Sandrine
de James Osmont

critiqué par Ayor, le 12 mars 2018
( - 52 ans)


La note:  étoiles
Désastreux
Que dire… J’ai eu tort d’acheter les trois tomes d’un coup en me fiant aux avis dithyrambiques d’internautes. J’avoue m’en être séparé suite à la lecture de ce deuxième volume censé être la suite du désastreux « Régis », et qui se révèle (inévitablement) du même niveau.

Certes je ne m’attendais pas à un miracle non plus, mais j’avais presque oublié à quel point cet auteur pouvait autant tomber dans la caricature et dégoûter actuels et futurs soignants de venir exercer en psychiatrie.

Rien ne me convient chez cet auteur, son roman transpire la condescendance et le mépris de la psychiatrie et des agents qui y travaillent. Les situations sont sans cesse entrecoupées de paroles de chanson qui n’ont pour effet que de lasser, leur nombre représentant quasi un tiers du livre. Il est clair que j’ai rapidement abandonné la lecture de ces dernières, ce qui a finalement eu comme effet positif d’accélérer la lecture et d’en finir avec cette œuvre plus que médiocre.

À fuir de toute urgence !