Misery de Stephen King
(Misery)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
Moyenne des notes : (basée sur 25 avis)
Cote pondérée : (40ème position).
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Faites gaffe aux fans...
Paul Sheldon est écrivain et vient de mettre un terme à une longue série de bouquins en en faisant mourir l'héroïne, Misery, au grand désespoir de ses fans.
Il part alors se reposer a la campagne sauf qu'en cours de route, c'est l'accident. Il est sauvé par Annie qui gentiment l'accueille chez elle, le temps qu'il retrouve la forme et... fasse revivre Misery en écrivant un nouveau bouquin dessus!! Il est pas d'accord?? Il veut s'échapper?? Ce qu'il écrit ne convient pas à Annie?? Quelques coups de marteau bien placés vont lui remettre les idées en place...
Et on assiste alors au long calvaire de Sheldon qui ressuscite Misery, au grand bonheur d'Annie. Mais il n'a qu'une seule idée : fuir cette cinglée qui menace sa vie.
Un des meilleurs (le meilleur??) livres de Stephen King où il gère en maitre le suspense et nous donne, à notre plus grande horreur, quelques détails peu ragoûtants sur les sévices infligés à Sheldon. Un vrai plaisir !!
Les éditions
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Misery [Texte imprimé], roman Stephen King trad. de l'anglais par William Desmond
de King, Stephen Desmond, William Olivier (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253151371 ; 8,70 € ; 04/09/2002 ; 391 p. ; Poche -
Misery [Texte imprimé] Stephen King trad. de l'anglais par William Desmond
de King, Stephen Desmond, William Olivier (Traducteur)
J'ai lu / J'ai lu
ISBN : 9782277231127 ; 5,99 € ; 04/01/1999 ; 439 p. ; Poche -
Les livres liés
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Les critiques éclairs (24)
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Très bien.
Critique de Obriansp2 (, Inscrit le 28 mars 2010, 54 ans) - 4 février 2021
Misery
Critique de Windigo (Amos, Inscrit le 11 octobre 2012, 42 ans) - 28 août 2019
Hypocrite lecteur , mon semblable , mon frère
Critique de Nav33 (, Inscrit le 17 octobre 2009, 76 ans) - 11 août 2015
Pourquoi ces fictions prennent-elles autant de place dans nos cerveaux , même s’ils sont heureusement moins torturés que celui d’Annie Wilkes ? Réponse personnelle : cela doit assurer une fonction comme le rêve , ou comme le jeu dans le développement de l’enfant ? En tout cas Stephen King met en scène un huis clos prodigieux dont il est à la fois l’acteur et le spectateur . Juste un petit bémol pour l’excès d’hémoglobine.
a-t-il su ?
Critique de Ellane92 (Boulogne-Billancourt, Inscrite le 26 avril 2012, 49 ans) - 13 juillet 2015
C'est Annie Walker qui le dégage de sa voiture. Ancienne infirmière vivant à présent seule dans une maison sans voisin, elle a posé des éclisses sur ses jambes en petits morceaux et lui fournit du Novril, des antidouleurs codéinés dont Paul ne peut bientôt plus se passer. Annie a reconnu en Paul Sheldon l'auteur qui écrit les aventures de Misery, dont elle est la fan numéro un.
Tout va presque bien dans le meilleur des mondes possibles jusqu'au jour où Annie découvre le triste sort que Paul a réservé à Misery dans son dernier roman (elle attend toujours la parution en édition de poche). Paul va devoir faire amende honorable, et écrire la suite de Misery. Et il va devoir être convaincant pour écrire "Le retour de Misery". N'est-ce pas, Paul, que tu vas être convaincant, parce que sinon, Annie va se fâcher (petit coup d'œil vers la hache planquée dans la réserve…) ?
Misère de misère (désolée, je n’ai pas pu m’en empêcher !) que ces quelques semaines passées par Paul chez son hôtesse indésirable ! Sans éléments fantastiques ou monstre planqué sous le lit, sans super pouvoir ou élément inexplicable, Stephen King crée un climat effroyablement terrifiant et stressant par la seule psychose implacable d'Annie, dont on découvre, en même temps que l'infortuné auteur, l'amplitude infinie !
J'avais déjà lu ce livre il y a longtemps, gardant en souvenir la trame principale et certaines scènes particulièrement marquantes pour mon jeune esprit (la hache bien sûr, la "bougie spéciale" sur le gâteau d'anniversaire, ou la tondeuse à gazon). Pour cette relecture, si j'admire la facilité avec laquelle King nous fait basculer très très rapidement dans l'horreur de la nouvelle vie de Sheldon, j'ai en revanche regretté l'avalanche de scènes particulièrement gores qui se succèdent parfois à un rythme vraiment effréné. J'ai préféré la seconde moitié du livre, qui privilégie la suggestion à la description.
L'histoire est donc menée tambour battant par un King en pleine forme, avec juste ce qu'il faut d'évènements et de révélations pour maintenir toujours à son maximum l'addiction du lecteur, qui se retrouve vite voyeur de cette relation un brin (enfin, un très gros brin !) sadomasochiste de l'auteur et de son infirmière. Enfin, nous avons deux histoires en une, puisque nous suivons la progression du "Retour de Misery" écrit par Paul dans les conditions que l'on sait !
On trouve également dans Misery, comme dans un certain nombre de romans de King, des thématiques récurrentes qui semblent importer à cet auteur prolifique. La mise en parallèle du "roman populaire", facile à lire et sans exigence, qui rapporte au compte en banque de son auteur, avec le roman de littérature, plus exigeant, qui peine à trouver son lectorat, et qui ne permet pas de nourrir son homme ; c'est de la décision d'écrire de "vrais et bons" romans que survient la catastrophe (voir également La part des ténèbres par exemple). « Il s'appelait Paul Sheldon et écrivait deux sortes de romans : ceux qui étaient bons et ceux qui se vendaient bien. » Je me demande s'il n'y aurait pas là un message aux lecteurs…
On trouve, pêle-mêle, dans Misery un héros addictif : à la codéine pour Paul Sheldon, tout comme d'autres pouvaient l'être à l'alcool (dans Shining par exemple), ou Stephen King himself. Comme dans La part des ténèbres, l'écriture passe du statut de métaphore de la vie au rang de pourvoyeur de vie, avec des réflexions plutôt intéressantes sur la relation d'un écrivain avec le processus d'écriture. « Nul besoin d'un psychiatre pour se rendre compte de l'aspect autoérotique de l'écriture ; on brandouille une machine à écrire au lieu de s'astiquer soi-même, mais l'un comme l'autre dépendent d'une imagination fertile, d'une main rapide et d'un engagement sans faille dans l'art de l'outrance. »
Pour ma part, j'ai apprécié en particulier la relation amour-haine qu'entretient Sheldon vis-à-vis de son roman écrit sous la contrainte, au même titre que j'apprécie la relation trouble entre Beaumont et Stark dans La part des ténèbres. J'ai beaucoup aimé également la personnification qu'opère Paul sur les objets de son quotidien : la machine à écrire et son sourire édenté qui le nargue, le barbecue vorace de bonne littérature… « Elle [la machine à écrire] lui souriait de toute la splendeur de ses touches (sauf une), lui disant qu'il était juste et noble d'entreprendre, mais qu'à la fin un destin funeste l'attendait tout de même. » Et puis, toujours, un sens de la formulation pas très politiquement correct mais qui donne ce piment particulier, qui fait sourire le lecteur en même temps qu’il est horrifié de ce qu’il lit !
Bref, nul besoin d'épiloguer pendant des pages : Misery est un best-seller de King, adapté avec brio en 1990 avec une Kathy Bates plus vraie que nature ! Lisez l'un, regardez l'autre, et après, répondez à la question : a-t-il su ?
Et alors, parce qu'il n'aurait pas pu supporter de faire autrement, Paul Sheldon sortit la dernière page du rouleau de la machine à écrire et traça à la plume le mot le plus aimé et le plus détesté dans le vocabulaire d'un écrivain : FIN.
Kidnapping littéraire !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 8 juin 2015
Il a publié son premier roman en 1974 et est rapidement devenu célèbre pour ses contributions dans le domaine de l'horreur. Il s'illustre également dans d'autres genres comme le fantastique, la fantasy, la science-fiction et le roman policier.
"Misery" -publié en 1987- a reçu le prix Bram Stoker du meilleur roman et a été adapté au cinéma en 1990.
Après une soirée arrosée, le célèbre écrivain Paul Shelton se retrouve au fond d'un fossé, gravement accidenté dans sa voiture.
Son ange gardien veille sur lui, incarnée par Annie Wilkes. Elle l'extrait de l'amas de tôle et lui porte secours. Autre heureux hasard; Annie est la plus grande fan de l'écrivain dont elle connait l'oeuvre sur le bout des doigts et attend avec impatience la suite de la série des "Misery".
Malheureusement, Annie Wilkes ne se dirige pas vers l'hôpital, elle va séquestrer Paul Shelton à son domicile et exiger qu'il réécrive la fin de "Misery" ...
Un "King" intelligent. La violence est présente mais ne constitue pas l'ossature du roman. L'auteur égratigne le rapport des fans aux auteurs.
Quand la fanatisme flirte avec la folie, les conséquences peuvent être terrifiantes (et l'auteur pousse le jeu jusqu'au bout !).
J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce roman. Le suspense s'intensifie au fil des pages.Qui de la folie d'Annie ou de l'intelligence du romancier va vaincre ? Une course à la vie.
Un excellent moment de lecture !
Le paradoxe Stephen King
Critique de Lison (, Inscrite le 6 février 2014, 74 ans) - 13 mars 2014
D’un côté, Annie Wilkes, l’infirmière, est toute puissante : elle nourrit, elle délivre le remède qui allège les souffrances, elle punit.
De l’autre, Paul Sheldon est un être brisé, dépendant entièrement de la terrible marâtre. L’écrivain va devoir réapprendre à vivre dans le monde décalé de l’infirmière, en intégrant ses règles perverses. Il va lui falloir éviter de provoquer la colère du dragon et apprendre à survivre pendant ses absences.
L’enjeu de ce duel inégal : sous la contrainte implacable de l’infirmière, l’écrivain doit ramener à la vie Misery (l’objet de l’adoration d’Annie) qu’il avait tuée dans son précédent roman, lassé d’écrire des mièvreries.
Stephen King brosse le portrait d’une Annie Wilkes fouillé, riche et nuancé. Le tableau de sa démence est tout à fait vraisemblable, du moins à mes yeux profanes. On devine la documentation !
Par ailleurs, ce roman aborde des thèmes importants : l’addiction, le travail de création de l’écrivain… La mise en abyme nous entraîne dans les aventures de Misery et l’on se surprend à s’y intéresser. Mais ce qui fait peut-être surtout la force et la profondeur de ce roman, c’est cette impression d’une lucarne ouverte sur l’inconscient de l’auteur…
Je reconnais du génie en King et « Misery » l’illustre bien, mais pour autant, je n’adhère pas à ses excès (qui lui valent la mauvaise réputation qui lui colle à la peau). En clair, dans la dernière partie du récit, on tombe un peu dans le genre «massacre à la tronçonneuse » : ainsi, l’épisode de l’amputation à la hache était-il bien utile, sachant qu’Annie avait déjà coupé un doigt au malheureux, entre autres sévices ? Et la mise à mort du jeune policier n’est-elle pas une scène ultra-violente gratuite ? C’est le paradoxe de cet auteur, capable de vous conter des histoires ébouriffantes avec des personnages d’une grande profondeur, et de se laisser aller à des scènes complaisantes.
Ces restrictions mises à part, je reste bien évidemment sur l’impression d’un très bon thriller devenu un classique.
Génialissime
Critique de Floreflo1 (, Inscrit le 30 mars 2011, 29 ans) - 12 octobre 2013
Comment pouvoir le lâcher ? Impossible, je l'ai mangé en quelque jour ! Merci Stephen King !!
Ce roman reste dans mon top 3 et je pense qu'il va y rester pour un bon bout de temps.
Annie, tu me fait peur Annie, mais j’avoue que j'ai eu de la pitié pour elle au moment où Paul l'attaque, pourquoi ? Parce que King écrit tellement bien ! Quel talent !!
Personnellement
Critique de TheYoung (, Inscrite le 1 juillet 2013, 25 ans) - 1 juillet 2013
La Déesse
Critique de Marlène (Tours, Inscrite le 15 mars 2011, 47 ans) - 12 mars 2012
Je n'ai pas lu d'autres romans à huis clos mais Stephen King a fait un roman psychologique très très bien écrit , dès le début on ne rencontre que deux personnes , ce n'est que vers la fin qu'interviennent d'autres intervenants , et encore brièvement . Il a essayé au maximum de garder ce roman entre Paul & Annie . Se 'joue' entre eux un combat psychologique , Paul tente de rester en vie , Annie elle est suicidaire .
J'ai vraiment aimé quand il découvre les coupures de journaux qu'elle a gardées , et comment on en apprend plus sur elle , j'aurais cependant bien aimé avoir l'avis d'Annie là-dessus ...
Et ces crises de colère ! Quand elle coupe à la hache le pied de Paul , j'en avais la nausée . Contrairement au film Paul sera accro au Novril , impossible pour lui de s'en passer tellement il souffre . Il a puisé dans ses derniers retranchements physique et psychique .
J'ai aimé aussi suivre l'évolution du livre Misery , King a dû réfléchir à un livre dans un livre ! J'ai aussi rigolé , j'adore comment King réussit à intégrer de l'humour dans des situations horribles
J'ai frémis à l'histoire de cette fille enterrée vive et quand Annie 'opère' Paul . Et la fin ...
Une réussite , le film n'est pas à la hauteur de l'horreur et du huis clos du livre . Même plus de 20 ans après , ce livre finalement n'a pas pris tellement de rides (si ce n'est aucune)
Moi je conseillerais de lire le livre , plutôt que de regarder l'adaptation en film . Et si vous ne voulez pas , il est disponible en livre audio , c'est aussi fun !
Un des meilleurs livres du Maître de la Terreur …
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 7 novembre 2011
Tous les ingrédients sont réunis pour nous plonger dans l’angoisse, pourtant ici il n’y pas de fantastique, et c’est ce réalisme qui nous glace encore plus – Nous aussi on tremble quand Annie rentre dans la chambre de Paul …
Tout ça paraît tellement vrai que personnellement je voyais et j’entendais les personnages avant même d’avoir vu le film éponyme (excellent au demeurant et porté par une Katie Bates exceptionnelle).
Stephen King a particulièrement réussi le personnage d’Annie car en parfaite psychopathe, elle alterne l’hystérie et la douceur, et tout comme son prisonnier, nous ne savons plus sur quel pied danser … L’horreur atteint rapidement son paroxysme lorsqu’Annie s’acharne sur Paul et qu’elle s’en prend physiquement à lui de manière irrévocable pour qu’il cesse de vouloir lui échapper. On a l’impression d’être les témoins du jeu du chat et de la souris. Ce duel psychologique finit en apothéose et le suspense est tout simplement insoutenable. Magistral !!!
Fan...atique
Critique de Kalie (Sarthe, Inscrit le 4 juillet 2010, 54 ans) - 4 décembre 2010
Salope de Carabosse !
Critique de Pakstones (saubens, Inscrit le 2 septembre 2010, 58 ans) - 19 octobre 2010
C'est tout l'intérêt de cette histoire de cinglée , de barjo , de pervers , que nous écrit le King de la littérature fantastique , sauf que là , tout est possible ... tout est VRAI !
Demande d'ailleurs à Paul Sheldon ce qu'il en pense, il te dira lui, ne jamais oublier Annie Wilkes.
Mais qui est Annie ?
Ton pire cauchemar, si tu n'as pas pris ton Novril.
Une véritable psychopathe, fan de Misery , héroïne de l'écrivain Paul Sheldon , qui le séquestre dans sa maison isolée , et n'aura pas d'autre choix que d'écrire pour survivre ...
Alors ? Raconte ...
Véritable huis clos étouffant, effrayant, éprouvant, stupéfiant en tête à tête.
Tout est dit , ou presque :
" je suis votre plus grande admiratrice"
Misery , le nom de sa truie ...Oink ! Oink ! Oink !
Quelle horreur pour le lecteur qui se met à la place de Paul Sheldon et ne peut s'échapper, crier et subit le long calvaire de ces pages sanglantes .
Voici le traitement de faveur qui t'attend : le Hobbling !
De la mutilation :
Annie la cuisinière ... au couteau de boucher ,oups le pouce ...
" tout ira bien "
Annie la bûcheronne ... à la hache , oups le pieds ...
"tout va bien "
Annie la jardinière... à la tondeuse , oups le vilain poulet curieux...
"Tout va pour le mieux"
Annie la bricoleuse ... à la tronçonneuse ...
Tout ça pour protéger sa Misery.
Alors, je vous le répète , comment tuer une déesse ?
A coup de machine à écrire , et on lui casse les reins , et on lui fracasse la tête , et on l'étouffe et on l'étrangle et on la brûle...
Non, rien n'y fait !
Alors, ferme ta porte à clé , Hurle en silence et lis ... MISERY
J'ai mal pour Paulie
Critique de El magnifico (paris, Inscrit le 4 décembre 2009, 31 ans) - 16 décembre 2009
Aïe Aïe Aïe !
Critique de Patsy80 (, Inscrite le 20 août 2009, 49 ans) - 21 août 2009
Un merveilleux huis-clos...
Critique de Alezan25 (, Inscrit le 5 avril 2009, 38 ans) - 5 avril 2009
Dangers de la célébrité!
Critique de Faber42 (, Inscrit le 12 février 2009, 37 ans) - 14 février 2009
Très bien, mais...
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 14 janvier 2009
Ecrire ou mourir?
Critique de POOKIES (MONTPELLIER, Inscrit le 16 août 2006, 47 ans) - 18 août 2006
Dès le réveil de Paul Sheldon dans la brume des anti-douleurs, je n'ai pas arrêté de me mettre dans la peau de ce célèbre écrivain.
Je rampais dans la chambre avec lui pour essayer de m'échapper, j'ai eu mal à la cheville quand cette très chère infirmière s'est approchée avec la hache...
Bref un roman non fantastique dans le style mais fantastique dans le suspense et le réalisme.
J'ai adoré, je le recommande à tout le monde et surtout à ceux qui sont allergiques à Stephen KING car celui-ci est différent.
Cruelle mais succulente Déesse
Critique de Herr Schaft (, Inscrite le 2 avril 2006, 36 ans) - 2 avril 2006
Génialissime!!
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 11 février 2005
Terrifiant, cauchemardesque, horrible: donc à ne manquer sous aucun prétexte.
Différent mais génial !
Critique de Lydie (, Inscrite le 3 décembre 2004, 52 ans) - 10 décembre 2004
Ce roman de Stephen King est bien évidemment différent des autres, mais il lui permet tout de même de garder sa place de maître incontournable de la terreur...
Comment la folie d'une fan de romans à l'eau de rose peut faire basculer la vie d'un romancier à qui tout réussit .
A lire absolument, et ensuite je conseille le film qui est terriblement bien adapté est superbement joué !
Passionnant !
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 10 décembre 2004
Hors du fantastique
Critique de Martell (, Inscrit le 27 février 2004, 61 ans) - 23 juin 2004
Heureusement pour ses fans qu'il n'écrit que ce qui lui plaît.
Tel Émile Zola, il ne sera pas le premier génie à se faire snober par les académiciens à cause de son succès auprès d'un large public.
Avec Misery, le lecteur qui recherche des sensations fortes et plausibles à la fois est bien servi par ce roman. Dès le début lorsque Paul Sheldon (l'écrivain blessé) émerge peu à peu entre la brume des anti-douleurs et ses éclairs de souffrances et d'angoisse, on se doute bien que ce qui va suivre risque de mal tourner pour lui, et quand la folie de son infirmière ne fait plus aucun doute un peu plus tard, le suspense deviendra totale.
Paul va s'apercevoir que l'imagination d'une lectrice passionnée peut s'avérer tout aussi fertile que celle de son auteur favori, car elle n'est pas facile à déjouer Annie. Oh non!
Une exception!
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 15 juin 2004
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