La prunelle de ses yeux
de Ingrid Desjours

critiqué par Ayor, le 22 décembre 2017
( - 52 ans)


La note:  étoiles
Vite lu, vite rangé… vite oublié
Le style de l’auteure est simple, tout comme le scénario de son roman dont l’histoire n’apparaît pas comme très originale.

Les personnages n’ont que peu de relief et certains sont d’une caricature extraordinaire, dont le grand méchant qui visiblement regroupe le pire de tous les vices. Quant aux autres ils ne sont animés que par une pléiade de bons sentiments ce qui rend quelques situations à la limite de la mièvrerie.

Le côté trop manichéen de l’œuvre ne peut que la desservir tant il paraît bien facile ensuite d’enchainer des chapitres plus que convenus. Seule peut-être la pathologie de conversion apparaît comme un point intéressant, malgré un suspense, là également, rapidement éventé.

Vite lu, vite rangé… vite oublié.