La carrière du mal de Robert Galbraith
(Career of evil)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers

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3ème volet des aventures de Cormoran Strike, détective privé, et Robin Ellacott, son assistante
Présentation de l'éditeur
Lorsque Robin Ellacott reçoit ce jour-là un mystérieux colis, elle est loin de se douter de la vision d’horreur qui l’attend : la jambe tranchée d’une femme.
Son patron, le détective privé Cormoran Strike, est moins surpris qu’elle, mais tout aussi inquiet. Qui est l’expéditeur de ce paquet macabre ? Quatre noms viennent aussitôt à l’esprit de Strike, surgis de son propre passé. Quatre individus capables les uns comme les autres, il le sait, des plus violentes atrocités.
Les enquêteurs de la police en charge du dossier ne tardent pas à choisir leur suspect idéal – mais Strike, persuadé qu’ils font fausse route, décide de prendre lui-même les choses en main. Avec l’aide de Robin, il plonge dans le monde pervers et ténébreux des trois autres coupables potentiels. Mais le temps leur est compté, car de nouveaux crimes font bientôt surface, toujours plus terrifiants…
La Carrière du Mal est le troisième volet des aventures du détective Cormoran Strike et de son assistante Robin Ellacott. Intrigue diabolique, coups de théâtre en rafale – ce roman haletant est aussi l’histoire d’un homme et d’une femme arrivés à la croisée des chemins, pour qui l’heure du choix, dans leur vie privée comme professionnelle, a sonné.
« Le troisième volet des aventures de Cormoran Strike est le meilleur de la série à ce jour. Galbraith a inventé un serial killer qui symbolise notre époque et nous fait froid dans le dos dès les premières pages de ce roman sombre et captivant, rythmé à la perfection et scandé par une avalanche de rebondissements. » USA Today
Après "l'Appel du coucou" et "Le ver à soie", je retrouve avec plaisir Cormoran Strike et Robin Ellacott, son assistante, dans ce troisième volet.
J'ai aimé ce nouvel opus où Robin a un rôle tout aussi important que Cormoran, tant dans l’implication dans l’affaire que dans l’enquête menée par ce duo de choc. En plus de leurs recherches pour arrêter le meurtrier, nous suivons l’évolution de leur vie, tant professionnelle que personnelle. L’intrigue bien ficelée et les rebondissements maintiennent le lecteur en haleine. La fin laisse à penser qu'il y aura un 4ème volet.
Les éditions
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La carrière du mal [Texte imprimé], roman Robert Galbraith traduit de l'anglais par Florianne Vidal
de Galbraith, Robert Vidal, Florianne (Traducteur)
B. Grasset
ISBN : 9782246861249 ; 21,50 € ; 30/03/2016 ; 597 p. ; Format Kindle -
La carrière du mal [Texte imprimé], roman Robert Galbraith traduit de l'anglais par Florianne Vidal
de Galbraith, Robert Vidal, Florianne (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253086536 ; EUR 8,90 ; 29/03/2017 ; 736 p. ; Broché
Les livres liés

- L'Appel du coucou
- Le ver à soie
- La carrière du mal
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I'll making a career of evil

Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 10 février 2025
Ce roman, je l'ai pris parce que je suis un grand fan du groupe de hard-rock américain Blue Öyster Cult (J.K. Rowling semble bien les aimer, elle aussi); groupe dont les chansons sont citées en ouverture de chacun de la soixantaine de chapitres du roman, en plus de donner son titre au roman ("Career of Evil" est une de leurs meilleures chansons, écrite par Patti Smith, sortie en 1974) et d'être le point de départ de l'intrigue : Cormoran Strike et son assistante/associée Robin Ellacott reçoivent un colis spécial : une jambe féminine, coupée, une vraie, avec une lettre citant les paroles d'une chanson du groupe. Pas n'importe laquelle, celle de "Mistress of the Salmon Salt (Quicklime Girl)"', la préférée de feue la mère de Cormoran. Ce dernier pense tout de suite à qui pourrait bien avoir envoyé ce macabre colis, et son enquête va le voir plonger dans le monde des perversions...
Un bon thriller, que l'on ne parvient pas à lâcher. Le coup des citations du groupe n'est en revanche qu'un gimmick qui fera sourire le fan du groupe, mais au final, on a l'impression que Rowling/Galbraith a abandonné, plus ou moins, cette orientation au fur et à mesure qu'elle avançait dans l'écriture de son roman. Vraiment pas mal. Bien glauque, et aussi éloigné de "Harry Potter" que, pour parler à nouveau musique, Aznavour l'est de Cannibal Corpse.
Le meilleur des 3 premiers !

Critique de Daoud (LYON, Inscrit le 8 février 2011, 50 ans) - 12 mai 2019
A lire sans problème pour occuper ses temps libres ou congés !
Très envie de lire le prochain épisode.
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