Hanna et ses filles de Marianne Fredriksson
( Anna, Hanna och Johanna)
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone
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Auteure Suédoise...
C'est la vie d'Hannah, née en 1871, de sa fille Johanna, née en 1902, et de sa petite fille Anna, née dans les années 30, dans le Dasland suédois, près de la frontière norvégienne.. Elles connaitront toutes 3 la vie des femmes de leurs époques respectives, seront touchées par les grands évènements politiques et économiques, aimeront, pleureront, souffriront, seront heureuses ou malheureuses, et surtout, nous raconteront tout ça.
C'est mon premier livre suédois, et je m'attendais plus ou moins à de la littérature "nordique", froide, hâchée, rude en un mot. Quelle erreur ! Marianne FREDRIKSSON a une plume toute légère, qui raconte non seulement les évènements mais leur essence également, leur odeurs, leur saveurs.
J'ai été plus touchée par Hannah que par ses filles. Certains passages m'ont vraiment émue. Comme celui où Johanna, après avoir longtemps eu du mépris pour sa mère, réalise qu'elle ne manque en fait pas d'intelligence, mais seulement de mots pour l'exprimer....Les 3 dernières pages aussi, beaucoup
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Les éditions
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Hanna et ses filles [Texte imprimé] Marianne Fredriksson trad. du suédois par Anna Gibson
de Fredriksson, Marianne Gibson, Anna (Traducteur)
J'ai lu / J'ai lu.
ISBN : 9782290310533 ; 0,90 € ; 01/05/2001 ; 316 p. ; Poche
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Hanna et ses filles
Critique de Micka (, Inscrite le 20 mars 2004, 80 ans) - 7 septembre 2005
Un voyage dans la vie de 3 femmes: la grand'mère Hanna, la fille Johanna, et la petite-fille Anna. Je suis embarquée dès les premières pages dans la vie intense difficile et courageuse de Hanna. J'aimais beaucoup cette Hanna. La deuxième partie traite de Anna. L'incursion dans la vie de la petite fille d'Hanna a moins d'intensité. J'ai décroché par moment. J'étais même perdue un peu. On passe du je au elle, ça me dérange. La troisième parle de Johanna le mère d'Anna. Je raccroche dans cette partie. Le thème de la mort est très présent dans cette dernière partie, sans trop de larmoiements.
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