, dans le genre romanesque grand public américain, on se retrouve face à deux hypothèses : soit le héros est tout en haut de l'affiche et ne peut que tomber (et souvent ça fait mal), soit il vient du fond du fond et l'ascension sociale est au rendez-vous, comment pourrait-il en être autrement quand plus bas n'existe pas.
Sally, ce serait un peu le premier scénario. Tout lui sourit, c'est une brillante journaliste, elle rencontre le beau et séduisant Tony en Somalie (un vrai conte de fée), elle tombe enceinte, ils se marient et emménagent à Londres. Tout se passe bien jusqu'à l'arrivée de Jack et la grosse dépression postanatale de Sally, qui ne fait que nourrir les agacements de Tony.
Si l'histoire s'était limitée à cela, j'aurais eu vite fait de refermer le bouquin, il y a suffisamment de feuilletons télé pour illustrer ce genre de contenu.
En fait, à ce stade, nous sommes plus ou moins au milieu de l'histoire, avant que Tony ne se tire avec Petit Jack et ça devient franchement glauque et prenant. Il obtient la garde officielle de son fils grâce à une vipère en mal d'amour et d'enfant, Sally ne peut que se battre et remonter la pente, ce qu'elle fait.
Kennedy marie les deux grands courants du roman : la chute et l'ascension, ça donnerait un beau film pour HBO un lundi soir.
J'ai parfois l'impression que Douglas Kennedy gâche son talent avec ce genre de trame. C'est prenant certes, mais c'est cousu de fil blanc et parfois trop facile. Il excelle pourtant dans le jeu de ses personnages et les descriptions qu'il en donne, mais cède trop facilement à mon goût à la scénarisation à outrance de ses livres, sans doute parce qu'il sait qu'ils seront tôt ou tard adaptés à la télévision.
Pour le reste, ce roman est-il très original ?
Il me semble que souvent, dans le genre romanesque grand public américain, on se retrouve face à deux hypothèses : soit le héros est tout en haut de l'affiche et ne peut que tomber (et souvent ça fait mal), soit il vient du fond du fond et l'ascension sociale est au rendez-vous, comment pourrait-il en être autrement quand plus bas n'existe pas.
Sally, ce serait un peu le premier scénario. Tout lui sourit, c'est une brillante journaliste, elle rencontre le beau et séduisant Tony en Somalie (un vrai conte de fée), elle tombe enceinte, ils se marient et emménagent à Londres. Tout se passe bien jusqu'à l'arrivée de Jack et la grosse dépression postanatale de Sally, qui ne fait que nourrir les agacements de Tony.
Si l'histoire s'était limitée à cela, j'aurais eu vite fait de refermer le bouquin, il y a suffisamment de feuilletons télé pour illustrer ce genre de contenu.
En fait, à ce stade, nous sommes plus ou moins au milieu de l'histoire, avant que Tony ne se tire avec Petit Jack et ça devient franchement glauque et prenant. Il obtient la garde officielle de son fils grâce à une vipère en mal d'amour et d'enfant, Sally ne peut que se battre et remonter la pente, ce qu'elle fait.
Kennedy marie les deux grands courants du roman : la chute et l'ascension, ça donnerait un beau film pour HBO un lundi soir.
J'ai parfois l'impression que Douglas Kennedy gâche son talent avec ce genre de trame. C'est prenant certes, mais c'est cousu de fil blanc et parfois trop facile. Il excelle pourtant dans le jeu de ses personnages et les descriptions qu'il en donne, mais cède trop facilement à mon goût à la scénarisation à outrance de ses livres, sans doute parce qu'il sait qu'ils seront tôt ou tard adaptés à la télévision.
Suite d'accouchement difficile ? ce livre est pour vous ;o)))
Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 57 ans) - 12 juin 2004
Difficile de résumer l'histoire sans rien dévoiler ! C'est l'histoire de Sally, Américaine,reporter international au Boston Post, qui rencontre Tony, Anglais,journaliste au Chronicle.
Elle tombe amoureuse, se marie, ils ont un enfant. Ils s'installent à Londres, et là commence une longue descente aux enfers.
J'ai A DO RE. Je n'avais encore jamais lu Douglas KENNEDY. J'ai cru au départ à une histoire à suspens.... Mais il y a tellement plus. Du médical, très bien documenté et rendu, de l'amour, des relations de couple, de la justice, du drame.... J'ai eu les larmes aux yeux par deux fois. Londres et son ambiance sont très bien exprimés. Le décalage entre l'état d'esprit américain et européen est présent à chaque page.
En cherchant la petite bête on peut dire que certains aspects ne sont pas assez fouillés, certains personnages manquent un poil d'épaisseur, mais on est dedans à fond.
Pile poil mon genre de lecture.
Elle tombe amoureuse, se marie, ils ont un enfant. Ils s'installent à Londres, et là commence une longue descente aux enfers.
J'ai A DO RE. Je n'avais encore jamais lu Douglas KENNEDY. J'ai cru au départ à une histoire à suspens.... Mais il y a tellement plus. Du médical, très bien documenté et rendu, de l'amour, des relations de couple, de la justice, du drame.... J'ai eu les larmes aux yeux par deux fois. Londres et son ambiance sont très bien exprimés. Le décalage entre l'état d'esprit américain et européen est présent à chaque page.
En cherchant la petite bête on peut dire que certains aspects ne sont pas assez fouillés, certains personnages manquent un poil d'épaisseur, mais on est dedans à fond.
Pile poil mon genre de lecture.
Trucs et ficelles....
Critique de Isaluna (Bruxelles, Inscrite le 18 avril 2002, 68 ans) - 10 janvier 2004
Ben oui, le titre de ma critique annonce rancoeurs et frustations.... Depuis le premier de ses romans, je me rue sur les livres de Douglas Kennedy, dévorant en général en une nuit une belle histoire, bien torchée, avec des émotions, des rebondissements, des surprises propres à faire pousser des "oh" et des "ah" à la midinette qui sommeille au fond de moi. Mais cette fois, quelle déception! L'histoire met un temps fou à démarrer, et lorsqu'enfin l'intrigue s'étoffe, on peut pratiquement l'écrire à la place de l'auteur, tant le déroulement des événements est attendu. Peut mieux faire, monsieur Kennedy!
Bon allez, je vous mets deux étoiles, mais c'est bien parce que c'est vous!
Bon allez, je vous mets deux étoiles, mais c'est bien parce que c'est vous!
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