Ma langue au chah
de San-Antonio

critiqué par Pierrot, le 27 mai 2017
(Villeurbanne - 73 ans)


La note:  étoiles
Il n’y a pas de quoi fouetter un chat !
Résumé.
Quand le dab est persuadé qu’il y a anguille sous roche lorsque deux truands notoires s’envolent pour Téhéran, il décide aussi sec de mouiller, une fois de plus, ses deux meilleurs agents, afin de les filer pour savoir qu’est-ce qu’ils mougeottent*

C’est vrai qu’avec cette aventure, je suis resté un peu le bec dans l’eau, certes Frédéric Dard accumule toujours autant de calembours, mais l’essence même de cette histoire ne m’a pas trop traversé. Es-ce le fait de n’avoir pas trop ressenti l’essence même de ce pays, ou peut-être l’intrigue elle-même pas très convaincante, ou enfin moi-même qui suis passé à côté… Comme apparemment d’autres, puisque je n’ai guère vu de critiques sur soixante treizième numéro.