Le pèlerin de Compostelle de Paulo Coelho
(O diario de um mago)
Catégorie(s) : Littérature => Sud-américaine
Moyenne des notes : (basée sur 35 avis)
Cote pondérée : (50 593ème position).
Discussion(s) : 1 (Voir »)
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Voyage jusqu'au bout de l'Être...
Un homme entreprend de parcourir le célèbre chemin de Compostelle.
Cette longue route initiatique le confronte à toutes sortes d'épreuves plus extraordinaires les unes que les autres.
Ce livre truffé de symboles, d'ésotérisme et de spiritualité est d'une richesse incroyable.
En plus d'une description d'endroits bien réels de cette route connue d'Espagne, Coehlo nous conduit sur les sentiers les plus inaccessibles et profonds de l'âme humaine et de son combat.
Le jeu poétique entre la confrontation du personnage avec le monde qui l'entoure et la lutte contre son propre être, est époustouflant.
Souvent mal compris parce que mystérieux, ce livre laisse certains lecteurs indifférents, mais si vous l'entamez avec l'intention d'entrer dans la peau du héros et de mettre votre rationalité de côté pour quelques heures, vous en sortirez changés.
Les éditions
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Le pèlerin de Compostelle [Texte imprimé] Paulo Coelho trad. du portugais... par Françoise Marchand-Sauvagnargues
de Coelho, Paulo Marchand-Sauvagnargues, Françoise (Traducteur)
A. Carrière
ISBN : 9782910188504 ; 2,10 € ; 20/03/1996 ; 328 p. ; Relié -
Le pèlerin de Compostelle [Texte imprimé] Paulo Coelho trad. du portugais... par Françoise Marchand-Sauvagnargues
de Coelho, Paulo Marchand-Sauvagnargues, Françoise (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253143796 ; 1,77 € ; 01/01/1998 ; 252 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (34)
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Un chemin difficile qui donne un sens particulier.
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 19 juin 2021
Cependant, alors que je m’attendais à des anecdotes, un récit d’aventures et des impressions de voyage, c’est une prose complexe et ésotérique que Paulo Coelho nous propose.
Accompagné par Petrus, un guide sombre revêtant par moment l’habit d’un gourou, le pèlerin semble à plusieurs moments effrayé ou quasi égaré au fil de rencontres qui semblent plus intérieures que réelles.
Son pèlerinage ressemble à une quête, accompagné par des craintes, qui doit conduire à un adoubement dont la nature m’a échappé.
Personnellement mon intention est de prendre très bientôt aussi ce chemin, mais avec un tout autre enthousiasme, plein d’envie et sans ce mysticisme extrême qui est fort loin de mes espérances personnelles.
Les quelques références historiques sauvent ce récit qui ne laissera personne indifférent vu son angle d’approche atypique et qui invitera le futur marcheur en recherche de sens à se documenter sur cette entreprise et à faire d’autres lectures préparatoires plus encourageantes.
Esotérique
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 8 juillet 2020
« Le pèlerin de Compostelle » se veut roman initiatique, conte philosophique ou guide ésotérique et en aucun cas récit de voyage. Pour le moins atypique, notre pseudo-pèlerin ne fait rien comme les autres. Il ne fréquente ni les gites ni les « albergues », mais uniquement les hôtels et les « Paradors », ne rencontre aucun autre pèlerin et termine en taxi les 150 derniers kilomètres, les seuls exigés pour l’obtention de la fameuse « Compostella », document officiel attestant que l’on a bien accompli le pèlerinage. L’auteur répète à de nombreuses reprises l’expression « l’étrange chemin », comme s’il n’avait pas réussi à vraiment découvrir, apprécier et partager l’esprit du chemin, polarisé qu’il était sur cette quête d’épée (l’espada des chevaliers éponymes), sur les exigences de ses « exercices » pseudo spirituels, vaguement yoguiques (l’exercice de la semence n’étant qu’une copie de l’asana du chat), parfois masochistes (l’exercice de la cruauté ou celui de l’enterré vivant). Avec Coelho, on nage dans un prêchi-prêcha new age qui n’a rien de bien original. On est très loin de la réalité du Camino. On se demande même comment pareille « soupe » pseudo théologique ait pu rencontrer un tel succès !
Ca plâne pour Coelho...
Critique de Amaranteh (, Inscrite le 2 octobre 2012, 54 ans) - 2 octobre 2012
En lisant le livre au second degré, on y retrouve certes quelques notions ressenties sur le Chemin, comme l’Amour universel, la communion avec les éléments, la transmission de certains enseignements à d’autres. Mais je ne me suis pas du tout retrouvée dans le vécu personnel de Coelho, un peu « bouché » aux enseignements de son guide (il a le mérite d’être honnête) et qui a par ailleurs terminé le chemin en autobus !
Des commentaires très nombreux à cette critique sont à lire sur http://radiocamino.net/livres/…
Où est le vrai ? Où est l’imaginaire ?
Critique de Gilou (Belgique, Inscrite le 1 juillet 2001, 76 ans) - 13 août 2011
Je n’ai pas retrouvé les éléments et autres péripéties racontés par des amis ayant fait le chemin de Compostelle.
J’imaginais tout autre chose, des descriptions « réelles » des endroits traversés ou visités. Des anecdotes de rencontres et des ébauches d’amitié sincère entre les pèlerins. La solidarité et l’humanité qui, paraît-il, grandissent au fur et à mesure de la marche. Rien de tout cela. A part l’accueil de l’habitant qui reste, je crois l’incontournable attrait de ce voyage.
Ayant suivi « virtuellement » , en son temps, le carnet de route de notre modérateur Saule qui fit ce pèlerinage, je n’ai pas senti ici, chez P.Coelho , la sérénité et le bonheur ressentis par Saule en faisant ce voyage.
En bref, il me semble que ce livre est « truffé » d’anecdotes imaginaires mais évidemment bien réelles dans sa tête d’écrivain. Je n’ai pas du tout adhéré à ce côté « extraordinaire » du récit.
Peut-être suis-je à côté de la plaque comme on dit… mais P.Coelho ne m’a pas du tout bouleversée par son pèlerinage.
Très spécial!!
Critique de Nina-39 (, Inscrite le 15 avril 2010, 45 ans) - 8 mai 2010
Grâce à ce livre, j'ai eu une autre vision des choses quant à "l'espèce humaine".
Et puisque je suis attachée à la religion, aux rites, ce roman me convient parfaitement.
Leitmotiv de l'ennui
Critique de Elya (Savoie, Inscrite le 22 février 2009, 34 ans) - 21 mars 2010
On se dit que cela peut être un récit sympathique quand même. Mais lorsqu'on comprend (vite, trop vite) que toute l'histoire est en fait l'élucubration des petites aventures, dérisions et challenges de 2 hommes d'un bout à l'autre du chemin de Compostelle, on se lasse vite.
Il paraitrait que l'homme évolue tout au long de sa quête, qu'il franchit des étapes clés qui sont validées par son guide, ce qui révèlera en lui des Vérités. Il paraitrait, car nous lecteur ne percevons peu d'évolution dans ce récit, limpide certes, mais trop linéaire.
Peut-être faut-il être un minimum sensible à ces croyances mystique pour saisir l'intérêt de l'histoire.
Un peu de retenue !!
Critique de Nanardstef (, Inscrit le 6 juin 2008, 47 ans) - 13 avril 2009
Est-ce que Coelho est un philosophe ? Oui certainement ... disons qu'il s'agit du premier niveau de la philosophie. Ce que l'école primaire est à l'enseignement.
Est ce que le Pélerin est un mauvais bouquin ? Assurément non si on veut bien le prendre comme un roman et non tenter d'en tirer le sens profond que certains (et j'espère pas l'auteur) voulaient y trouver.
Est-ce qu'il faut acheter ce livre ? Oui pourquoi pas .. mais comme un roman "de plage" ou "de train" et non comme un livre de chevet emblématique.
Bref, à moins que Paolo Coelho se soit présenté comme un héritier de Socrate ou Kant, il n'existe aucune raison pour le vilipender de la sorte. Que ceux qui ne veulent pas toucher à ce genre de livre passent tout simplement leur chemin .. comme je l'ai moi-même fait après avoir vaillamment achevé (non sans une certaine déception, avouons le) l'Alchimiste, Véronika veut mourir et le Pélerin.
la quête de l'autre
Critique de Yulie (, Inscrite le 13 octobre 2006, 50 ans) - 13 octobre 2006
Au milieu de l'ordinaire
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 31 octobre 2005
voyage initiatique
Critique de TaMereEnShort (, Inscrit le 17 mai 2004, - ans) - 2 juin 2004
1 très bon et le pire du pire
Critique de Karl glogauer (, Inscrit le 17 mai 2004, 50 ans) - 18 mai 2004
perso, l'alchimiste est un conte qui m'a ravi comme le petit prince ou jonathan livingstone,
MAIS le pélerin, le manuel du guerrier de la lumière, ou au bord de la rivière, ont été pour moi des potions vomitives
Qui êtes-vous pour critiquer qui que ce soi!
Critique de Andreia (Mons, Inscrite le 10 mai 2004, 39 ans) - 10 mai 2004
Malgré leur âge avancé, certains n'ont pas plus de maturité qu'un enfant!!
Comment pouvez-vous critiquer des écrivains?!
La littérature c'est de l'art, c'est comme de la peinture ou de la sculpture, si certains se sont fait une notoriété, cela ne veut pas dire que les autres sont nuls!
Personnellement j'ai lu ce livre (et je pense que beaucoup de gens qui ont mis un commentaire ne l'ont pas fait!!!) et je le trouve très bien!
C'est un style différent mais très intéressant!
Mais à mon avis, certains sont encore au stade "Harry Potter" (et je n'ai rien contre Harry Potter, j'ai tous les livres!) je veux juste dire par là que certains critiquent des auteurs juste parce que ceux-ci nous décrivent de manière originale le monde dans lequel on vit et d'autres (notamment J.K Rowling) ne font que développer un monde imaginaire!!
A bon entendeur.....Salut
J'ai lu pour vous
Critique de Saule (Bruxelles, Inscrit le 13 avril 2001, 59 ans) - 14 avril 2003
Rappelons quand même que la simplicité et la gentillesse sont des qualités, en littérature comme dans la vie.
Ceci dit je suis déçu par cette quête spirituelle qui tourne par moment au jeu de piste pour boy-scout. Et les épisodes surnaturels ont un coté un peu ridicule d'autant plus que l'expérience relatée est censée être un témoignage. Tout cela fait que, personnellement, je suis resté plutôt indifférent à la quête de Coelho.
Il n’en reste pas moins que ce livre est bien écrit, et qu’il est plein de bons sentiments, c'est déjà pas mal. Le talent de Coelho c'est de toucher un très large public et ce faisant il fait réfléchir les gens : tant mieux.
Je conçois très bien que le récit d'une quête spirituelle comme celui-ci puisse toucher certains, et, pourquoi pas, les rendre meilleurs. Cela vaut bien trois étoiles. D'ailleurs pour faire remonter la moyenne j'en donne 4.
Je nuance
Critique de CptNemo (Paris, Inscrit le 18 juin 2001, 50 ans) - 14 avril 2003
Mais qui donc a lu ce livre ?
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 12 avril 2003
Analogie
Critique de Lucien (, Inscrit le 13 mars 2001, 69 ans) - 12 avril 2003
chez les Schroumpfs
Critique de Persée (La Louvière, Inscrit le 29 juin 2001, 73 ans) - 12 avril 2003
Nombrilisme
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 11 avril 2003
Moi, j'aime pas les concombres...
Critique de Leura (--, Inscrit le 29 janvier 2001, 73 ans) - 11 avril 2003
Pour moi, je te l'avoue, l'élitisme va souvent de pair avec la pédanterie, et ça m'énerve. J'observe une certaine tendance dans la littérature contemporaine au nombrilisme narcissique, est-ce dû à la perte de quelques neurones avec l'âge? J'ai lu Camus, Sartre, et d'autres grands auteurs du XXe siècle, je les adore, ils ont marqué mon adolescence et je leur en suis reconnaissant. Cependant, la langue évolue, on n'écrit plus tout à fait comme eux aujourd'hui, est-ce à dire qu'il faille regarder ce qui se fait actuellement comme les deux vieux du Muppet show, en critiquant et en disant "de mon temps"? C'est vrai que tu aimes Delerm, et il te sera beaucoup pardonné. Non, là je te taquine un peu.
Pour en revenir à Coelho, c'est vrai que son "message" pour employer un mot pompeux, est très simple, mais cela signifie-t-il qu'il soit inutile? Je ne le pense pas. Il suffit de regarder autour de soi, le monde dans lequel nous vivons adopte-t-il ces principes tout simples, d'amour universel, d'ouverture spirituelle et de tolérance? Oui, oui, comme les schtroumpfs, je veux bien. Je l'avoue toute honte bue, je préférerais vivre au pays des schtroumpfs où tout le monde est gentil sauf Gargamel que dans ce monde où on trouve normal de dépenser un milliard de dollars par jour pour faire une guerre injuste à un pays du tiers monde, mais enfin, là aussi c'est un autre débat.
Non je n'aime pas Coelho !
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 10 avril 2003
Mais oui mais non!
Critique de Saint-Germain-des-Prés (Liernu, Inscrite le 1 avril 2001, 56 ans) - 10 avril 2003
Ou comme tu n’écoutes pas ce que j'ai dit !…
1. Nonnonnonnon (ça y est, c'est compris, c’est assez clair ?), la philo ne doit pas être hermétique ! 2. Ouiouiouioui, je critique la philo-masturbation intellectuelle ! 3. Ouiouiouioui, les gens ont tout à fait le droit de lire et d'aimer Coelho ! 4. Nonnonnonnon, il ne suffit pas « d’exprimer gentiment ses certitudes » pour être un philosophe ! 5. Avec Barbara, j'ai voulu faire de l'humour (c'était pas clair ?) ! 6.Et pour ta gouverne, j'aime pas Comte-Sponville !
je confirme et signe
Critique de CptNemo (Paris, Inscrit le 18 juin 2001, 50 ans) - 10 avril 2003
Tu as le droit d'aimer les gentils Leura mais les livres "gentils" sont souvent des livres ennuyeux et surtout creux. Delerm, Gavalda, Jardin, Coelho, Levy, font partie des gentils et on ne peut pas vraiment dire que leurs oeuvres soit palpitantes.
Ce que je regrette le plus avec ce genre d'auteur c'est que ce sont eux qui squattent les médias et même certaines émissions littéraires et que dans l'esprit du public, ils représentent la littérature moderne. Une escroquerie pure et simple à mon avis.
Etre ou ne pas être hermétique?
Critique de Leura (--, Inscrit le 29 janvier 2001, 73 ans) - 10 avril 2003
Dans beaucoup de ses livres, qui sont régulièrement éreintés sur ce site, il nous expose gentiment ses certitudes, qu'on a bien sûr le droit de rejeter, mais à mon avis pas de façon méprisante. On peut dire qu'on n'aime pas, qu'on n'est pas d'accord, et personnellement parmi tous les livres de cet auteur, celui-ci est celui que j'ai le moins aimé.
Coelho n'est certes pas Comte-Sponville, mais faut-il vraiment le comparer à Barbara Cartland? On peut qualifier ses romans de diverses manières mais, et ce n'est que mon avis, pas de sous-littérature. Sa philosophie (pardonnez-moi ce terme s'il vous dérange) est souriante, aimable, et gentille. Et moi, j'aime bien les gentils. Evidemment, on me rétorquera que Barbara Cartland était peu être gentille elle aussi... Que répondre?
Et pourquoi pas Barbara tant qu'on y est?
Critique de Saint-Germain-des-Prés (Liernu, Inscrite le 1 avril 2001, 56 ans) - 10 avril 2003
Cocoline, je suis ravie que tu aies lu un livre qui t'ait plu.
Toutefois, pourrait-on arrêter d'attribuer le titre de philosophe à n'importe qui, au premier personnage qui a commis quelques pages, tout ça sous prétexte que ça nous a parlé ou qu'il y a un "message"???
Et pourquoi pas Barbara Cartland, tant qu'on y est?
Ca parle à beaucoup de gens et un message (tarte à la crème même pas allégée) est bien présent : l'amour toujours l'amour...
Non, la philo ne doit pas être compliquée, non, ça ne doit pas nécessairement être de la masturbation intellectuelle, oui, la philo pourrait faire un effort pour sortir de son langage hermético-abscons!
On est tous d'accord là-dessus.
Permettez-moi d'enfoncer une porte ouverte : Coelho!
Oui, je l'enfonce, cette porte ouverte sur rien, tellement ouverte qu'elle ne cache rien, expose tout au grand jour : y'a même plus l'ombre d'un semblant de place pour une spiritualité quelle qu'elle soit puisque tout est dit.
Si tout est dit, plus rien n'est à créer.
La philo devrait se situer entre la limpidité et l'opacité.
Juste assez de lumière pour ne rebuter personne et juste assez d'ombre pour permettre la découverte progressive, la lente mise à nu de la pensée.
Au lieu de quoi? Coelho...
philo=prise de tête ??????????
Critique de Cocoline (Lyon, Inscrite le 20 avril 2003, 37 ans) - 9 avril 2003
Viva Brasil !
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 1 août 2002
Toutes ses idées peuvent être comprises par tous mais chacun les interprétera à sa manière pour en tirer le meilleur bénéfice pour lui-même. «
L'extraordinaire se trouve sur les chemin des gens ordinaires », rien n'est plus vrai, alors que nous tentons de le chercher ailleurs.
Je ne résiste pas à la tentation de vous citer un passage que j'ai souligné et qui, bien que simple ou « simpliste » affirmeront certains devrait être lu et relu lorsque votre vie commence à ressembler à « un dimanche après-midi » au sens péjoratif du terme. « L’homme ne pourra jamais cesser de rêver. Le rêve est la nourriture de l'âme comme les aliments sont la nourriture du corps. Très souvent au cours de notre existence, nous voyons nos rêves déçus et nos désirs frustrés, mais il faut continuer à rêver, sinon notre âme meurt.. » (..) « Le premier symptôme du fait que nous tuons nos rêves est le manque de temps » (..) Le deuxième symptôme de la mort de nos rêves, ce sont nos certitudes » (..) Enfin, le troisième symptôme de la mort de nos rêves, c'est la paix » (..) « Les rêves morts
commencent à pourrir en nous et à infester toute notre atmosphère. Nous devenons cruels envers ceux qui nous entourent, et finalement nous retournons cette cruauté envers nous-mêmes » (..) « Et un beau jour, les rêves morts et pourris rendent l’air irrespirable et nous désirons la mort, la mort qui nous délivre de nos certitudes, de nos occupations, et de cette terrible paix des dimanches après-midi »..
Pour la petite histoire que je tiens de mes amis randonneurs qui ont réalisé ou qui sont toujours en route vers Compostelle, c’est grâce à ce bouquin (ou à cause de… c'est selon) que des hordes de Brésiliens se pressent sur le chemin de Saint Jacques à la recherche du bonheur. J'ai la certitude que ces Brésiliens qui entreprennent ce voyage à pied ne seront pas déçus.. Même s’ils ne trouvent ni ne voient ce que Coelho y a trouvé et vu, ils découvrirons autre chose qui changera leur vie et leur vision du monde.. Et peu de bouquins ont l'insigne honneur de se flatter d'en faire autant.
Coelho, on aime ou on n'aime pas
Critique de Tamia (Bruxelles, Inscrite le 23 août 2001, 48 ans) - 27 novembre 2001
Ce n'est pas de la grande philosophie, c'est une manière de voir la vie et de la vivre accessible à tous!
Qui a dit que c'était un livre de philo??
Critique de Titi (Bruxelles, Inscrit le 20 février 2001, 50 ans) - 23 novembre 2001
ca oui me laisse indifférent
Critique de Pétoman (Tournai, Inscrit le 12 mars 2001, 49 ans) - 11 novembre 2001
mon humble avis sur Coelho...
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 21 juin 2001
Je n'ai pas lu ce livre mais...
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 20 juin 2001
Tout à fait d'accord !
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 20 juin 2001
Stop a Cohelo
Critique de CptNemo (Paris, Inscrit le 18 juin 2001, 50 ans) - 18 juin 2001
Je profite donc de cette critique pour lancer un message à tous les lecteurs avisés : ne lisez pas Paolo Cohelo, lisez Ernesto Sabato, Gabriel Garcia Marquez, Fuentes et tous les autres. Ou alors lisez le Petit Prince. Mais arrétez cette escroquerie !!!
Ma plus grande déception chez Coelho
Critique de Leura (--, Inscrit le 29 janvier 2001, 73 ans) - 25 février 2001
Evidemment, on ne peut pas écrire un livre aussi riche que "l'Alchimiste" ou "Veronika décide de mourir" tous les ans...
Pour en revenir au Pélerin de Compostelle, les expériences magiques et irrationnelles vécues par le personnage se révèlent très vite agaçantes. Il en devient impossible de s'identifier au héros, ni même d'éprouver la moindre empathie. Tout y parait artificiel. Je n'ai rien contre le New Age, à condition qu'il ne soit pas trop nuageux (je sais, le calembour est facile).
Pour moi, c'est peut-être le moins bon livre de Coelho, mais tous les goûts sont dans la nature, parait-il.
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Forum Coelho... oh noooon ! pas encooore ! | 28 | Pendragon | 11 décembre 2007 @ 10:14 |