Un récit qui donne un beau visage (La maison de mes pères, tome 1) de Jørn Riel
( En fortaelling hvoraf man fo°r et smukt ansigt)
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone
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leçons d'humour et de vie
Non seulement ce récit est plein d'humour, mais c'est également une belle leçon d'humanité.
Agojaraq nous parle avec humour et amour de ses papas adoptifs. En soi, déjà, ça vaut le détour tellement c'est amusant et touchant. Le récit d'un enfant esquimau abandonné dans une cabane elle-aussi abandonnée, qui sert de refuge à des hommes perdus, qui décident de s'y implanter après avoir découvert l'enfant.
Outre l'aspect anecdotique (et par moments franchement hilarant) de l'histoire, il se dégage de ces belles lignes de Riel un humanisme et une émotion particuliers. Des hommes apprennent à ne plus penser uniquement à eux, mais à un enfant, à tout faire pour lui assurer un bonheur certain, à s'oublier au profit de cet être qui illumine désormais leurs vies.
Puis toute la magie de l'éducation reçue par Aviaja, une nourrice prête à quitter le navire de la vie. Là aussi, belle leçon de courage et d'énergie, pour nous dire "Battez-vous, on a encore besoin de vous quelque part, soyez-en sûr".
Les éditions
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Un récit qui donne un beau visage [Texte imprimé] par Jørn Riel trad. du danois par Inès Jorgensen
de Riel, Jørn Jorgensen, Inès (Traducteur)
10-18 / 10-18
ISBN : 9782264028853 ; 1,09 € ; 04/02/2000 ; 150 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (2)
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Insupportable
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 2 janvier 2014
Il véhicule ce que les hommes occidentaux pensent des eskimos, à savoir que les femmes se donnent à n’importe qui et que l’hospitalité réside à donner sa femme à l’invité, qu’ensuite elles abandonnent l’enfant dont on ne sait pas qui est le père pour s’en aller vivre de nouvelles aventures..
L’enfant qui a 5 ou 6 pères possible est élevé par eux qui se chargent de trouver une vieille femme comme nourrice car le gamin ne digère pas la nourriture. La nourrice se charge de mâcher la viande avant de régurgiter dans la bouche du nourrisson...
Des histoires de vols de chiens, de maltraitance d’animaux, de renards en particulier, on tue l'ours sans se préoccuper de l'animal.. Oui, je comprends il faut bien vivre.. Mais je n’ai pas pu le supporter. J'aimerais avoir l'avis de l’éthologue Boris Cyrulnik sur le sujet, lui qui démontre que les animaux souffrent comme nous..
Les personnages du roman n’ont aucune consistance, ils sont uniquement préoccupés par eux-mêmes et de leur survie, et je n’ai pu m’attacher à aucun. Ce livre m'a mis très mal à l'aise et j'ai stoppé ma lecture à la moitié.. c'était devenu insupportable et très ennuyeux...
Les fêtes du premier de tout
Critique de Manu55 (João Pessoa, Inscrit le 21 janvier 2004, 51 ans) - 17 juin 2004
Ce premier tome de la trilogie "La maison de mes pères" est, comme les deux autres, un petit moment de bonheur à déguster.
L'action se déroule chez des inuits groénlandais, aux frontières du cercle polaire. Il fait souvent froid dehors, mais leur histoire ne peut que rechauffer les coeurs.
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